Il n'y a pas de trolls. D'un côté, il y a de fieffés menteurs, de fieffés profiteurs — de la "démocratie" capitalo-parlementaire—, de fieffés corrompus, de fieffés réactionnaires, qui au nom de la justice, de l'équité, de la solidarité, j'en passe et des meilleurs, roulent dans la farine de leurs égoïsmes tous ceux qui veulent bien — ah ! le beau consentement — y être roulés ; de l'autre, nous.
Si tous les tenants de la domination avaient une quelconque idée : 1) de notre colère ; 2) de notre volonté politique, ils seraient planqués — comme ils le font toujours et le font encore — derrière un Pétain, un(e) Le Pen ou n'importe quel réactionnaire providentiel.
Seront-ils pardonnés parce qu'ils ne savaient pas ?
Ils paradent, caracolent dans les médias, échangent leurs "idées", se congratulent, le plus souvent accompagnés de leurs rires gras. Bref, ils règnent. Pour l'instant.
Vive Robespierre ! Vive l'idée communiste !
Amitiés.
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En guise de bilan du provisoire billet précédent. Merci hêtre.