Blanchiment : HSBC paie une amende au Mexique
Le Monde.fr avec AFP | 25.07.2012 à 17h12
HSBC s'est fortement développée en Europe et aux Etats-Unis depuis vingt ans, reprenant notamment le CCF en France. | AFP/FREDERIC J. BROWN
La banque britannique HSBC a annoncé mercredi 25 juillet que sa filiale mexicaine avait payé une amende de 379 millions de pesos (près de 23 millions d'euros) imposée par la Commission nationale bancaire et des valeurs (CNBV), gendarme mexicain du secteur financier, pour des défaillances dans la lutte contre le blanchiment d'argent.
Grupo Financiero HSBC (HSBC Mexico) a présenté des excuses pour n'avoir pas respecté strictement la réglementation bancaire et reconnu que "dans le passé, il n'avait parfois pas appliqué les standards que les régulateurs et les clients attendent".
Les infractions, qui remontent aux années 2007 et 2008, portent sur la déclaration tardive de 1 729 transactions suspectes, sur l'absence de déclaration de 39 autres et sur 21 défaillances administratives, a précisé HSBC dans son communiqué.
"DÉFAILLANCES SIGNIFICATIVES"
La première banque britannique avait reconnu la semaine dernière des "défaillances significatives", et présenté publiquement ses excuses devant une commission d'enquête du Sénat américain pour avoir manqué de vigilance face à de possibles opérations de blanchiment d'argent.
Lire : La banque britannique HSBC admet des pratiques de blanchiment aux Etats-Unis
Selon un rapport sénatorial accablant, HBUS – filiale américaine de HSBC – a notamment réalisé en six ans 16 milliards de dollars de transactions secrètes avec l'Iran, et sa filiale mexicaine a transféré 7 milliards de dollars vers HBUS entre 2007 et 2008, qui pourraient être de l'argent des cartels méxicains de la drogue.
HSBC a ajouté mercredi que sa filiale mexicaine avait d'ores et déjà pris des mesures pour remédier aux défaillances pour lesquelles elle a été sanctionnée par la CNBV. "Le Mexique reste un marché prioritaire pour le groupe HSBC. HSBC Mexico continue d'être bien capitalisé avec de solides liquidités", a relevé le groupe britannique.
Le retour de Florence CASSEZ en France , traitée comme Jeanne d'Arc , alors qu'elle a bénéficié du changement de Président et d'un juge à la Cour Suprême , je ne juge absolument pas cette situation, mais elle aurait commis un délit , passant 7 ans en prison, HSBC a commis un grave délit en blanchissant de l'argent provenant du trafic de la drogue , comme au USA et en Argentine , ayant les moyens de payer avec l'argent des autres (j'explique)
Une banque qui fait du bénéfice, si elle paie des frais d'avocats , des amendes elle le déduit de son résultat, même si pour une amende elle paie des impôts aprés c'est réintégré en fin de bilan, mais grâce à l'argent des dépôts la banque n'a aucun souci pour payer et échapper à la prison, est ce normal , la justice Mexicaine est donc moins regardante lorsque le délit est fait par une banque comme d'ailleurs dans tous les pays du monde.
La justice mexicaine décriée en France depuis 7 ans et tout a coup lorsqu'elle décide de revenir en arrière compte tenu des conditions de l'arrestation , devient tout à coup pour le pouvoir politique français une fantastique justice.
La justice française est tout autant dans la même démarche quant il s'agit de sanctionner une banque , en septembre la banque HSBC est condamnée par l'AMF , mais elle demande que cette condamnation soit anonyme , son nom ne figure pas sur le jugement ? a quel titre, HSBC france a trempé dans l'affaire Madoff et il ne faut que celà se sache , c'est moins grave que le blanchiment ?
La justice française n'a donc pas de leçon a donner à la justice mexicaine , le montage de la police dans mon aventure de 1994 aurait pu me conduire en prison sans que je ne puisse rien faire , la solitude du prévenu devant les juges est une situation que je ne souhaite à personne.
Le métier de patron de TPE est dangereux.
En 1992 je me sépare de ma comptable et adjointe, pour faute grave, 17 ans de collaboration c'était elle en particulier qui avait les relations avec les banques, elle était l'épouse d'un élu important, mais je considére que notre collaboration a été positive , je passe sur cet épisode,l'on ne vit pas sur le passé , mais la BPC devenue FORTIS puis devenue BNP PARIBAS a certainement eu peur ,que seul pour tout gérer je ne m'en sorte pas et au moment où mon découvert était au plus bas (environ 200000F (35000€) elle m'a fait le coup du rateau , elle clôture le compte en supprimant 800.000F ( 115000€) d'autorisation de découvert, pour l'histoire elle sera condamnée une premiére fois au Tribunal de Commerce pour avoir assigné les cautions avant que le compte soit clôturé définitivement,(c'est une jurisprudence qui doit être portée à la connaissance de toutes les cautions) c'est a dire qu'aucune opération ne doit plus réalisé en plus et en moins aprés la clôture du compte,je me souviens de la phrase prononcée par l'avocat de la banque lors de l'audience devant le juge rapporteur "Monsieur le Président l'on fait comme d'habitude,réponse du magistrat non maître vous n'avez pas respecté l'article 2013 du Code Civile ,la banque ne fera pas appel.
Je poursuivrais la banque avoir pratiqué un taux d'intérêt sur le compte de la société sans avoir négocié ledit taux avec l'entreprise, elle sera sanctionnée par la Cour de Cassation et comme il ne s'agissait que de probléme technique un accord amiable a été signé.
Les conséquences de cette rupture.
Il ne me restait donc plus a fin Novembre 1993 que ma deuxiéme banque , la banque HERVET pour aller jusqu'à l'été 1994, mon métier étant saisonnier, les travaux de cuisine neufs ou en rénovation étant planifiés l'été, de fin décembre à juin c'était l'époque des réponses aux appels d'offres , aux projets des architectes et l'argent ne rentrait plus comme en fin d'année, en 93/94 la France était en crise et la banque HERVET également :
Le Nouvel Observateur
5 - Patrick Careil : ENA, Promotion Simone Weil (1972-1974), Inspecteur des finances.
Patrick Careil fut directeur de cabinet de Charles Hernu pendant l’affaire du Rainbow Warrior en donnant l'ordre à l'Amiral Lacoste de couler le bateau (Source Le Monde) puis de Paul Quilès (ministres de la Défense). Il fut ensuite collaborateur de Pierre Bérégovoy au ministère des finances.
Il fut également la pièce maîtresse du raid manqué sur la Société Générale.(Avec son employeur d'aujourd'hui M.NAOURI qui la fait nommer Juge au Tribunal de Commerce de Paris)
Nommé en 1989 à la tête de la Banque Hervet (établissement bancaire nationalisé en 1982) grâce à l’influence de certains amis politiques, il n’en partira qu’en 2004.
Lui non plus n’a pas su éviter les pièges de l’immobilier. En 1992, la Banque Hervet affiche sa première perte : 186 millions de francs. Mais ce n’est rien a côté des pertes affichées en 1993 : 1,2 milliard de francs.
L’ampleur des pertes va d’ailleurs stopper la privatisation de cet établissement bancaire et il faudra attendre le mois de mars 2001 et des plans d’économies drastiques pour que celle-ci ait lieu. La privatisation de la Banque Hervet s’est finalement effectuée au profit du CCF (Crédit commercial de France).
Il est à noter que malgré ces pertes, qui étaient les premières dans l’histoire de la Banque Hervet, qui a toujours été reconnue pour sa rentabilité, Patrick Careil s’est vu proposer en 1997 la présidence de la Société marseillaise de crédit. Il fut d’ailleurs nommé à sa tête le 2 décembre 1997 à la place de M. Habib-Deloncle, tout en conservant ses fonctions à la Banque Hervet.
Banque Hervet : 1,2 milliard de francs de pertes en 1993 (180 millions d’euros)
C'est certainement la raison du refus de la demande de crédit de trésorerie que j'avais fait auprés de la banque HERVET, là il faut rechercher dans toutes les directions et une fois usé les résaux financiers de la place, une connaissance m'indique une personne qui pourrait m'aider à tenir de mars à juillet 1994, 5 mois , la société FREGA a un bon carnet de commande pour l'été, car j'ai déjà des commandes et avec une clientéle sans risque, administration, commune , état, et le carnet va encore se remplir, mon entreprise est connue elle existe depuis 18 ans, elle a une bonne réputation, d'excellents employés composent celle ci, un prêt de 500.000 f devait nous permettre de faire fasse, le systéme bancaire n'a pas joué son rôle, et comme aujourd'hui , les titres des journaux sont les mêmes , la preuve ci-dessous, 1994 -2013 même combat.
Noyer (Gouverneur de la banque de France) appelle les banques à ne pas restreindre les crédits aux PME et ETI
PARIS, 21 jan 2013 (AFP) - Hier à 19h20 -
De fil en aiguille j'ai fait la connaissance d'un ancien banquier Gabriel Berdat qui s'est présenté comme un ancien banquier qui faisait du factoring pour des clients artisans et autres ne pouvant mettre à l'escompte les effets que leur remettaient la clientéle, donc il lui fallait céder ces effets a des personnes possédant une autorisation d'escompte.
Il m'expliqua que si je poubais prendre ses effets produit du travail et non pas de la cavalerie , il pourrait m'être en place le financement dont j'avais besoin, il est difficile a ceux qui n'ont pas connu les affres des échéances de fin de mois, du paiement de l'URSSAF, de la TVA de comprendre l'obligation de trouver des solutions afin de n'être confronté au rejet des effets de commerce, de chéques etc.....Gabriel Berdat me fit également l'apologie des poémes qu'il avait écrit.
Les ecrits litteraires des Juifs de Tunisie
Berdat, Gabriel, Soixante-dix Rêves et puis s'en vont, Paris, Alpha Magium, 1986, 167 p., contes. Danon, Vitalis, La Hara conte..., en collaboration avec Ryvel et ...
www.harissa.com/D_Arts/litterature.htm -
Les premiers effets que me remis GB le furent émanant de son expert comptable, plusieurs effets, que je présentais à la banque HERVET avec je pensais peu de chance qu'il m'escompte lesdits effets, n'étant pas réglé par ce mode de paiement, ayant un factior depuis quelques temps, une ligne de DAILLY pour les marchés, à ma surprise et sans me demander aucune justificatif la banque HERVET m'escompta l'effet et celui ci fut payé à l'échéance, par contre cette personne n'a pas été inquiété par la Justice et pourtant elle a fait la même chose que moi.
Premiére reflexion : C'est trés librement que la banque m'a escompté cet effet , sans que je ne sois titulaire d'une ligne d'escompte, sachant que j'avais un contrat avec un factor , qu'elle ne devait en principe qu'escompter les effets du factor, le factor réglant par avance nos factures et situations 40% par chéque , 60% par effet de commerce à 60j.
La banque HERVET se pouvait prétendre avoir été victime d'une escroquerie,ainsi que de faux et suage de faux, c'est sa recherche de percevoir des commissions intéressantes pour combler au plus vite les 180 millions de perte de 1992 et le 1,2 milliard de perte en 1993.
A lire la suite.