Pontault Combault , Thévenoud c'est stupéfiant cette inaction dans la sanction par le pouvoir PS, des leçons aux autres ils en donnent , mais ils ne s'appliquent aucune régle de morale , le site L'Oeil Pour Le Dire publie un article dénonçant ces pratiques, Médiapart a ouvert la porte a la contesation, merci.
Le petit bonhomme en mousse, ou l'élasticité politique...
- Par Gérard Voisin
- Taille de police
Thomas Thévenoud le 18 novembre dernier lors de son retour à l'assemblée National ici à la sortie du palais Bourbon poursuivit par une horde de journalistes auxquels il ne répondra à aucune question.
Credits : Capture d'image BFM TV
Il était une fois un petit bonhomme en mousse qui sautait, sautait...D'ailleurs, au début je l'avais nommé "sautailloux".
C'est ainsi que l'on nomme en bourgogne un homme dans l'instabilité de comportement et de positionnement. Avec une allure primesautière et le bec toujours ouvert, il était aussi "Blanc-bec".
Aujourd'hui constat, après lui avoir offert une cordialité parlementaire malgré qu'il m'eut poussé hors de mon siège de député du Mâconnais, m'entrainant avec sa vague rose et le support d'anciens de mes amis devenus des adversaires. Deux ans cela dura, mais cela ne peut plus durer! Je parle bien sûr d'une usurpation politique par Thomas Thevenoud dans une majorité présidée par un monarque socialiste, élu dans un malentendu avec les Français sur fond de rejet de Nicolas Sarkozy en partie abandonné par son camp, plus à tort qu'à raison.
Une lame de fond nationale, que dis je, un "tsunami" alimenté par une maladie orpheline découverte par le professeur Thévenoud, submergea le bon peuple de France: "La phobie administrative". Les médias avec une ténacité incroyable ont prouvé que cette maladie, dite de Thévenoud porte un coup s'il en avait été besoin, plus meurtrier que les comptes bancaires et le mensonge de Cahuzac, à leur ami chef de file, Monsieur Hollande. Il porte atteinte à la compréhension de nos concitoyens.
Mais le petit bonhomme en mousse, après avoir jeté des regards de tous côtés, tel le renard malin dans son terrier, s'aperçut que du côté droit, il y avait des charrettes. Son sang froid ne fit qu'un tour, et par petits bonds revient montrer le bout de son nez en cette docte Assemblée Nationale sise à Paris. Ainsi fait, sur le terrain de notre province, que croyez vous qu'il fit ? Il revint et la mousse ne rompant point quand on la tord dans tous les sens, une bise à ces dames par ci, des poignées de main par là. Cependant il n'eut plus la mienne car je ne la tend qu'une fois, mais plus du tout, quand l'honneur des élus de tous rangs est tant bafoué !
Et c'est ainsi que ce mercredi 27 novembre, au Palais Bourbon ou je me trouvais comme chaque semaine, à pas rapide et flanqué de son assistant qui lui sert de bouclier anti-journalistes non choisis en ce moment, se croyant probablement pourchassé par d'innombrables micros qui d'après lui, jusque dans son propre appartement auraient été semés, me toucha le bras. Je l'entendis alors à la volée, avant de disparaitre, me demander si je cherchais ma place, c'est à dire la sienne, toujours culotté dans ses propos et narguant son prédécesseur que je suis. J'arrive véritablement à penser que finalement sa "maladie" n'est pas feinte, et que ceux qui souffrent parce qu'ils ne peuvent plus payer ce qu'ils doivent, pourront s'inscrire à son cabinet, et le tour sera joué...
Mais comment est il toujours là et qu'il y restera ? Comment celui qui pourfendait les fraudeurs, n'est il pas lui même pourfendu ? Quelqu'un se lèvera-t-il avec moi pour lui signifier, comme le Président de la République Française l'a fait plusieurs fois? Je crois en fait qu'il n'en a cure et qu'il est toujours dans l'espoir de récidiver, lui l'incorrigible bluffeur aujourd'hui démasqué, à l'ascension beaucoup trop rapide, comme je l'avais souligné, et non régulée par le pouvoir socialiste. Probablement mal renseigné par des services et des règles qui d'habitude n'hésitent pas à terroriser plus que de besoin l'administré et contribuable sur des sujets souvent bien anodins.
Déconfiture de la morale, abandon de l'honneur dans une ambiance déliquescente du chacun pour soi, quoi qu'il advienne. Ou en sommes nous aujourd'hui, nous qui jouons volontiers aux donneurs de leçons dans cette vieille Europe prise entre les Amériques et l'Asie. Une France déboussolée, sans gouvernail et pourquoi pas encore une droite en 2017 divisée, au point de ne pas pouvoir retrouver la raison.
Les cadres politiques jeunes qui se déroutent eux même, montrent les dégâts du jeunisme. Les cadres politiques très âgés parfois, nous en connaissons, montrent les dégâts du gâtisme. Alors entre jeunesse et sagesse, il y a des boulevards qui sont ouverts pour enfin stopper l'hémorragie qui se dévide par des égos surdimensionnés pour cause de "melons" qui poussent à l'ombre de pouvoirs que la démocratie française n'a plus le luxe de se payer, que se soit chez ceux qui se disent progressistes, tout comme chez les conservateurs.
La démocratie Française née de la Révolution va mal. L'union sacrée est inaccessible dans notre pays, hélas peut être, mais il en va ainsi qu'après avoir perdu de multiples raisonnements au plan national ou local, il faut retrouver la raison. Une raison toute simple sur quelques piliers, sans se mentir à soi même, sans mentir aux autres, avant les élections, pendant les mandats. Les élus doivent également respecter le mandat qui leur est confié. Nous voyons bien que le pourrissement sur ce plan, maintes fois constaté, enlève plusieurs couches de crédits aux fonctions électives.
La politique, il faut le savoir plus encore lorsque l'on ne l'aime pas, est un mal nécessaire. Si vous ne vous occupez pas d'elle, elle s'occupe de vous. Le parti auquel j'appartiens, l'UMP va changer assez radicalement avec l'élection d'un nouveau Président. Ce que je souhaite, est que quelles que soient les équipes en place, c'est que la Terre de France retrouve ses axes fondamentaux.
Trois axes c'est peu, mais nous semblent essentiels:
- LA LIBERTE DE L'ECONOMIE,
- LA RESTAURATION DE L'ETAT
- L'EGALITE DES CHANCES
Sans tricher, donc sans tricheur, les femmes et les hommes politiques ne sont pas les "marchands du temple". S'il y a des fautifs, il faut les chasser!
Si ce n'est par des lois encore imparfaites, alors c'est la démocratie par les élections qui doit impérativement s'en charger.