Face à la dictature vaccinale que les tyrans néolibéraux au pouvoir instaurent pas à pas dans la plupart des pays depuis l’apparition des pseudo-vaccins contre le virus du Covid, il serait temps que les journalistes des médias du monde entier, les vrais journalistes, les gardiens en première ligne de la démocratie par leur travail d‘information indépendant de tous les lobbies, se réveillent enfin...et urgemment !
Après avoir pendant des mois organisé une mise à mort psychologique de millions de citoyens réticents ou hostiles à la vaccination à l'aveugle avec les pseudo-vaccins anti-Covid, via le harcèlement et le dénigrement quotidiens systématiques de médias complices, transformés en véritables tribunaux inquisiteurs à leur encontre et envahis par les sachants-doctocrates à la cuillère généreuse dans le pot de confiture du conflit d'intérêts, le gouvernement entend maintenant passer à la vitesse supérieure, d’une part, en décidant de la mort sociale des derniers récalcitrants ayant survécu à ce matraquage médiatique de masse ; d‘autre part, en les condamnant ni plus ni moins à une mort économique avec le projet d’instauration d’un passe sanitaire en entreprises (et certainement vaccinal dans les prochains mois, si personne n’arrête la furie vaccinale de nos dirigeants actuels !) ; enfin, en s‘attaquant maintenant aux enfants de 5 à 11 ans pour lesquels le gouvernement Castex réserve le projet final de l’obligation vaccinale, cela ne faisant plus l‘ombre d‘un doute.
Mais où vous êtes-vous donc endormis, journalistes, depuis que les dirigeants politiques néolibéraux du monde entier ont remis les clés du pouvoir politique aux actionnaires et PDG du Big Pharma ? Ne voyez-vous donc pas que leur politique du « tout-vaccinal » et le totalitarisme qui l’accompagne, constituent un instrument non seulement inefficace du point de vue de la lutte contre la pandémie du Covid, mais aussi complètement inconciliable avec nos principes démocratiques pour lesquels nos ancêtres se sont battus et ont sacrifié leur vie ? Et ignorez-vous vraiment ou feignez-vous de savoir que cette gestion typiquement néolibérale de la crise sanitaire actuelle s’adosse à des choix politiques scandaleux de continuer à dépouiller les services de santé publics en poursuivant la fermeture de lits et en réduisant les crédits pour la recherche médicale publique, et pire, d’organiser un pillage historique de nos finances publiques pour enrichir la petite poignée des gros actionnaires et PDG des firmes pharmaceutiques, qui se goinfrent de milliards de dollars de profits avec nos impôts et sur le dos de l’endettement public ?
Oui, journalistes, il est vraiment urgent que vous vous secouiez pour réveiller les citoyens face à l’effondrement démocratique constitué par toutes ces dictatures vaccinales arc-boutées sur un capitalisme pharmaceutique à la fête directement subventionné par les États, qui s’installent en France et ailleurs, et utilisées comme cadre institutionnel par les gouvernements néolibéraux, non pas pour servir le bien commun, en l’occurrence la santé publique à court et long terme et le bien-être des citoyens, mais uniquement comme bouée de secours d’une économie mortifère pour l‘humain, la planète et le climat, celle de l’avant-Covid, une économie pourtant condamnée à disparaître de par ses contradictions internes, mais dont les néolibéraux espèrent bien remettre sur rails sans aucune remise en question quant à ses fondamentaux et les privilèges qu’elle confère à la minorité possédante. Et cela, à coup d’injections obligatoires massives de doses répétées de ces pseudo-vaccins contre le Covid, et ce, pour l’éternité si les citoyens ne réagissent pas face à cette folie vaccinale autoritaire, puisque les gouvernants néolibéraux entendent bien jouer la carte de la politique autoritaire du « tout-vaccinal » et du maintien des brevets, aussi longtemps qu’ils resteront au pouvoir !
Oui, journalistes, sortez donc vos plumes critiques et offensives pour dénoncer également que l’obligation vaccinale qui se met progressivement en place en France n’est le fait que des décisions arbitraires d’un seul homme, contre l’avis même de l’Organisation mondiale de la santé qui n’est pas favorable à la vaccination obligatoire contre le Covid, en droit comme de fait : celles d'Emmanuel Macron, tous les autres contre-pouvoirs (Conseil d’État, Conseil constitutionnel, Parlement et Défenseur des droits) ayant fait faillite depuis le début de la crise sanitaire, en renonçant à exercer et honorer leurs nobles missions de gardiens de la démocratie face à l‘autocrate !
Qui ne dit mots, consent !…..
Citoyen,
Yves Besançon