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Billet de blog 11 avril 2022

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C’est reparti pour un tour !

Je ne parle de celui des législatives, car c’est là que tout se jouera. S’ils s’imaginent qu’on va lâcher l’affaire, c’est mal nous connaître. Ne perdons pas un instant et repartons en campagne pour ces prochaines élections des 12 et 19 juin.

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

Il ne sert à rien de se lamenter, de pleurer ou d’insulter ces connards de franchouillards qui ne comprennent rien, gardons nos énergies pour convaincre encore. Utilisons ces deux mois pour faire grandir l’union populaire plutôt que d’alimenter de notre désespoir cette désunion impopulaire. Moi aussi j’ai envie de hurler et de mépriser un peu plus ceux qui ont préféré leur ego à notre union. Oui, j’ai nommé Jadot et Roussel, planant sur des jours meilleurs, voire heureux. Quant à Poutou, il y viendra et Hidalgo ne m’intéresse pas.

Allez, c’est reparti ! On y va, on y croit, ça va être grandiose, l’Assemblée sera méconnaissable et la cohabitation s’imposera. On fera voter des lois dont vous n’auriez même pas osé rêver, et puis on les fera appliquer surtout. On interdira les recours aux cabinets privés d’experts en pompage de fric, un fric de dingue ! On réduira le temps de travail, à la semaine et au cours de la vie. On arrêtera de donner aux plus riches et on rendra aux plus pauvres. Dans l’urgence, on fera des trucs comme ça, et dans les deux ans à venir, on préparera la convocation d’une constituante.

On va vivre un grand moment d’Histoire du pays ces prochaines années. C’est le moment ou jamais de se glisser dans ce trou de souris qui permettra de grands changements, une vraie refondation des politiques institutionnelles, sociales, environnementales et économiques. Il est temps de se relever, il est temps de faire, il est temps d’y aller. Prenons chacun de notre temps, usons de notre parole, n’ayons de cesse et ne lâchons rien. C’est nous qu’on va y arriver, c’est nous qu’on va gagner !

Illustration 1
Assemblée nationale - abandon de tous les privilèges à Versailles, séance de la nuit du 4 au 5 août 1789

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