Et si on se marrait un peu… [J1]

Quelques heures avant le couvre-feu et après avoir fait un tour au village totalement occupé par des consommateurs en délire, je suis rentrée les mains vides et me suis installée devant mon ordinateur. Le premier clown à me faire marrer a été Gabin de Vécu, média citoyen.

Le « Club des cinq » est ensuite venu me rappeler que, plus on est fous, plus on se marre et ce n’est pas parce que des rigolos reprennent leurs propos pour leur mettre leur nez dans le Coro qu’ils ne vont pas continuer à nous raconter tout et n’importe quoi.

  Tandis que certains se posaient de grandes questions existentielles…

En attendant, il n’y a pas de petits profits et des commerçants n’ont pas hésité à faire payer l’impression du laissez-passer (alors qu’on peut le faire sur simple papier libre !). J’ai aussi entendu des journalistes prétendre qu’il fallait en remplir un pour chaque jour, vu qu’il y a une date à inscrire ! Du moment qu’on accepte d’être pris pour des cons, pourquoi se priver ?

A défaut de laisser les enfants entre des mains plus ou moins douteuses...

 On peut passer ses journées à préparer des attestations sur l’honneur

 Ou compter et recompter des trucs dans des paquets…

 Je suggère le comptage de grains d’un paquet d’un kilo de semoule à couscous (moyenne, ça ira !)

Et si cela ne suffisait pas, il reste une ultime solution :

 À la montagne, les moniteurs de ski ont quelques doutes sur le télétravail…

 Et les gens de la campagne tentent ce qu’ils peuvent pour repousser l’exode

 Parce que des fois, faut tout leur expliquer aux gens de la ville, regardez vous-même où ils en sont !

Faut dire que c’est compliqué de tout comprendre

Heureusement, y’en a un qui se tient à disposition pour les explications !

À demain... s'il reste du PQ !