Faisant fi de toutes les initiatives et propositions, ne retenant que les siennes, le président s’enferme lui-même en camisole dans ses postures de grand aliéné. Ses faits, gestes et paroles sont tellement incompréhensibles, dénués de tout sens sinon celui de la folie suicidaire, que l’ensemble de la classe politique, des médias, et des citoyens, ignorés, martyrisés, moqués, méprisés, ne peut que se rendre à l’évidence, ce mec est total barré, on ne peut pas le garder la tête de l’État.
Certains disent qu’il se drogue avec des substances. Personnellement, je n’y crois pas du tout, il n’a pas besoin de produit, son adrénaline lui suffit, il se suffit à lui-même. Avec son rictus moqueur et ses mots ravageurs, il s’autoalimente en permanence. Une dernière anecdote du 10 juin, au lendemain de la dissolution, lors de sa visite à Oradour-sur-Glane, le prouve encore. Elle est révélée par le Monde dans son édition du 15 juin : « Il croise un grand patron, familier de l’Élysée, qui lui glisse un mot d’encouragement : « Ça va, pas trop dures, ces journées ? » Le chef de l’État sourit : « Mais pas du tout ! Je prépare ça depuis des semaines, et je suis ravi. Je leur ai balancé ma grenade dégoupillée dans les jambes. Maintenant on va voir comment ils s’en sortent…»
En plus d’être fou, le président est devenu terroriste ! Il s’amuse à dégoupiller des grenades sur le peuple tout entier. C’est vrai, on le savait déjà assassin. Des services publics, des libertés individuelles ou tout simplement de la démocratie, mais comme cela ne suffit toujours pas à sa grandeur de vue, il dégoupille désormais des grenades à la tronche de la représentation nationale et de tous les électeurs. Il s’en amuse de surcroît sur les terres de l’un des plus grands massacres de la Seconde Guerre mondiale, à l’occasion de la célébration du 80e anniversaire de la Libération.
Pardon. Je vais vomir, je reviens.
Je demande donc solennellement aux personnes compétentes d’agir avant la destruction totale du pays et de ses institutions. Selon les informations recueillies sur le site officiel de l’administration française, la procédure est la suivante : « Les conditions d'admission et de parcours de soins d'une personne souffrant de troubles psychiatriques diffèrent selon qu'elle est soignée avec ou sans son consentement. L'admission en soins psychiatriques sans consentement se fait soit sur décision du directeur d'établissement à la demande d'un tiers ou en cas de péril imminent pour la personne, soit sur décision du préfet lorsque les agissements de la personne compromettent la sûreté des personnes ou, de façon grave, l'ordre public. »
Et sinon, il y a l’article 40 du Code de procédure pénale. Merci de ne plus perdre de temps.

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