Médiapart est une mascarade de participatif et Plenel se sert de certains abonnés à l'insu de leur plein gré pour l'aider dans sa tâche de destruction de Jean-Luc Mélenchon et France Insoumise. On y trouve de nombreux billets/commentaires concernant Mélenchon dignes des pires sites d'extrême droite. Par contre si ces mêmes abonnés font la même chose sur des sujets plus futiles, ils sont immédiatement sanctionnés.
Le commentaire de SYCOPHANTE sur cet article : Nous ne lâcherons pas les exigences d’enquêtes sur le financement de la vie politique
"MM. Arfi, Deléan et Rouget n'ont fait aucune enquête sérieuse : ils se sont contentés d'écrire ce que la police leur a dit et trouvé quelqu'un qui a confirmé ses dires.
L'objet de cet article était de révéler la liaison de JLM avec Chirikou laquelle était connue des intéressés depuis des années. En parfaits Tartuffe ils ont joué les étonnés.
C'est une entorse grave à la déontologie du journalisme qu'aucun journaliste digne de ce nom ne peut cautionner. Aucun media n'a repris ce prétendu scoopexcepté les Inroks, ce qui prouve que tous n'ont pas les mêmes pratiques nauséabondes que Mediapart. Il a fallu attendre que JLM réponde sur son blog pour que certains autres reprennent ensuite cette information relevant de la vie privée.
Il peut être admis de faire part de la vie privée d'un homme politique si celle-ci interfère avec ses activités politiques au point qu'elle est susceptible d'éclairer certaines dérives ou illégalités auxquelles il se serait livré. On peut estimer que la triple casquette de Mme Chirikou relève d'un mélange des genres peu sain.
Mais tant que l'on n'aura pas démontré que celle-ci a bénéficié d'une sur-rémunération de la part de la campagne de JLM, il n'y a aucune raison de faire état de leur liaison, sinon pour faire accroire qu'en raison de cette liaison, tel est bien le cas.
De surcroît, alors que les mêmes soupçons existaient lorsque Mediapart a publié il y a plusieurs mois son article sur les comptes de campagne de JLM et qu'ils connaissaient l'existence de cette liaison, ils n'en ont alors rien dit.
Ils n'ont rien de plus à dire au sujet desdits soupçons, mais cette fois ils font état de cette liaison. L'article de vendredi atteste donc d'une volonté, non d'informer sur un sujet légitime, mais bien de nuire à JLM et à son mouvement.
Mediapart est un journal indépendant. Mais ce journal est l’instrument du combat idéologique de son président et premier actionnaire, c’est à dire Plénel.
« Du contre pouvoir à l’abus de pouvoir » : tel était le sous titre de « la face cachée du Monde » de Péan et Cohen qui, il y a 15 ans, détaillait de façon dévastatrice la façon dont le trio Minc-Colombani-Plénel se servait du Monde pour atteindre leurs objectifs personnels et, dans le cas du dernier cité, d’assouvir ses haines personnelles qui se sont toujours portées sur les Républicains de gauche. Je recommande à tous cet ouvrage difficilement trouvable car, à défaut de répondre aux critiques qui y étaient contenues, le Monde a obtenu qu’il ne soit pas réimprimé lors d’une transaction confidentielle.
A l’époque, le Républicain de gauche cible de Plénel était Chevènement dont Le Monde exigeait qu’il fut viré par Jospin. Aujourd’hui, comme depuis longtemps, c’est Mélenchon. Dans son combat idéologique, Plénel n’a jamais hésité sur les moyens et les méthodes, qu’en bon trotskyste, il utilisait dans les AG du Monde pour convaincre ses collègues d’approuver la prise de contrôle par le trio et dont le Monde ne s’est jamais vraiment remis. Avant hier, il roulait pour Balladur car mieux vaut à ses yeux une bonne droite qu’une gauche républicaine puisqu’il a la République en horreur. Hier, il roulait pour Hollande, non parce qu’il le tenait pour un dirigeant valable, mais parce qu’Hollande élu, c’était l’assurance d’avoir des canaux d’information privilégiés. C’est un très proche de Hollande qui est d’ailleurs l’avocat de Mediapart.
En 2017, Plénel a roulé pour Macron, dezinguant tous ses concurrents potentiels de deuxième tour et survalorisant celui qui pouvait prendre des voix à Mélenchon, c’est à dire Hamon. Avant le premier tour, il émettait le vœu que des six seconds tours possibles, se qualifient Mélenchon et Macron., autrement dit le seul second tour où Melenchon était qualifié mais qu’il ne pouvait pas gagner. Ensuite, Plénel qui avait, depuis des mois, expliqué que le FN était aux portes du pouvoiret alors qu’au mieux pour elle, Le Pen faisait 41% dans un sondage, a tout fait pour que Macron, dont la qualification pour le second tour était synonyme de victoire, obtienne le score le plus élevé possible, tout en sachant parfaitement que plus son score serait élevé, plus la majorité de Macron serait écrasante à l’Assemblée Nationale.
Si j’écris Plénel plutôt que Mediapart, c’est parce que c’est la même chose. Il n’y a pas de rédacteur en chef à Mediapart. L’aimable Bonnet avait le titre de directeur éditorial et son poste a été scindé en deux depuis qu’il ne l’est plus. Le véritable patron, le seul patron de Mediapart, c’est Plénel qui, pas plus qu’hier au Monde, ne partage aujourd’hui le pouvoir à Mediapart. Et l’ADN de Mediapart, c’est le trotskisme. Cet abruti de Xavier Bertrand a dit qu’il s’agissait d’une officine aux méthodes fascistes. Bien qu’ayant été relaxé en première instance puis en appel (ce dont Mediapart ne s’est pas vanté s’agissant de ce deuxième jugement), Bertrand se trompait : il s’agit bien plutôt d’une officine trotskyste.
C’est ce qui explique des choses incompréhensibles pour les lecteurs, par exemple le fait qu’un ultra-libéral comme Riès fasse partie de la rédaction. La raison : il n’est pas là pour faire le libéral de service attestant du pluralisme de la rédaction, il est là parce que, comme un très grand nombre d’autres que je n’énumérerai pas ici, en sus de leurs qualités professionnelles, il est, comme eux, un ancien trotskyste..
Ceux qui ont leur rond de serviette à la Une du Club quelle que soit la valeur de leurs billets sont également souvent des amis du patron. Comme Paul Alliès qui en tant que maire a célébré le mariage de Plénel et est lui aussi un ancien de la LCR. Son fils Stéphane a effectué un stage au Monde sous Plénel ce qui ne figure pas dans sa bio publié par Mediapart. Il est aujourd’hui co-directeur éditorial de Mediapart...
Perraud, Bonnet, Arfi, Deléan et Rouget sont des instruments dont Plénel se sert. Il a jugé que c’était le bon moment pour se payer Melenchon et de toujours très bons contacts avec la police lui ont permis de lancer son attaque contre lui. Mediapart est le seul média en France qui a porté atteinte à la vie privée de Mélenchon et Chikirou. Les trois Tartuffe qui n’ignoraient évidemment rien de leurs liens, connus de toutes les rédactions de France et Navarre depuis des années, ont de surcroît fait les étonnés.
Pour Plénel, la fin justifie toujours les moyens : Mélenchon est un ennemi idéologique qu’il faut abattre."
( à priori, ces affirmations sont véridiques, la modération ne laisse pas un commentaire ligne plusieurs jours si les propos sont calomnieux et il fait partie des commentaires les plus recommandés )
La haine de Plenel pour Mélenchon est compréhensible, Jean Luc Mélenchon (a) fait, avec d'autres, le travail que les "intellectuels autoproclamés"de gauche (dont Plenel pense faire partie) ne font plus : parler du peuple et parler au peuple, le mobiliser, faire œuvre de pédagogie, élever son niveau de conscience et de culture, redonner sa dignité à ces ouvriers, ces chômeurs, ces électeurs qui votaient FN pour certain-es et qui ont donné leurs suffrages à la FI, l'entraîner dans un mouvement qui vise à l'auto-émancipation et passe par l'auto-organisation au sein de la France insoumise.