Ce billet reprend des commentaires du billet d'Alberteins, afin qu'ils restent facilement accessibles pour les retrouver dans la jungle des commentaires
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Soyons clairvoyants, et surtout déterminés.
Tout pays qui voudra sortir de la main mise de la finance sur sa population et ses richesses devra faire face à une guerre sans merci de la part du camp des très très riches.
Quand on voit le nombre de collabos prêts à vendre leur honneur et leur dignité, ou ce qu'il en reste, soyons certains que ce sera très chaud.
Ils ont les banques, l'armée et la police, ne l'oublions jamais...
21/05/2018 00:03
Par carmela en réponse au commentaire de alberteins le 20/05/2018 20:42
explique nous en quoi les analyses de Pierre Rimbert et/ou Maurice Lemoine sont fausses.
Ce n'est pas difficile : le Vénézuela a les plus grandes réserves de pétrole et d'or, et un tas de richesses minérales.
Donc, haro sur le Vénézuela, comme sur l'Irak dont Collin nous avait montré les armes de destructions massives, et sur l'Iran dénoncé par Trump.
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20/05/2018 22:13
Par JoëlMartin
Pourquoi la manne pétrolière ne profite plus aux Vénézuéliens non premiers de cordée ?
Pourquoi cette inflation plus que galopante ?
A moins que ce ne soit des inventions yankees...
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20/05/2018 22:38
Par alberteins en réponse au commentaire de JoëlMartin le 20/05/2018 22:13
Blocus criminel contre le Venezuela 06 Avr 2018 PASCUALINA CURCIO
Les sanctions économiques imposées par le gouvernement des Etats-Unis, auxquelles se sont joints certains pays européens et qui sont célébrées par différents pays d’Amérique latine peuvent être qualifiées de génocidaires.
Au Venezuela, nous importons la majorité des médicaments dont nous avons besoin. Nous les importons à 34% des Etats-Unis, à 10% de Colombie, à 7% d´Espagne, à 5% d´Italie, à 5% du Mexique, à 3% du Brésil. C´est à dire 64% du total de nos importations de médicaments.
En ce qui concerne les aliments, nous importons 12% de ce que nous mangeons. 33% vient des Etats-Unis, 16% d´Argentine, 14% du Brésil, 12% du Canada, 3% du Mexique, 2% du Chili, et 1% de Colombie. Soit 82% des aliments que nous importons vient de l´empire étatsunien et de ses alliés.
Pour l´importation de technologie, de machines, et de pièces détachées pour la production 32% vient des Etats-Unis, 5% du Brésil, 2% d´Allemagne, 2% d´Argentine, 4% de Colombie et 3% du Panama.
Donc, par instruction de Trump, 60% de ce dont nous avons besoin pour produire n´arrive plus au Venezuela, ce qui a de graves conséquences sur notre économie.
En ce qui concerne les transports (bus, train ou pièces détachés) nous importons 48% de ce dont nous avons besoin.
Les aliments, les médicaments, les machines et le transport représentent 51% de nos importations totales.
Le blocus représente 27 milliards de dollars par an que l´on nous empêche d´importer, et 9,4 millions de tonnes (si l´on prend en référence les importations de 2012, dernière année avant le blocus).
Qui plus est, notre seule source de devise provient du pétrole qui représente 95% des exportations. Et cela aussi, ils prétendent nous le sanctionner. Du total général d´hydrocarbures que nous exportons, 33% va aux Etats-Unis, 7,4% en Europe, 1,5% en Amérique du Sud.
Ces pays, qui nous achètent 42% de notre pétrole sont obligés par les Etats-Unis de nous l´acheter en dollars. Et du coup, les 17,5 milliards de dollars par an provenant de cette vente entre dans le système financier des Etats-Unis, et nous pouvons en disposer seulement lorsque ceux qui se croit les maitres du monde nous l´autorisent.
Ses ressources servent à acheter des aliments, des médicaments, et des machines à la Chine, à la Russie, à l´Inde [pays souverains qui ne se soumettent pas au blocus décrété par les Etats-Unis- NDT], ainsi que pour honorer nos compromis sur la dette.
Nous essayons d´échapper à ce blocus financier par la cryptomonnaie mais Donald Trump a interdit l´achat de Petro [la cryptomonnaie vénézuélienne- NDT].
C´est un blocus criminel dont le but est de faire crier l´économie vénézuélienne (1), fabriquer de la faim et de la misère pour ensuite aller dénoncer cette situation aux Nations Unis et dire que le gouvernement bolivarien viole les droits de l´Homme. Plus surprenant encore est le comportement de certains « vénézuéliens » qui parcourent le monde pour demander l´extension du blocus contre leur propre Peuple.
Note du traducteur :
(1) Des documents déclassifiés ont dévoilés que le président des Etats-Unis Richard Nixon (1969-74) avait demandé à son administration de « faire crier l´économie chillienne » dans le but de renverser le président socialiste d´alors Salvador Allende. NDT
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20/05/2018 22:46
Par JoëlMartin en réponse au commentaire de alberteins le 20/05/2018 22:38
Merci pour ces précisions qui incitent à la réflexion.
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20/05/2018 22:56
Par alberteins en réponse au commentaire de JoëlMartin le 20/05/2018 22:46
Les États-Unis n'en seraient pas à leur premier coup tordu en Amérique Latine et sur la planète
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20/05/2018 23:22
Par JEREMIECHAYET en réponse au commentaire de JoëlMartin le 20/05/2018 22:46
Concernant le pétrole, avant Chavez les compagnies étant privées, ce n'est pas non plus les pauvres qui en bénéficiaient. Après un peu plus. Du peu que j'en sais on peut ajouter cependant que le Vénézuela ne possède ni les infrastructures de raffineries, ni les techniciens et ingénieurs: ils exportent du lourd et importent les produits finis. Les investissements très lourds nécessaires ne sont plus assurés depuis l'embargo des Etats-Unis, qui font pression sur tous les alignés. Donc l'or noir, et cela est vrai pour plusieurs pays dans le monde, l'histoire nous l'a montré, n'est pas toujours une bénédiction du sol. Quand cela représente 95% des entrées de devises, c'est une dépendance terrible à l'impérialisme dominant, possédant la monnaie de référence d'échange international.
Concernant la monnaie, le mécanisme est celui de l'hyperinflation allemande de la République de Weimar. Les mêmes causes produisent les mêmes effets. Lire ceci, en entier, pour faire grosso modo le parallèle, avec bien évidemment une absence de remboursement des pertes de guerre, mais une dette qui de fait génère le même problème. Et comme la production interne est insuffisante sur les fondamentaux (post juste au dessus), cela crée à nouveau une dépendance terrible, un peu moins sévère car pour le coup le commerce peut être réalisé avec des pays non alignés.
Pour les solutions, c'est encore plus complexe mais j'aurai tendance à revenir sur les fondamentaux d'une économie anticapitaliste: modification du statut du producteur par un salariat adossé sur la cotisation sociale, ce que Chavez n'a pas fait étant donné qu'il a oeuvré vers une assistance aux pauvres. Cette politique de solidarité pour lutter contre l’extrême et la grande pauvreté n'a pas stabilisé sur le long terme les producteurs, toujours coincés dans le marché du travail, donc à la merci des employeurs que sont les propriétaires des outils de production qui, eux, ont clairement mené une guerre sociale, allant jusqu'à organiser la baisse de l'activité et des pénuries volontaires. Il aurait fallu également parvenir à sortir du crédit privé pour l'investissement même s'il y a eu, je ne me souviens plus, un audit sur la dette publique je crois.
Il règne donc une guerre de classe au Vénézuela. La question n'est donc pas de soutenir Maduro qui est fait fatalement du clientélisme, mais de se préparer à ce genre de réaction si nous voulons en tant que travailleurs organisés poursuivre la sortie du capitalisme dans nos pays: la contre-révolution sera d'une violence inouïe, nous en avons à peine les frémissements actuellement. Ne pas oublier que pour les capitalistes, la destruction massive des appareils productifs par la guerre est une façon de répondre à la baisse tendancielle du taux de profit.
A lire, avec esprit critique ceci: https://www.les-crises.fr/venezuela-tout-comprendre-sur-linflation-et-les-penuries/
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20/05/2018 23:56
Par JEREMIECHAYET en réponse au commentaire de JoëlMartin le 20/05/2018 22:46
A lire, ceci également (extraits):
Que disent les faits ?
Y a-t-il oui ou non une guerre économique au Venezuela ? Evidemment le fait de soulever la question, légitime au vue de l’histoire du continent et des méthodes antérieurement mises en place par les Etats-Unis et leurs alliés locaux dans la région, ne signifie pas rejeter l’entière faute de la situation que traverse le pays à une ingérence extérieure. Les différents gouvernements de la révolution vénézuélienne (Chavez jusqu’en 2013 puis Maduro par la suite) ont sûrement commis de nombreuses erreurs (désorganisation, inefficacité administrative, corruption, etc.), mais pour comprendre la situation complexe dans laquelle se trouve le pays aujourd’hui il est absolument nécessaire de prendre en compte tous les éléments entrant en jeu, et ne pas le faire relèverait de la malveillance ou de la manipulation. Il est donc impossible de faire comme si la guerre économique et la déstabilisation n’existait pas ou comme s’il s’agissait uniquement d’une excuse inventée par le pouvoir en place.
Car les preuves abondent, pour qui veut bien se donner la peine de s’informer un tant soit peu. Le gouvernement a longtemps dénoncé l’accaparement de produits de première nécessité par le secteur privé, créant des pénuries et une spéculation affolante… et n’a-t-on pas découvert des dizaines et des dizaines d’entrepôts regorgeant de biens de consommation dissimulés durant toutes ces dernières années (par exemple ici 72 tonnes de lait en poudre) ?
Durant ces dernières années, pas un mois ne s’est écoulé sans que les autorités ne découvrent plusieurs tonnes de marchandises accaparées dans des hangars par des entreprises du secteur privé.
Au sujet du trafic de monnaie, comment se fait-il que « l’opinion publique internationale » ne soit pas informée de l’écoulement massif de billets vénézuéliens en dehors des frontières de ce pays ? En effet, selon les calculs du gouvernement, près de 300 milliards de bolivars se trouvaient à l’étranger fin 2016, principalement en coupures de billets de 100 bolivars. Des réseaux bien organisés (et profitant sûrement parfois des accointances de membres de l’administration) ont réalisé cette activité dans divers buts: facilitation du commerce aux frontières (principalement avec la Colombie), contrebande d’extraction (achats massif de denrées subventionnées, et donc à bas prix, au Venezuela pour être revendus en Colombie), blanchiment d’argent, falsification de billets… ayant comme conséquence une déstabilisation économique importante.
Ici, c’est l’armée vénézuélienne qui intercepte 88 millions de bolivars (vidéo – décembre 2016), et là 16.5 millions de bolivars saisis par la police fluviale colombienne (vidéo – mars 2016). Plusieurs centaines de millions de bolivars ont ainsi été retrouvés en Allemagne, en Espagne, à Hong-Kong… mais rares sont les journalistes occidentaux qui ont abordé ce sujet. Pourtant les indices ne manquent pas. En février dernier, la police du Paraguay a mis la main sur pas moins de 25 tonnes de billets vénézuéliens à la frontière avec le Brésil, dans la propriété d’un mafieux local. Transporté vers la capitale, le chargement était si lourd que le camion remorque effectuant le trajet s’est retourné dans un virage. Mais ce n’est apparemment toujours pas assez pour que l’extraction de billets soit prise en compte par les analystes de la crise vénézuélienne, alors qu’il est évident que le fait de retirer autant de masse monétaire de la circulation oblige l’Etat à imprime plus de billets, ce qui fait perdre de la valeur à la monnaie et donc déstabilise l’économie (alimentation du cycle inflationniste).
Autre problème majeur : la contrebande. Subventionnés grâce aux politiques sociales du gouvernement, nombre de produits -du lait en poudre à l’essence- se retrouvent vendus à prix d’or de l’autre côté de la frontière, en Colombie. Entre les deux pays, toute une économie de l’extraction s’est développée autour de ce juteux commerce, sûrement parfois avec l’aide de complices haut placés des deux côtés. Ce trafic -bien documenté [13]- provoque une véritable saignée à l’Etat vénézuélien : en 2014, le gouvernement déclarait que l’extraction de 45.000 barils d’essence vers la Colombie provoquait des pertes de 2.2 milliards de dollars. De janvier à août de cette même année, les forces armées indiquaient avoir saisi 21.000 tonnes de produits alimentaires destinés à la contrebande, alors que l’administration douanière colombienne considérait à cette époque que ce commerce représentait un volume de 6 milliards de dollars, soit l’équivalent de près de 10% des importations légales du pays.
Et pour finir, le problème du marché noir des devises.
Mis en place par le gouvernement en 2003 pour éviter une fuite massive des capitaux, le contrôle des changes et de l’accès aux devises étrangères s’est révélé catastrophique sur le long terme, provoquant la naissance d’un marché noir de devises étrangères (principalement le dollar et l’euro). Sollicité par le gouvernement de Maduro fin 2013, l’économiste français Jacques Sapir avait relevé dans une étude rendue publique les dangers liés à l’écart grandissant entre taux de change officiel et taux de change « de la rue », une différence de 1 à 9 à l’époque. Aujourd’hui, cette différence s’est multipliée par près de 100 !
Mais pour bien comprendre ce problème complexe, il est nécessaire de prendre en compte deux principaux facteurs qui se trouvent à l’origine de la situation hyper inflationniste actuelle : d’une part l’existence légale en Colombie de 2 taux de change officiels pour les zones frontalières, d’autre part l’existence du site internet www.dolartoday.com -hébergé aux Etats-Unis- qui officialise les taux du marché noir.
En effet, le 5 mai 2000 , la Banque Centrale de Colombie a institutionnalisé par le biais de la résolution 8-2000 le « Dolar Cucuta« , du nom de cette ville de la frontière colombienne, qui établit une double législation pour l’échange de monnaie : une officielle établie par la Banque Centrale Colombienne et une autre uniquement pour les zones frontalières, qui permet aux maisons de change d’établir elles-mêmes la valeur des devises de façon indépendante.
Le gouvernement vénézuélien demande depuis des années la suppression de cette résolution -mise en place seulement quelques mois après l’arrivée de Chavez au pouvoir- l’accusant de fomenter la contrebande mais surtout de provoquer des distorsions économiques… qui sont plus que flagrantes. Il y aurait plus de 1000 bureaux de change légaux et illégaux à Cucuta, et entre 2 et 3000 agents informels qui vivraient de ce business, comme la jeune Angie qui déclare sans ambages « vivre du Bolivar ».
Quand au site Dolar Today, une enquête de la BBC a révélé qu’il était géré depuis les Etats-Unis entre autre par un ex-militaire vénézuélien qui avait participé au coup d’état contre Chavez en 2002. Devenu la référence pour tous ceux qui souhaitent acquérir ou vendre des dollars sur le marché noir, il fixe tous les jours un taux change officieux du bolivar en se basant -selon les dires de ses responsables- sur les taux de la ville colombienne de Cucuta, c’est-à-dire sur un critère totalement spéculatif. Ainsi, il alimente une apparence d’inflation, générant des distorsions dans l’économie qui vont effectivement engendrer un cycle inflationnaire. Une spirale difficile à arrêter. Le portail est donc clairement utilisé comme un outil de déstabilisation économique et politique puisqu’il a des répercussions directes sur l’économie vénézuélienne, en influant directement sur l’inflation et donc sur la vie de tous les jours des vénézuéliens.
Un exemple : alors que le gouvernement tentait d’établir un dialogue avec l’opposition fin 2016, le taux du « dollar parallèle » a mystérieusement bondi passant de 1078 bolivars pour 1 dollar le 01 octobre à son niveau le plus haut jamais atteint jusqu’alors : 4587 bolivars pour 1 dollar le 01 décembre [14].
Il est important de rappeler que le fait de répandre des informations financières erronées pour manipuler les cours de la bourse est considéré comme une infraction dans le monde entier -il existe en droit français le délit de fausse information (article L. 465-2 alinéa 2 du code monétaire et financier)- pourtant la justice américaine a toujours refusé de donner suites aux plaintes de la Banque Centrale Vénézuélienne exigeant de clôturer le site.
La différence entre le « dollar prioritaire » du gouvernement et le « dollar today » -ou de la rue– est de 1 à 830 ! En effet, le gouvernement change 1 dollar contre 10 bolivars alors que ce même dollar peut être vendu jusqu’à 8.301,71 bolivars au marché noir. Voir : https://dolartoday.com/
Accaparement, trafic de monnaie, contrebande, spéculation, autant de maux qui fragilisent encore une économie sérieusement mise à mal depuis plusieurs années. Mais à qui profite cette situation ? Qui s’enrichit ? Et surtout qui exploite politiquement le mécontentement de la population vénézuélienne?
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21/05/2018 00:18
Par alberteins en réponse au commentaire de JEREMIECHAYET le 20/05/2018 23:56
Merci pour ces infos
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20/05/2018 23:09
Par KAK
Ce que je ne comprends pas c'est l'alignement généralisé de tout une partie de ceux qui se prétendent de gauche. Le plus absurde et malhonnête c'est d'inclure des ex chavistes pour dénigrer maduro alors que les mêmes denigraient Chavez. Tous les coups foireux sont permis mais dans quel but ?
Faut il que l'humanité entière soit libérale derrière les USA et l'Europe , alors que l'on voit chaque jour la prédation de l'Occident ?
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20/05/2018 23:20
Par alberteins en réponse au commentaire de KAK le 20/05/2018 23:09
"Ce que je ne comprends pas c'est l'alignement généralisé de tout une partie de ceux qui se prétendent de gauche"
Moi je ne vois qu'elle seule explication, la volonté d'affaiblir JL Mélenchon et le mouvement France Insoumise comme le souligne des journalistes du Monde Diplomatique et quelques médias comme Acrimed, LVSL et autres.
Le pire se sont tous ces perroquets qui prétendent défendre des idées de Gauche et qui s'alignent sur la position de Trump et Macron sans chercher à comprendre.
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20/05/2018 23:19
Par alberteins
"Ce que je ne comprends pas c'est l'alignement généralisé de tout une partie de ceux qui se prétendent de gauche"
Moi je ne vois qu'elle seule explication, la volonté d'affaiblir JL Mélenchon et le mouvement France Insoumise comme le souligne des journalistes du Monde Diplomatique et quelques médias comme Acrimed, LVSL et autres.
Le pire se sont tous ces perroquets qui prétendent défendre des idées de Gauche et qui s'alignent sur la position de Trump et Macron sans chercher à comprendre.
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21/05/2018 00:08
Par carmela
ALBERSTEIN: votre billet sera t il en "une"?
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21/05/2018 00:16
Par alberteins en réponse au commentaire de carmela le 21/05/2018 00:08
J'ai écrit 86 billets presque 2 000 recommandations mais jamais une seule fois à la Une