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Billet de blog 25 mai 2014

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Les désarrois de l'élève P....

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LUMINEUX  LIMINAIRE, qui, je l'espère, ne lassera pas le lecteur pressé d'en arriver au fait,  autant qu'il aura agacé la pauvre Géraldine D... en charge de la "modération sur Médiapart :

Je dois  préciser au lecteur qu'ayant été censuré  sans justification, ni même simple avis, par deux fois, pour deux première moutures de ce billet, j'en ai été réduit à anonymiser  au maximum les noms des personnages qui se sont hasardés par leurs remarquables  comportements à faire les frais de l'acide alacrité de ma plume. Pour autant, j'ai laissé leurs noms en leur entier lorsqu'ils apparaissaient dans les copiés-collés que j'ai dû faire de leurs propos. Il m'a paru en effet que ce serait trahir ceux-ci que d'en occulter  quelque partie que ce fût. On pourra juger que c'est là une option quelque peu jésuite, mais je puis aisément démontrer que je n'ai jamais fait que souhaiter mettre en pleine lumière des comportements qu'un esprit caustique  serait  certes tenté de considérer  comme peu glorieux, mais dont cependant les responsables  ont tiré gloire, ne serait-ce qu'un court instant.  Et il serait en tout état de cause un peu présomptueux  voire injuste , par l'effet d'un préjugé défavorable trop hâtif, de leur retirer une quelconque partie de celle-ci, si fugace fût-elle. C'est là un troublant paradoxe  que le vif  éclairage  que j'ai mis sur ces comportements  ait semble si perturbant à Anastasie qu'elle  soit intervenue en urgence, alors  qu' avec la foi ardente des néophytes je  me livrais sans retenue à l'application des grands principes  de "la Religion des Faits" pronée parmi les peuples de l'univers par Notre Immarcescible Moustachu.   Sans même m'en avertir au préalable, je le répète.  On est donc passé  de la lumière à l'ombre, pour reprendre en l'inversant une image bien connue d'un Jack dont le zèle auprès de Tonton indiquait clairement qu'il n'avait pas usurpé son nom de famille . Sic transit gloria mundi !

Ecco :

Ce dernier week-end du 17-18 mai fut véritablement  un week-end de folie comme on en a peu connus et il a dû être bien éprouvant pour la pauvre Géraldine Delacroix, ( Cf :http://blogs.mediapart.fr/blog/geraldine-delacroix/150514/une-etrange-affaire)  chargée de la "modération" au sein de Médiapart.   Il paraissait en effet difficile qu'après des semaines de mutisme, et alors qu'elle entrouvrait timidement la porte à la contestation montante, suite au bâillonage de Joël Martin, notre très illustre contrepéteur, elle se mit d'emblée à "modérer" l'expression de celle-ci.

Ouf ! voilà que le cours normal des choses est revenu.  La normalisation est en marche. Le retour à l'ordre a été annoncé,  à l'heure probable de la conférence de rédaction, par un "commentaire" d'anthologie,  hilarant, et il s'il s'est trouvé même 15 fayots pour  le recommander (!).  Des rescapés de la période Husak, sans doute.

19/05/2014, 08:19 | PAR GÉRALDINE DELACROIX

Fermeture momentanée pour travaux de nettoyage.

 Cette annonce  relevait  soit d'un humour au troisième degré, soit d'une consternante provocation. En sus, elle était naturellement "recommandée par la rédaction". C'est qu'on s'auto-célèbre à Médiapart.  Ce n'est pas encore tout à fait comme  aux plus beaux temps du Soviet Suprême, tant s'en faut, mais par petites touches on pourrait bien y arriver, surtout si l'influence perraldienne perdure ! Le divin A. P.  doit se rêver, la nuit, et même parfois de jour, "splendidement modeste", attendant donc modestement que s'apaisent  enfin les marées d'applaudissement montant vers sa personne, nul n'osant s'aviser de cesser le premier de battre la cadence dans ses mains.

Mais revenons à nos moutons. Pourquoi pas un grand nettoyage de printemps, tant qu'à faire, avec tapis et carpettes au balcon comme on le fait, à Pâques, dans certains pays d'Europe centrale ?

                                         Grand nettoyage de printemps à Médiapart

Notre Médiatique Moustachu, de retour de Baden Baden, s'il faut en croire une fuite rapportée par la Canard, devait être d'une humeur de dogue, et la conférence de rédaction a vraisemblablement été animée. Fallait faire d'entrée un geste fort !  Fut donc décidé un grand nettoyage !  Et Géraldine, la pauvre, se mit à sa serpillère, peut-être en bougonnant : faut tout de même pas abuser du petit personnel !

D'emblée, ça va leur faire plaisir, je puis dire à  ceux qui s'agacent que je remette  si souvent sur le tapis les belles photos de moi qu'a sélectionnées Perraud au fond d' un album en libre consultation sur picasaweb, et qui craignent vraisemblablement que je ne verse moi-aussi dans un culte de ma personne quasi perraldien : "vous serez au moins partiellement satisfaits". Anastasie a porté en effet sur mes productions une attention toute particulière. A croire même que si  le fil des discussions  s'était transformé en écuries d'Augias, c'était essentiellement par ma faute. Et donc je fus largement "nettoyé", au point que j'ai le secrêt remords de ne pas  avoir offert  à Géraldine une serpillère pour la fête des mères. J'essayerai de me racheter avec  un Kärcher, mais alors elle devra patienter jusqu'aux promos  de la fête des pères chez Castorama. Sur ma messagerie se sont succédés en effet une bonne dizaine de  mails "contact médiapart" : une vraie rafale de peloton d'exécution. On se serait cru  en 1917, à Craonne, après l'offensive Nivelle !

Je reconnais très  humblement que certains nettoyages pouvaient se justifier, dans la mesure où il ne s'agissait que d'échanges de horions : ainsi, celui-ci, après que l'élève  Yvan N. ait commencé. 

"Bonjour,


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Le commentaire suivant a été dépublié par la rédaction de Mediapart :

"Tu remarqueras, mon bon Najiels, si tu lis dans l'ordre chronologique les interventions te concernant, que j'ai commencé par être très aimable, plaidant auprès de Yansan ta bonne foi quand tu lui demandais s'il était négationniste. Tu remarqueras que plus on te démontrait que ton interrogation était à coté de la plaque, plus tu es devenu  désagréable. Dans la mesure où toi-même ressembles à un "restant de giclée" comme on dit en Savoie, on peut dire, si tu veux, que je suis "fou de mon torse". Perraud en est fou aussi puisqu'il rêvait de m'avoir "enfoncé" (sic). "

Nota : Mon commentaire n'est pas très fin, je reconnais, et je bats ma coulpe avec autant d'énergie qu'une lavandière du portugal chantée par Luis Mariano, mais quand je dis que c'est l'élève N... qui a commencé, je n'ai pas tout à fait tort : à attaque ad hominem, et même "ad abdominem", attaque ad hominem et demi.  Le problème, sur le fond, il faut bien le dire, c'est que si mon torse, dont je suis donc supposé être "fou" se retrouve autant sur les fils de Médiapart, ce n'est pas tant l'effet de mon narcissisme que celui des manoeuvres infantiles du divin P.... pour me ridiculiser. Que demain toute la presse sache qu'un journaliste de Médiapart s'amuse à mettre des photos des lecteurs dont le zèle lingual lui parut insuffisant sur des fils de commentaires, et voilà que c'en serait  fait de la belle image de Médiapart défenseur des libertés publiques et pourfendeur  du délit de faciès ! Le ridicule ne tue pas, fort heureusement, d'ailleurs, sinon il faudrait dresser une chapelle ardente dans le hall de  Médiapart, mais il fragilise.  Puisque Edwy Plenel, prévenu par moi-même à plusieurs reprises, ne prend pas ses responsabilités, je vais donc mettre mon sens de la communication à sa disposition afin que lui-même mette enfin en accord ses actes avec ses discours si beaux qu'ils en feraient chialer  Pasqua.  Ce ne serait pas trop tôt !

A ceux qui n'auraient pas tout suivi, je recommande vivement le  papier suivant, qui a en fait précédé celui-ci, car c'est un vrai feuilleton :

http://blogs.mediapart.fr/blog/bernard-bigenwald/131113/mon-cher-edwy-ton-antoine-commence-nous-les-briser-menu


Jusque là, il ne semblait pas qu'Edwy Plenel  ait pris la pleine mesure des choses, et encore aujourd'hui, tragique aveuglement, il se contente de mettre les déchets  p...ldiens sous le tapis. Je dis bien " sous le tapis", car maintenant, le zèle d'Anastasie, et ça ne manque pas de piment, va jusqu'à censurer P.... lui-même, dont je ne puis même pas reproduire un doux message d'icelui à moi adressé, sans qu'il disparaisse promptement. Ainsi, dans la liste des messages que je vis kärcheriser , et qui, pour la plupart, évoquaient le rôle de P.... dans les dérives de Médiapart,   Il y eut notamment celui-ci, qui se passe  de commentaires, tant y est résumée la grandeur du   personnage :

Participants : ANTOINE PERRAUD et BERNARD BIGENWALD

ANTOINE PERRAUD

27/02/2013 - 19:11

Je vous prie de ne plus souiller le sillage de mes articles par votre paraphrénie.

ANTOINE PERRAUD

27/02/2013 - 23:08

On m'envoie ceci, de vous, n'est-ce pas ? Vous comprendrez que je ne puis admettre davantage vos souillures forcément inquiétantes.

Arrêtez donc de me prendre pour un chef de bureau contre lequel vous devriez batailler dans une administration de nos marches de l'Est !

 

 

BERNARD BIGENWALD

28/02/2013 - 08:59

Mes "souillures forcément inquiétantes" !!! Vous êtes grave, mon pauvre Perraud, en tant que journaliste. Joli procédé en tous cas que celui-ci, indigne en tous cas des prétentions de Médiapart. Pour les "marches de l'est", vous repasserez un peu, la Saône-et-Loire n'en faisant pas partie, mais s'il s'agit de marquer que je suis alsacien (je ne le suis que très partiellement, eh bien l'Alsacien vous emmerde !

ANTOINE PERRAUD

28/02/2013 - 09:36

J'ai soumis votre cas pathologique à Mediapart, qui vous privera, en cas de récidive, de la possibilité de commenter, tant votre folie inquiétante (il est des folies divertissantes) ainsi que votre vulgarité n'ont pas leur place dans notre modèle participatif, attaché à la conversation démocratique et non à la paraphrénie ordurière.

En vous souhaitant de trouver d'autres débouchés à vos fureurs,

AP

P.-S. Vous devriez enlever de la Toile ces photographies très inquiétantes de vous. Conseil gratuit sinon amical...

BERNARD BIGENWALD

24/03/2013 - 12:14

Votre petit numéro de pauvre petit journaliste persécuté par des maniaques n'aura qu'un temps. Je ne suis pas le seul, semble-t-il à avoir remarqué que vous avez "un pet' au casque".  Je n'ai rien trouvé à redire à votre dernier article à propos de DSK, mais en revanche, vos réponses méprisantes aux interventions critiques sont pitoyables de suffisance. 

ANTOINE PERRAUD

24/03/2013 - 12:38

 /...

Puisque certains s'obstinent à croire qu'il ne s'agit là que d'enfantillages de cour d'école sans importance, je me suis permis donc, momentanément, de faire comme s'il ne s'agissait que d'une algarade de garnements dans un pensionnat  huppé. Cela explique mon titre en référence au film de Volker Schlöndorff, adaptation d'une nouvelle de Musil, étant entendu que P... est plus proche de Beineberg et de Reiting que de Törless, et que, n'étant nullement masochiste,  je ne suis pas Biasini.

Question à la Rédaction et à la cantonade :

 Pourquoi donc dépublier un échange de mails initié par l'élève P. surtout que celui-ci s'y donne le beau rôle ? Se pourrait-il que la Direction de l'école commencerait, après des mois d'inaction, à se rendre compte que l'élève P.... est un tantinet chafouin et file des coups de compas à ses petits camarades sous la table dès que la  lumière est éteinte, tout en fayottant un max auprès du prof et en présentant à celui-ci une bonne image d'élève modèle ? L'élève P.... n'est-il d'ailleurs pas  tout fier de sa bonne blague ? Lisons  son commentaire faraud ?

"01/11/2013, 15:52 | PAR ANTOINE PERRAUD EN RÉPONSE AU COMMENTAIRE DE BERNARD BIGENWALD LE 01/11/2013 À 14:51

Je vous avais effectivement prévenu, par messagerie privée, que vous offriez des verges pour vous faire battre en laissant des clichés étranges et fâcheux sur la Toile, tout en vous en prenant inconsidérément au physique d'autrui : vous n'avez pas été dissuadé de continuer dans l'odieux malgré ma semonce privée, la riposte est donc devenue publique, merci de reconnaître ici publiquement qu'il y eut sommation de ma part."

 Question malicieuse  à Madame le Censeur : 

Votre zèle ne va-t-il pas trop loin,  puisqu'il va jusqu'à effacer  un échange de mails qui prouverait selon P... lui-même , qu'il s'agirait d'une "sommation" ?  Pour comparer, quel scandale si l'IGPN s'avisait d'effacer une bande sonore prouvant qu'avant un tir mortel, il y a eu un tir en l'air accompagné d'une sommation de s'arrêter ? C'est quasiment une destruction de preuves ! Et Médiapart monterait au créneau, alerté  en urgence par Veronique Hurtado !

 Serait-il si outrecuidant  de supposer, au moins provisoirement,  tant que la Rédaction n'aura  pas répondu précisément  à mes questions, qu'elle   n'a pas été tout à fait convaincue par la "sommation" de l'élève P..., et a préféré même effacer les preuves de  ce qu'il serait peut-être plus pertinent  de considérer comme sa première dérive, et donc  qu'elle essaye  de faire passer à l'as un échange qui tendrait à prouver que, sous ses dehors vertueux de communiant bien peigné, l'élève P.... n'est qu'un méchant garnement chafouin et retors. Je suis d'autant plus tenté de m'autoriser  cette supposition, que la plupart de ce qui, dans mes commentaires,  tendrait à établir une grande continuité dans les coups bas de l'élève P....  a été caviardé. Ainsi ce commentaire adressé à  l'élève Yansan, traité de " sous-Faurisson du sud-ouest, négationniste tendance cassoulet" et d'"excrément de la terre" par l'élève P...., et poursuivi donc quasi instantanément par l'élève Yvan N., jappant comme un chihuahua sur la queue duquel on aurait marché par inadvertance. Yvan N... m'apparait comme un   garnement qui  se prend pour un chasseur de nazis comme Simon Wiesenthal et Serge Klarsfeld, à cette différence près, de taille,  que lui se contente des élucubrations de l'élève P... , alors que ceux-là constituaient des dossiers étayés et rigoureux sur les personnes qu'ils poursuivaient. Si sa  précocité émerveillait déjà depuis le jardin d'enfant, où son plus grand plaisir était déjà de torturer, en leur arrachant les pattes, les mouches à merde qu'il déclarait "fascisantes" et à crever les yeux de son hamster pour lui faire avouer son mitterrandisme,Yvan N....  gagnerait cependant,  maintenant qu'il ne porte plus de  pampers, à être plus prudent dans ses affirmations,  avant de promettre le châtiment suprême  à qui se situe ne serait-ce qu'un chouïa  à droite de ses options. Les usines de  munition risquent fort en effet de  ne pas pouvoir suivre la cadence.

J'avais tenté de calmer le jeu, comme vous pouvez le constater, mais ça non plus n'a pas eu l'heur de plaire à Madame le Censeur  qui m'écrivit donc ceci :

"Bonjour,
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Le commentaire suivant ( de l'élève Bigenwald) a été dépublié par la rédaction de Mediapart :

"Je comprends que le commentaire de Najiels te rende fou furieux, mais finalement sa question, si elle te blesse, est logique. En effet, avec une perversité que je n'ai cessé de dénoncer depuis des mois, c'est bien ce que Perraud glisse, que tu es un adepte de Faurisson. Moi-même, en toute bonne foi, ne te connaissant nullement, c'est bien ce que j'avais  compris, et pourtant, je suis un mec un peu plus posé que Najiels qui traque les fachos à longueur de journée, et qui est perpétuellement à l'affut . Cela démontre, s'il en était encore besoin, le coté ignoble de Perraud, qui glisse une saloperie extrème dont il se garde bien d'apporter la preuve, tout en ajoutant  qu'il sait des chose qu'il ne dira pas. On peut difficilement descendre plus bas dans l'ignominie ! Il  a réussi avec ses saloperies à te coller sur les épaules cette tunique de Nessus : c'est profondément dégueulasse, mais c'est du Perraud pur jus. Najiels n'a fait que mordre à l'hameçon comme moi-même j'ai failli le faire, car bien que j'eusse des préventions contre Perraud, je n'imaginais pas qu'il puisse pousser le bouchon aussi loin. Eh bien si, et c'est même à ça qu'on le reconnait."

Remarque : 

Inutile de préciser que l'élève N... n'a nullement été reconnaissant de mon intercession auprès de l'élève Yansan, et qu'il a considéré que nous étions tous deux des nazis ligués.  C'est qu'il est grâve, l'élève  Yvan N.

L'élève Yansan pourra, s'il en est encore besoin, confirmer mes dires, preuves à l'appui, devant un conseil de discipline régulièrement réuni.

CONCLUSION :

Il est clair qu'Anastasie s'emballe, devient une machine folle qui échappe à la Direction. L'affaire Joël Martin était la gaffe à éviter car son image de contrepéteur lui assurait une image consensuelle et sympathique, même  s'il lui arrivait de déconner un peu, comme à tout le monde. C'est devenu le Mohamed Bouazizi du club, sans même qu'il ait eu à craquer une allumette. Et tout ça pour quoi ? Même chez Boko Haram, ils ont beau être cons, eh bien ce n'est pas Mamie Nova qu'ils ont prise en otage, mais 300 pucelles quasi intactes ! Joël Martin, c'est un peu comme Mamie Nova, il est pas neuf, il radote un peu, mais on y tient car on y a goûté depuis notre enfance. Son éviction  fait bien trop de barouf  pour un enjeu ridicule  et fournit  l'opportunité  aux esprits un peu critiques de remettre en lumière certaines pratiques de "la Rédaction". Rédaction dans laquelle P... pèse de tout son poids, grotesque chantre autoproclamé du participatif, dont il a une fort curieuse conception.

Il ressort de beaucoup de réactions à l'article de Géraldine  Delacroix que beaucoup se scandalisent du "deux poids-deux mesures" si l'on compare les manquements prouvés, éclatants,  à l'éthique  journalistique la plus élémentaire de P..., avec les supposés manquements de Joël Marin à la charte du club.

Il est bien trop tard pour tenter d'effacer les preuves des sorties de route de P..., et il convient donc, pour Edwy P.., d'en tirer les conséquences : plus il le fera tard, plus ça lui coûtera. Pour P...., n' avais-je  pas averti  il y a plus d'un an cet histrion ? : "Votre petit numéro de pauvre petit journaliste persécuté par des maniaques n'aura qu'un temps. Je ne suis pas le seul, semble-t-il à avoir remarqué que vous avez "un pet' au casque". La démonstration est faite que mon constat , s'il manquait un peu de précision technique, que je  laisse modestement  aux psys, était néanmoins fort lucide.

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