De la différence fondamentale entre l'exploitation du drame palestinien d'une part, et de l'oubli quasi total d'autre part de drames bien plus importants s'étant déroulés en Europe à l'époque de la Nakba
Suite d'une saga politico-judiciaire édifiante qui démontre combien on peut maltraiter des enfants au nom de la prévention de la maltraitance, et dévoyer le principe de précaution.
En Saône-et-Loire, un feuilleton socio-judiciaire, entre Kafka et "Engrenages", jette une lumière crue sur les dérives de l'ASE, de la gendarmerie et du parquet de Chalon. Ces trois institutions peinent à justifier, au terme d'une enquête préliminaire très partiale, une maltraitance institutionnelle patente à l'encontre d'un Lieu de Vie, et d' ados victimes d'une rafle.
Suite d'un feuilleton gratiné sur les dérives de la protection de l'enfance. Ex-directeur de l'ASE 71, je dénonce avec des preuves nouvelles, comment une enquête préliminaire qui s'éternise n'a pour fin que de présenter un innocent suffisamment longtemps comme un coupable, pour le ruiner. Alliés dans cette infamie, le département, mais aussi le parquet de Chalon, et même la gendarmerie !