Alors que l’INA (Institut National de l’Audiovisuel) rendait récemment hommage aux travaux du chercheur Jacques Benveniste :
avec le titre original de cet hommage du 23 janvier 2019 :
« La mémoire de l’eau : Jacques Benveniste, le Galilée du 21e siècle ?»
retoqué deux jours plus tard le 25 janvier 2019 en :
« 1988, Jacques Benveniste et la mémoire de l’eau »
une récente publication du physicien chercheur belge Auguste Meessen de l’Université Catholique de Louvain confirme l’évidence du phénomène de la mémoire de l’eau décrit par Jacques Benveniste en 1988 :
https://file.scirp.org/Html/16-7503655_89620.htm
Journal of Modern Physics
Vol.09 No.14(2018),68 pages
Water Memory Due to Chains of Nano-Pearls
Auguste Meessen
en accès libre dont voici le résumé en français :
« Les molécules biologiquement actives créent des substituts dans l'eau liquide en formant des cristallites ferroélectriques à domaine unique. Ces nanoparticules sont sphériques et constituent des chaînes en croissance. Les dipôles sont alignés, mais peuvent être mis en oscillation à la fréquence de vibration de la partie chargée des molécules actives. Ils sont ensuite automatiquement coupés et deviennent des supports d’information. De plus, ils produisent un champ électrique oscillant, provoquant une multiplication auto catalytique de chaînes identiques au cours de dilutions successives. Les molécules actives ne sont donc nécessaires que pour initier ce processus. Normalement, ils excitent leurs récepteurs spécifiques par résonance, mais les chaînes coupées ont le même effet. Cette théorie est confirmée par de nombreuses mesures. »
Résumé de l’histoire 1988-2018 (trente années) : Ite missa est !
et l’INA devrait revenir à son titre original du 23 janvier 2019…