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Billet de blog 28 août 2020

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En double aveugle ? Ou en voiture Simone ?

Comment s'en sortir en rentrant ? Soyons des fauves joyeux, c'est moins dangereux que des moutons enragés. Quant à notre immunité, ne laissons aucun chasseur rouler ses gros pneus sur ses mauvaises herbes insoumises, c'est chose délicate que ce génie terrestre, brise sous les arbres, soleil d'abeilles, choux verts dans les veines et courses de papillons.

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

En train, à vélo, à pied, à cheval ou en voiture, égayés aux quatre coins de la nature, les chanceux qui résident à la campagne ou qui ont pu s’offrir des vacances, soufflent. Hors du pot de confinement, nous soufflons oui, nous inspirons voracement après la longue apnée d’un demi-sommeil printanier non désiré. Et au diable l'avant-veille, aujourd’hui nous sommes gorgés de soleil, de montagne ou d’eau de mer, et avec un peu de chance nous baignons encore dans le terpène des arbres et d’une infinité d’autres végétaux. Bienfaits dynamisants, déstressants, oxygénants qui voient nos corps et nos esprits en liberté retrouver une part de puissance juvénile résiliente. Autrement dit, une immunité rééquilibrée et rassérénée. Car c’est bien elle qui nous accorde de vivre en pleine possession de nos moyens, y compris quand ceux-ci déclinent avec l’âge, jusqu’à nous permettre parfois de mourir un jour, quasiment en bonne santé.  

Mais l’immunité, cette fée protectrice et sourcilleuse, dans les très grandes lignes, c'est quoi ? Et plus précisément, quels sont les éléments qui peuvent l’affecter réellement ? 

Innée ou acquise, l’immunité est une organisation physiologique d’interrelation et de médiation avec le vivant et le milieu où nous évoluons. Chargée de défendre le soi contre toute intrusion étrangère jugée toxique, elle tend toujours vers le meilleur équilibre possible, gardant en mémoire et en veille continue l’expérience des rencontres pathologiques ou inédites précédentes. Sous la pression environnementale exercée sur les espaces naturels jusque-là préservés, mais également sous l’effet de l’accroissement des polluants croisés, rien n’est pourtant simple. Les syndromes allergiques peuvent surgir avec une grande violence, favorisés par la multiplicité des facteurs de déséquilibres - pollution agricole, chimique ou électromagnétique, malbouffe, stress -. Les affections dites auto-immunes, aux causes tout aussi multiples - séquelles traumatiques d’infections, stress, pollutions de l’industrie, parasites, psychose hygiéniste, - provoquent elles des réactions immunitaires désordonnées où différents niveaux de défense s’attaquent à leur propre organisme. Elles sont de plus en plus nombreuses. Quant aux syndromes d’immunodépression - rencontre de bactéries ou de virus radicalement nouveaux tels que VIH ou Ebola, traitement anticancer ou greffe - on sait les ravages que les premiers produisent, et selon l’AARDA (association américaine des maladies auto-immunes) les seconds, de plus en plus courants « entraînent des effets secondaires dévastateurs ».

A ce rapide tableau, il faut ajouter, avec des conséquences sur l’ensemble de nos ressources immunitaires, de fréquentes, croissantes, massives et possiblement graves carences en micronutriments : vitamine D3, A, C, B, magnésium, zinc, iode, par exemple. 

Face aux bouleversements systémiques de la crise sanitaire qui nous tombe sur le nez, réfléchir à ses causes potentielles et aux moyens qu’il faut mettre en œuvre pour y remédier, peut-il alors relever exclusivement de la responsabilité et de l'appréciation des cadres de santé et des politiques aux commandes ? Par ses conséquences considérables sur chacun, comme sur chaque institution liée à la santé, par ses causes multidimensionnelles, cette crise nous force en fonction de nos compétences à poser un regard éveillé, spécifique, transversal et agnostique sur l’impact aujourd’hui indéfini qu’elle annonce. Ces mêmes aspects, incalculables, redoutés et facteurs d'angoisse pour certains (1) ou à contrario, déjà ouvertement convoitables pour d'autres, impliquent forcément à ce jour le recours à des spécialistes reconnus de la médecine conventionnelle. Tout au moins déclarés tels et adoubés par le pouvoir. Au risque qu’une sélection surplombante, lacunaire, orientée, voire intéressée, en relation avec la pyramide des valeurs en cours ne s’impose rapidement. En matière d’interventions sanitaires en urgence ou en soutien immédiat d’une recherche scientifique prise au dépourvu, dans ce pays qui s’auto-célèbre facilement pour l’excellence de son système médical, faut-il néanmoins se convaincre béatement que la politique sanitaire en cours puisse nous sortir sans trop tarder du K.O. technique où la France parmi d’autres pays, se trouve ?

Contrairement à son corollaire futile accordé risiblement à nos Présidents, notre immunité elle, ne nous abandonne jamais pleinement. Sauf accumulation exponentielle de morbidités ou empoisonnement spécifique, elle ne cesse a priori jamais complètement sa vigilance. Ni avec la retraite, ni avec nos pérégrinations existentielles ou professionnelles désirées et volontaires, et beaucoup de personnes se montrent capables, quel que soit leur âge ou l'enjeu sanitaire qu'elles affrontent, de conserver d'excellentes aptitudes de défense ou d'adaptation à leur milieu. Face à des changements environnementaux brutaux, massifs, a fortiori mondiaux, l'immunité collective elle peut être pris un temps en défaut. D'autant, que beaucoup d'autres formes de défenses du soi, sont requises dans cet épisode traumatique.

Dans le cas d'une pandémie, un des premiers cofacteurs aggravants, est de type anxiogène. Face à une affection loin d'être réellement élucidée et qui fait toujours débat, l'anxiété peut facilement virer à l'angoisse. Quelle que soit la nocivité véritable de l'agent infectieux, c'est un syndrome qui met en danger les plus fragiles, les plus âgés, les plus dépendants et potentiellement tous ceux qui sont déjà atteints de maladies chroniques ou simplement usés par une carrière professionnelle esquintante. Laquelle recoupe le plus souvent les salaires les plus faibles. Perdre, ou risquer de perdre son travail, devoir l'accomplir dans des conditions de sécurité précaires, c'était particulièrement le cas au début de la pandémie, en rajoute quant à la perception du couple fragilité/dangerosité. L'anxiété devenue virale elle-même, en particulier chez ceux que le déferlement d'informations quotidiennes et contradictoires assomme, a participé à une échelle encore mal estimée à la dégradation de l'équilibre émotionnel et donc immunitaire de beaucoup de personnes, en particulier chez les seniors. Isolés chez eux, à l’hôpital, ou en maison de retraite, un grand nombre vont mourir de façon totalement tragique, pour ne pas dire honteuse, sans le réconfort de leurs proches. Car s'est ajouté, à mesure que les hôpitaux se remplissaient, la sélection de plus en plus sévère des patients âgés considérés comme problématiques ou en traitement d’affections hors Covid. Ceux-là seront sommés de rester chez eux ou en EHPAD, avec comme lot de consolation pour les plus affaiblis, des traitements palliatifs et la mort. (3)

A quelques jours de mon soixante-dixième anniversaire, comme tous ceux qui ont eu la chance de voler quelques espaces de liberté à cette forteresse si âpre qu’est la condition humaine, je tente de rester en bonne santé et de la manière la plus réjouissante possible. Qu’avons-nous pour ça ? Si ce n’est la joie fragile d’être en vie, la fantaisie et l’intelligence puissantes des enfants, la rencontre fugace d’un animal sauvage au petit matin, l’amitié au long cours de Vincent Segal et Ballaké Sissoko, ou la grâce intacte à 78 ans, de Martha Argerich. Des bonheurs simples, mais grands, la bonne alimentation (8), les joies sportives et amoureuses, les pratiques artistiques et philosophiques, les amitiés solidaires. Le silence, le repos. Et quand tout ça ne suffit pas, quand la dureté de la vie en remet une méchante couche, il existe le secours de nombreuses disciplines thérapeutiques que l’on nomme holistiques, et qu’il serait tout autant légitime, au regard de ce que nous affrontons depuis si longtemps et de façon si massive et invasive, de taxer de non morbides.

Le premier domaine qu’il est urgent d’éclairer à l’occasion de cette pandémie, c’est précisément la façon dont les médias mainstreams organisent la captation de l’attention, on pourrait écrire, de la tension. Dans cette paranoïa de l’audimat, le déferlement mécanique d’informations anxiogènes au détriment, pas tant du débat contradictoire, que du recours au doute, est dramatique. Le doute courageux, le doute convoqué à chaque fois qu’il est flagrant que trop de communicants nous mènent en bateau, cette forme vitale du courage intellectuel qui fait l’importance fondamentale du métier de journaliste dans la cité, oui, le doute devrait être le feu sacré de toute rédaction. C’est lui qui assure l’indépendance et le sérieux avec lequel on traite des sujets aussi graves. Or, il s’est illustré à nouveau majoritairement par le manque, très souvent dans une atmosphère de répétitions extatiques.

Beaucoup d’impensés et beaucoup d’angles morts quant aux facteurs d’aggravation du risque sanitaire par exemple. Limités pour l’essentiel à une liste de comorbidités énoncée par les autorités médicales. Une liste légitime mais bien trop courte. Sont pointés, l’âge, ainsi qu’un certain nombre de pathologies déjà présentes chez la plupart des patients qui vont décéder, maladies cardio-vasculaires, diabète, pathologies respiratoires, rénales et neurologiques, obésité. Au-delà de cette crise sanitaire, au-delà des désastres environnementaux qui en sont peut-être à l’origine, beaucoup d’autres formes de morbidités récurrentes, installées, archaïques, somatiques, sont néanmoins à l’œuvre dans l’avènement de ces cofacteurs pathologiques. Parce que déterminantes dans l’usure des corps, et plus encore, des horizons qui les bornent et les propulsent.

Grâce à ce long moment d’isolement et de recul, j’ai pris le temps de réfléchir à tout ce qui nous affaiblit, souvent à bas bruit. Nuisances tapies en moi-même ou gracieusement offertes par un environnement social et sociétal magique, que l’on pourrait résumer, via quelques-unes de ses contradictions les plus dispendieuses : l’abondance de poisons violents nommés humoristiquement aliments industriels, l’idéologie forcenée du travail, le pognon de dingue, la police en roue libre, l’ivresse paradoxale de contrôle et de compétition des mâles basiques, les antidépresseurs à gogo, les journalistes bègues, la nature en cage et en déroute, et pour paraphraser Michel-Ange, la croix plutôt que le jeune homme dessus. Toutes figures prométhéennes à doubles tranchants qui sont autant d’aides prétendues ou potentielles à la personne que d’instruments d'oppression et de tortures. Parcourez jusqu’au bout tous les programmes télé d’un jour (j’ai fait cet exercice téléphonique quotidien pendant deux ans pour une personne handicapée), 80 % sont strictement des fictions ou des émissions nécrophages, la plupart du temps ultras violentes, dérisoires ou anxiogènes. La moitié sont en fait des polars dont il n’est pas difficile de comprendre les vertus éducatives et sédatives au long cours en relation avec cette figure tutélaire française si chère à Mme Alliot-Marie. Produire de l’angoisse, de la fragilité, de la soumission, du dégout du monde et de soi-même, on peut se demander si en matière de pollution majeure de nos capacités de résistance, cette culture hyper formatée et sous contrôle n’atteint pas le niveau de nuisance de l’agriculture chimique, laquelle voit nombre d’exploitants interdits de consommer leur propre production. Et n’en est-il pas de même pour une part de la médecine conventionnelle ? Celle qui se targue, humoristiquement là aussi, de scientificité exclusive, tout en végètant dans une routine causale univoque et superficielle, celle qui massacre les animaux par milliards, générant une stagnation paresseuse, répétitive et hideuse de la recherche, celle qui joue nos vies en bourse et ne craint qu’une chose, une population en bonne santé échappant à l’addiction et à l’obsolescence programmée.

Sur ce constat et ces interrogations, il n’est pas difficile d’imaginer les contradictions insolubles pouvant hanter certains acteurs de terrain, qu’ils soient policiers, agriculteurs, médecins, infirmières ou aides-soignantes, contrairement aux véritables décideurs et organisateurs de ces systèmes prédateurs, installés au sommet de l’organigramme social. Lesquels, dans l’angoisse de leur perpétuelle vacuité et en l’absence de toute vision complexe, vitale et généreuse du vivant, opteront toujours pour la stratégie suicidaire de l’angoisse et de l'intox. Celle du choc et du désastre, décrite par Naomi Klein. Dans ce moment de dissimulations tout autant que de révélations, il n’est pas davantage interdit de se demander si les mesures de distanciation sociales et de confinement indifférencié, si elles s’installaient pour longtemps, ne manqueraient pas d’être un effet d’aubaine pour ce monde vertical, violent, et pathologique.

Pour autant, la médecine dite conventionnelle, n’est pas un bloc monolithique seulement instrumentalisé par les golden boys de Big Pharma. Beaucoup de progrès et d’ouvertures vers des conceptions plus larges, responsables et transversales de la santé, ont été réalisés durant ces dernières décennies au niveau mondial. Et cela sous l’influence d’autres disciplines, des sciences humaines par exemple, ou des sciences de la matière, comme dans le développement de l’imagerie médicale et de la microchirurgie. Grâce également aux progrès en génétique, en biologie, ou dans l’étude des carences de terrain, qui permettent aujourd’hui de pointer la problématique croissante d’une alimentation appauvrie associée à des désastres environnementaux devenus incontestés. Ces dernières disciplines, ouvrant par ailleurs la sphère capitale de l’endocrinologie (études des fonctions hormonales) à d’autres approches que le diabète ou les pathologies thyroïdiennes, comme la médecine anti-âge ou la micro-nutrition. Un courant thérapeutique illustré par exemple par la médecine dite fonctionnelle (8). Oui, une pluralité de disciplines, associées aux études environnementales et toxicologiques, doivent devenir le fer de lance de la recherche dans les affections neurodégénératives, comme en cancérologie.

L’intérêt mondialisé pour les grandes écoles thérapeutiques traditionnelles, le développement de thérapies manuelles de plus en plus élaborées, et d’une façon générale, le développement des pratiques intégratrices et holistiques du soin, nous permettent d’entrer potentiellement dans une médecine à visage humain. C’est-à-dire capable dans une conception moderne, non compétitive, transdisciplinaire et personnalisée de l’offre médicale, de sortir du simulacre magique de la prescription standardisée. Ce mouvement sociétal profond, renforcé par quelques scandales médicaux mémorables, vise d’abord à sortir des addictions médicamenteuses souvent absurdes et mortifères, pour passer à une véritable compréhension, à une véritable thérapeutique de ce que requiert la santé.

Les alternatives en phytothérapie, en aromathérapie, en oligothérapie, en vitaminothérapie, en diététique, les découvertes du rôle essentiel du microbiote, en particulier dans l’immunité, font aujourd’hui l’objet de recherches canoniques qui viennent enrichir les outils des naturopathes, comme des médecins indépendants qui ne se contentent plus de la boîte à ressorts du visiteur médical. Quand on connaît en France l’hétérogénéité de la densité de médecins par région, beaucoup d’entre eux, accablés de charge de travail et qui accomplissent pourtant leur office avec abnégation, n’ont pas le temps, ou ne se le donnent pas, et auraient néanmoins tout à gagner à bénéficier de formation continue.

Alors que des patients commençaient à mourir par centaines et que les personnels de santé se tuaient au boulot, le Comité scientifique réuni par Emmanuel Macron a manifesté une étrange sérénité. La petite équipe prend son temps, tire à vue sur toute thérapeutique non labellisée contre placébo, randomisée ou en double aveugle, lance un essai comparatif des antiviraux existants, Discovery, qui fera un gros flop vu l’absence du protocole précis Hydroxychloroquine/Azithromycine utilisé avec succès par Didier Raoult (2) et dégage soudain avec ses alter égos européens des milliards magiques afin de préempter des paquebots de vaccins. Une frénésie digne des plus grosses mises en jeu du loto européen ; même en cas d’effondrement économique on pourra toujours se shooter en masse à coups de sels d’aluminium ou de virus recombinants. (8bis) Comme il se doit, plusieurs membres du Comité scientifique en profitent pour oublier leurs conflits d’intérêts avec les laboratoires (5) lesquels avancent leurs pions avec gourmandise, bref, même sans s’attarder sur le tango et la folie toujours en cours des masques (4), ou sur le scandale absolu de l’évaluation des tests rapides du Covid (4bis) c’est l’image absurde d’un vieux monde insatiable qui nous entraîne dans le naufrage suicidaire de l’hypothético-déductif impavide du jardin à la française.

Pendant ce temps-là, Raoult, avec tous ses défauts, ses qualités et sa grande gueule, fait de l’inductif d’urgence et sauve de très nombreuses personnes.(6) Grâce au cynisme ou à l’incompétence de la petite cour de Monsieur Macron, grâce à la danse du ventre du journal médical the Lancet, qui va se prendre finalement une piquette historique pour tricherie, les résultats de l’IHU Méditerranée Infection de Didier Raoult s’avèrent hélas à peu près uniques en France. Cette thérapeutique sera néanmoins utilisée dans de très nombreux pays à travers le monde, et pas seulement chez nos délicieux amis Trump et Bolsonaro. En fait, elle sera interdite formellement dans un seul pays sur la planète. Je vous laisse deviner lequel, si vous ne le savez déjà. (7)

Et si vous avez le moindre doute sur l’échec extraordinaire du modèle français en cours, jetez un coup d'œil sur le tableau de référence (britannique) actualisé chaque jour, présentant le nombre de cas recensés dans chaque pays, accompagné du nombre de décès (dû au... ou avec le Covid) corrélés au nombre d’habitants. (6 bis)  Ça dit l’essentiel et bien mieux que tous les poèmes quotidiens de France Info, auxquels nous auront forcément droit quelques années encore, avant que le permafrost dégoulinant ou les extra-terrestres ne débarquent enfin avec de vrais virus de la mort subite qui nous feront gagner de la salive et du temps.

Suivent plusieurs liens vidéos vers des scientifiques et autres lanceurs d’alertes légitimes et désintéressés (de 1 à 8bis) ainsi que vers un médecin réputé de la médecine fonctionnelle. Et pour finir une mise à jour 2021 sur les risques complexes et aventureux des vaccins à ARN sortis des chapeaux de nos maîtres magiciens les plus fortunés.

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1) Dr De Soyres. A contre courant sur le Covid : l'angoisse problématique du personnel médical et des politiques 
https://www.youtube.com/watch?v=rCA6jfFKog0

2) Dans le cadre de Discovery, après s’être fait remonter les bretelles pour avoir zappé l’Azithromycine dans le protocole de Didier Raoult, les testeurs n’ont plus trouvé assez de patients pour tester les molécules concurrentes. La grande majorité des volontaires exigeant sagement de sauver leur peau. Pour être précis, exigeant le protocole Hydroxychloroquine /Azithromycine de Didier Raoult...

3) COVID-19 : LES VIEUX SACRIFIÉS (Vidéo Le Media avec Denis Robert -> le sujet commence à 10:08)
https://www.youtube.com/watch?v=CTA7kY-aWEE

4) Sur le très complet et excellent blog Mediapart de Basicblog
Covid à l’école I : « Les enfants ne se sentent pas autorisés à respirer »
https://blogs.mediapart.fr/basicblog/blog/050920/covid-l-ecole-i-les-enfants-ne-se-sentent-pas-autorises-respirer

4bis) David Mendels, physicien et Directeur d’une entreprise spécialisée en intelligence artificielle, cooptée  par l’Etat pour mesurer la fiabilité des tests Covid 19 dits « rapides » va voir les résultats de son travail, inversés, par le ministère de la santé... Les produits déficients sont agréés, les meilleurs strictement écartés ! Ah bon ? Si vous ne devez regarder qu’une vidéo, c’est celle-là.
Tests covid-19 : révélations sur un nouveau scandale sanitaire
Une vidéo de Denis Robert. https://www.youtube.com/watch?v=vrjmY_ffgAg

5) Christian Perronne, chef de service de l’unité des maladies infectieuses et tropicales Raymond Poincaré de Garches, spécialiste mondial de la maladie de Lyme et ancien président de la commission spécialisée « Maladies transmissibles » du Haut Conseil  de la santé publique, publie : "Y a-t-il une erreur qu'ils n'ont pas commise ?" Il connaît tout de la baraque d’état, et n’est strictement pas achetable. 
Chloroquine Vs Remdésivir Christian Perronne dénonce des conflits d'intérêts avec GILEAD  https://www.youtube.com/watch?v=6rldLQkdHrA

6) 25 août 2020 - Le Pr Raoult fait le Point : Situation de l’épidémie à Marseille et création d'un hyper objet fantasmatique nommé  hydroxychloroquine
https://www.agoravox.tv/actualites/sante/article/25-aout-2020-le-pr-raoult-fait-le-86809

   22 septembre 2020 - Le Pr Raoult sur l'évolution mondiale de l’épidémie; sur les Covid mutants;
https://www.youtube.com/watch?v=Lvb7OSAKbfo&feature=emb_rel_pause

6 bis) Le tableau mondial du Covid 19, mis à jour quotidiennement, affichant nombre de cas décelés, nombre de décès, population.
Coronavirus Update (Live): 4,489,460 Cases and 301,024 Deaths from COVID-19 Virus Pandemic - Worldometer https://www.worldometers.info/coronavirus/

7) Le témoignage de grande ampleur d’un médecin qui se coltine pour de vrai avec cette pandémie.  La France interdit l'hydroxychloroquine : «Nous devons récupérer la liberté de prescription» Avec Violaine Guérin, immunologiste et praticienne libérale. https://www.youtube.com/watch?v=7B02tMuYSIY 

8) Un courant thérapeutique transdiciplinaire et expérimenté, animé par des médecins chercheurs, hospitaliers et de ville, prenant le temps d’écouter leurs patients et possédant une boîte à outils riche et amendable, autant pour le diagnostique que la thérapeutique. Dr Stéphane Résimont - Coronavirus, boostez votre immunité. https://www.youtube.com/watch?v=vofQ4VMOT3k

8 bis) Correctif janvier 2021. Adenovirus, virus recombinants, vaccins classiques à ADN, vaccins à ARN dernière mode, vous n'y comprenez pas grand-chose ou rien ? Comme 99% de la population, dont hélas la quasi totalité des journalistes, mais également une majorité de scientifiques non spécialisés, voire nombre de médecins de terrain, et c'est normal. Ce sont d’abord des technologies complexes dont l’exposition, à l’image des "sciences" économiques est rendue plus obscure encore via la ligne de fuite du système : désintérêt pour les approches systémiques de l’immunité et de l’environnement, en clair, de la santé, approches toujours perçues comme futiles et négligeables face au désir de renommée et de bénéfices financiers exponentiels, manipulations souvent hasardeuses de virus ou bactéries extrêmement dangereuses, ensemble de pratiques devenues majoritaires et sans finalités réellement curatives chez la plupart des Big Pharma. 
Et tout ça sous la bénédiction d'Etats inféodés, corruptibles et incultes, de lobbies militaros-industriels paranoïaques (voir la vidéo du Pr. Tritto plus bas) et de pratiques d'apprentis sorciers mono rail. Comme disait Magendie, premier professeur de Claude Bernard, père de la vivisection sans limite et figure sanguinaire adoubé par le système : "Expérimentez ! Expérimentez ! Il en sortira toujours quelque-chose. ». 
Dans cette instrumentalisation et cette réification sans limite du vivant, à travers ce que nous vivons aujourd’hui et que nous nous apprêtons probablement à vivre plus fort encore dans le futur, nous commençons en effet à expérimenter cruellement, sur nous mêmes, les désastres de cet hubris aussi cynique qu'ingénu.
Contre ce bourrage de crâne au long cours, voila une vidéo pédagogique par un chercheur qui ne se moque pas du monde, Jacques Velot, docteur en biologie, maître de conférences en génétique moléculaire à l’Université Paris-Sud, président du conseil scientifique du CRIIGEN (Comité de Recherche et d’Information Indépendantes sur le génie Génétique) un comité d’expertise et de formation réellement indépendant (dont Jacques Testart) orienté vers la surveillance des pratiques du génie génétique, tant dans le domaine de la santé que celui de l’empoisonnement des écosystèmes. Covid-19 : Les Technologies Vaccinales à la loupe. https://criigen.org/covid-19-les-technologies-vaccinales-a-la-loupe-video/

A partir de la minute 27.00 de cette vidéo, vous comprendrez mieux, entre les lignes, les affirmations de Luc Montagné, ou de Tasuku Honjo, deux prix Nobel de médecine, quant à la nature réelle probable de ce Corona virus. Avancées par nombre de scientifiques spécialisés en virologie, épidémiologie, biotechnologie ou immunologie, ces informations exposent l’historicité de la conception humaine du Covid 19. Laquelle ne préjuge en rien d’un projet volontaire de contamination selon Luc Montagné, mais de la probable fuite accidentelle d’une combinaison en cours à visée vaccinale. Des manipulations qui font appel depuis toujours, à un large panel de virus ou de bactéries dont certains particulièrement redoutables.
A ce propos, et pour finir sur cette chronologie implacablement prévisible, le compte-rendu d’une interview du Professeur Joseph Tritto, microchirurgien, expert en biotechnologie et nanotechnologie et président de la WABT (Académie mondiale des sciences et technologies biomédicales) auteur de « La chimère qui a changé le monde : la covid-19 vient de Wuhan ». Où comment les personnages clef d’un polar cataclysmique ne s'avèrent pas tous chinois, mais aussi français et étatsuniens. 
https://www.francesoir.fr/societe-sante/covid-19-lorigine-du-virus-lanalyse-du-pr-tritto-confirme-celle-du-pr-montagnier

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