La sensibilité du modèle climatique au CO2 dépend fortement des paramétrisations artificielles (par exemple les nuages, la convection) qui sont mises en œuvre dans des modèles climatiques mondiaux qui utilisent le mauvais système dynamique atmosphérique et une dissipation excessive
Michael Shellenberger est fondateur et président de l’association Environmental Progress, qui se réclame de l’écomodernisme. Il vient de publier, Apocalypse Never (Harper Collins 30 juin 2020), un livre dans lequel il dénonce les déclarations apocalyptiques sur le climat qui sont scientifiquement erronées et politiquement contre-productives
Samedi 21 juin une température de 38 °C a été relevée à Verkhoïansk, une ville de Sibérie d’environ 1300 habitants située dans la République de Sakha à 4 675 km de Moscou. L’événement a déclenché une tempête médiatique. Le Monde, donnant le ton, a titré : « chaleur record en Sibérie : 38 °C au-delà du cercle arctique !
Comme vous le savez, la Convention citoyenne pour le climat (CCC) vient de publier ses 150 propositions pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, et le président de la République s’est engagé à en reprendre l’essentiel.
Le texte qui suit est le résumé d’un article intitulé « Sécheresses et canicules avant le global Warming – 1500-1950 », (Editions Hermann) écrit par l’historien du climat Emmanuel GARNIER (Institut Universitaire de France – Centre de Recherche d’histoire quantitative. UMR – CNRS Université de Caen).
Le GWPF (Global Warming Policy Foundation) vient de publier son rapport sur l’état du climat en 2019 rédigé par Ole Humlum professeur émérite de géographie physique à l’université d’Oslo (Norvège). La traduction en français a été réalisée par l’association des climato-réalistes
La défiance envers la science ne date pas de la découverte d’un papier déplorable dans la revue prestigieuse The Lancet. Les revues à comité de lecture en ont accepté bien d’autres, jusqu’à de fausses études destinées à les ridiculiser.
Apparu en France en 2015, le climato- réalisme voit dans le climat un objet de science et non d’idéologie. Les évolutions climatiques sont multiples et mal comprises, si bien que rien ne prouve que notre mode de vie causerait un « dérèglement climatique »