Quelles que soient les scories que comporte le mouvement des gilets jaunes, quels que soient les parasitages dégradants, voyons que, dans le soudain redressement des courbés, dans la vocifération des ignorés, dans l’exaspération des derniers de cordée, il y a la revendication d’hommes et de femmes, de vieux et de jeunes, d’être reconnus comme êtres humains à part entière.
Les gilets jaunes sont le signe d’une crise de foi. Crise de la foi dans l’État, dans les institutions, dans les partis, dans la démocratie, dans ce que les partis appellent le système tout en faisant partie du système.
Dimanche 14 octobre, au Hall de la chanson à la Villette à Paris, je vous propose de découvrir mes chansons de prédilection, poétiques ou révolutionnaires, qui ont ponctué l’Histoire de France et l'histoire de ma vie.
Nous vivons dans une civilisation où la domination de l’intérêt (personnel et/ou matériel) du calcul (dont les chiffres ignorent le bonheur et le malheur) du quantitatif (PIB, croissance, statistiques, sondages) de l’économique, est devenu hégémonique.