L’embouteillage de parutions promis par la pause forcée du marché du livre augure à la reprise d’un enfer logistique pour les libraires et les éditeurs – et l’ensemble des free lance avec qui ils travaillent. Pourtant, ce ne sera pas beaucoup plus absurde que d’habitude, juste un peu plus. Et si on faisait en sorte que la crise du livre ne soit plus une fatalité ?
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