Billet de blog 6 décembre 2021

Denis Garnier (avatar)

Denis Garnier

Retraité, auteur, blogueur et maintenant, artiste peintre.

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Les médecins se rebiffent et peuvent prescrire la chloroquine et l'ivermectine !

Les médecins ne pourraient plus prescrire librement ? Faux ! En France, le Conseil d'État a rappelé que le Plaquenil pouvait être prescrit en dehors des indications de son autorisation de mise sur le marché. En Belgique, des médecins se rebiffent et dénoncent la politique vaccinale qui est entièrement pilotée par des lobbies et non par des médecins. La science a pris un tournant vers les ténèbres.

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

Les médecins sont-ils prêts à traiter des malades atteints par la COVID-19 pour leur éviter une éventuelle hospitalisation ? Sont-ils prêts pour prescrire des traitements qui ont fait leurs preuves ailleurs ? Sont-ils libres de le faire ? La question mérite d’être examinée.

Dans un arrêt du Conseil d’État N° 440244, du 28 janvier 2021, il a été demandé au Conseil d’État d’annuler un décret parce qu’il mettait fin à la possibilité pour les médecins de prescrire l’hydroxychloroquine pour les malades atteints de covid-19. Le recours a été perdu parce que le Conseil d’État a jugé que sous conditions, l’hydroxychloroquine pouvait être prescrite aux patients atteints par la COVID-19 et ce « en dehors des indications de son autorisation de mise sur le marché.« 

Extraits :

« L’usage de l’hydroxychloroquine dans les indications de son autorisation de mise sur le marché est bien documenté, il peut provoquer des hypoglycémies sévères et entraîner des anomalies ou une irrégularité du rythme cardiaque susceptibles d’engager le pronostic vital et présente des risques importants en cas d’interaction médicamenteuse. Son administration, si elle peut être le fait de médecins de ville, suppose ainsi, non seulement le respect de précautions particulières, mais également un suivi spécifique des patients, notamment sur le plan cardiaque.« 

« Il résulte de ce qui été dit ci-dessus qu’en autorisant la prescription de l’hydroxychloroquine aux patients atteints de covid-19, […] le Plaquenil était susceptible d’être prescrit en dehors des indications de son autorisation de mise sur le marché. Par suite, le moyen tiré de ce que les dispositions contestées méconnaitraient la liberté de prescription des médecins ne peut qu’être écarté ».

Ainsi, de nombreux médecins prescrivent l’hydroxychloroquine – en suivant le protocole du Professeur Raoult – ainsi que de l’Ivermectine. C’est ce qu’on appelle un usage compassionnel. D’ailleurs, si ce traitement était dangereux, le Pr Raoult aurait été lourdement condamné par ses pairs. Or, le Conseil de l’Ordre des médecins n’a infligé qu’un blâme dont les motivations ne sont pas encore connues (Voir ICI).

En fait, il suffit que les médecins mettent en avant leur serment d’Hippocrate, le droit qui les protège et qui leur permet de prescrire, y compris dans le cadre du traitement de la COVID-19 ! Le gouvernement et ses officines peuvent continuer à compter les cas positifs. Les médecins doivent traiter les malades pour éviter de voir une possible saturation des services hospitaliers.

Il est difficile d’être non-conformiste aujourd’hui, mais le courage rend tout plus facile et compréhensible, comme la situation ci-dessous le rappelle.

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Des médecins se rebiffent :

« Les médecins sont nombreux à penser comme moi, cependant ils n’ont pas le courage et je les comprends. Quand on a 45 ans une maison à payer et des enfants à l’université, comment pourraient-ils, comment peut-on leur demander d’avoir le courage de prendre le risque d’être radié ? Moi, je n’ai pas peur le d’Ordre !».

Alain Colignon, avec deux autres médecins, intente un procès contre l’État belge. Il demande à être entendu par l’Ordre des médecins pour que soit rendus publics les effets catastrophiques des vaccins. Oui, c’est en Belgique et la situation est tout à fait comparable en France.

Dans cette vidéo en direct, sans commentaire, il dit les choses telles qu’il les ressent en tant que médecin. Il condamne certaines publications des anti-vax qui desservent la cause défendue.

« La politique vaccinale est entièrement pilotée par des lobbies et pas par des médecins ».[…] « Priver les médecins du droit de traiter avec des médicaments totalement inoffensifs est criminel ».[…] « J’ai traité 150 patients atteints par la COVID avec l’Ivermectine et l’hydroxychloroquine et je n’ai aucune hospitalisation aucune réanimation ni besoin d’oxygène. Les études qui discréditent ces traitements sont le fruit de collusions extrêmement douteuses ».

Il cite notamment, celle publiée par le Lancet et retirée quelques jours après.

« Je n’ai jamais vu des vaccins avec autant d’effets secondaires. Là, c’est une certitude ». Enfin, ce médecin n’hésite pas à dire que « on est dans la criminalité organisée, car il n’y a aucun intérêt pour des enfants de 5 à 11 ans de se faire vacciner ».

« La science a pris un tournant vers les ténèbres. L’argent et la science ne vont plus bien ensemble ».

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https://www.kairospresse.be/video/Proces_d_un_medecin_belge.mp4

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