JUSTICE POUR GAZA:
LE GOUVERNEMENT FRANÇAIS
DOIT
(S’)
INTERVENIR
Le bateau Fredom a aussi été attaqué par la marine de guerre israélienne et les militant-e-s arrêté-e-s.
Le gouvernement français n’a rien fait s’agissant du premier bateau.
La pression doit continuer pour qu’il agisse maintenant, pour la libération des emprisonné-e-s dont Pascal Mauriéras qui est français et pour que les bateaux soient rendus et puissent poursuivre leur route.
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La population
de la bande de Gaza
vit sous blocus
terrestre.
aérien
et maritime
depuis 11 ans.
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La situation récente à Gaza
montre comment Israël
impose ce blocus
de façon quotidienne:
répression
et assassinats
de manifestant-e-s
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dont des enfants
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lors des marches du retour,
coupures d’électricité qui empêchent
y compris le fonctionnement
des hôpitaux.
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Gaza survit
sous perfusion
et dans un contexte de complicité
des institutions internationales
et des gouvernements occidentaux.
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La flottille de la liberté a été organisée par une coalition d’organisations de la société civiles de nombreux pays,
elle conteste le blocus
et a organisé le départ de 4 départs de Suède le 15 mai.
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Le principal bateau
a été intercepté
de manière illégale
car contraire au droit international
dans les eaux internationales
à 50.000 miles nautiques de Gaza.
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Il transportait des médicaments
qui manquent cruellement sur place.
Les participant-e-s venaient
de 16 pays
dont la France
avec Sarah Katz
militante de l’Union juive française pour la paix (UJFP).
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Toutes les personnes à bord
on été incarcérées
et le bateau séquestré.
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Nous exigeons:
• La libération de tous les membres de l’équipage emprisonné-e-s
• La restitution du bateau et le droit d’accoster avec le matériel médical.
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Celui-ci ainsi que les instituons européennes doivent agir contre ce blocus,
car ils en ont les moyens
notamment par la suspension
de l’accord avec Israël
qui contient une clause
de respect
des droits de l’homme.
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Le gouvernement français doit intervenir en ce sens comme il est d’usage de le faire en soutien aux citoyen-ne-s français-es et contre un blocus illégal.
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Pour les militant-es et les citoyen-ne-s engagé-es dans la solidarité avec la Palestine,
il s’agit d’un événement supplémentaire qui ne peut que renforcer notre volonté d’isoler l’État d’Israël
notamment par la campagne Boycott, Désinvestissement, Sanctions (BDS),
à l’initiative des organisations de la société civile palestinienne.
Union Syndicale Solidaires, Paris, 2 août 2018.
Repris in, Site UJFP.
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Choix, découpage, notes et différées, chapô, E’M.C.