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EXTRAITS
« Nous étions cinq dans ma cellule,
alors qu’elle ne peut accueillir que deux personnes.
Nous n’avions presque pas d’air.
Les visites des proches sont interdites en prison.
Pendant toute mon incarcération
je n’ai eu aucun moyen de communiquer
avec ma famille.
Aucun courrier ne m’est parvenu.
C’est très dur psychologiquement...
On perd notre liberté
et on voit des prisonnières
blessées ou torturées,
à qui on refuse les soins.
On n’a ni le droit de s’exprimer,
ni de dessiner.
Et tout ça n’est qu’une partie
de ce que vivent les prisonniers politiques là-bas. »
Ahed Tamimi.
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