J’ai lu tous les programmes des candidats. Tousse.
Jean de La Balle, Anne Lumbago, Jean-Luc Allons-bon, Emmanuel Macaron, Marlène Le Pine, Yannick Viens-donc, Nosferatu, Philippe Bisou, Nathalie Râteau… Nicolas Du pont des champs, Fabien Bébel, Valérie Détresse.
Tousse.
Et je dois dire, qu’il y en a qu’un qui me convient.
J’avais pourtant juré de ne plus jamais donner mon avis sur les réseaux du net. Surtout celui-là, le journal à monsieur Pleyel… qui a été bien clair quand j'ai souscrit mon abonnement :
"Pas de promossion !" qu'il a dit, "Sinon je vous la mets haut !"
Mais bon j’y tiens plus !
Alors je vais le faire en rébus.
(Avec son vrai nom)
Mon premier est la conjugaison à la première personne du singulier d’un verbe qui vante les mérites d’un dialogue joyeux, sans limite et sans distinction de classe, que ce soit en humanité ou en cuisine.
Mon second est une partie du corps humain dont a réussi à faire un équivalent sous forme de prothèse et qui permet grâce à sa forme sphéroïde de joindre les membres inférieurs au tronc et également de marcher.
Mon troisième est un pronom personnel indéfini de troisième personne, qui n’a pas connu une aussi bonne fortune que le « it » anglais.
Mon tout, - en imaginant que nous tenions devant nous nos deux mains posées sur la table - est le seul candidat qui peut porter au second tour la partie du spectre politique située - si tout le monde était ambidextre - à la main souvent mal considérée pour des raisons de domination sociale mais qui est pourtant tout aussi importante que la droite, sinon plus, si l’on se situe dans une perspective de véritable changement.
J’espère avoir été clair et je vous fais des bisous. Sur la joue droite et surtout sur la joue gauche.
J'ajoute que ce billet à rébus n'engage que moi, et non les autres auteurs de cette honorable édition.