Après "Nuit noire", que j'avais chroniquée l'an dernier (lire ici), David Géry passe au pluriel. Sa nouvelle exposition, "Nuits noires" donc, creuse un peu plus le sillon de l'épaisseur nocturne et ose une tache rouge ici (Le Petit Chaperon rouge), des effervescences marines là (Les Vagues). Difficile de résister au désir de Descendre de la dune, de suivre ces planches qui mènent au vertige, sur une plage la nuit. Difficile de s'arracher au désir de multiplier les angles de vue. À (re)voir.
Après "Nuit noire", que j'avais chroniquée l'an dernier (lire ici), David Géry passe au pluriel. Sa nouvelle exposition, "Nuits noires" donc, creuse un peu plus le sillon de l'épaisseur nocturne et ose une tache rouge ici (Le Petit Chaperon rouge), des effervescences marines là (Les Vagues). Difficile de résister au désir de Descendre de la dune, de suivre ces planches qui mènent au vertige, sur une plage la nuit. Difficile de s'arracher au désir de multiplier les angles de vue. À (re)voir.
"Nuits noires"
Du 15 au 26 septembre 2015
Galerie Couteron
16, rue Guénégaud
75006 Paris
Métro Odéon
La galerie sera ouverte tous les jours de 14 heures à 19 heures – et sur RDV au +33 (0) 661 866 114