Depuis le 5 juin, bientôt plus de deux semaines, Maja, antifasciste allemand·e de 24 ans, est en grève de la faim. Arrêté·e en Allemagne le 11 décembre 2023, Maja est actuellement en détention préventive dans les geôles hongroises et risque jusqu'à 24 ans de prison. Il lui est reproché, comme à Ilaria Salis et Gino, sa participation à une contre-manifestation antifasciste le 11 février 2023 à Budapest.
Depuis le 8 mars, des accusations d'antisémitisme pleuvent sur le mouvement féministe. On raconte que des femmes auraient été empêchées de défiler à la manifestation annuelle de lutte pour les droits des femmes et des minorités de genre en raison de leur identité juive.
Le 8 mars 2025, la manifestation féministe parisienne a, d'un même mouvement, repoussé l'extrême droite. Nous vous proposons le récit des événements tels que nous les avons vécus, depuis les mois de préparation jusqu'aux horizons que nous voyons maintenant se dessiner et aux enseignements que nous proposons d'en tirer.
Ce mercredi 12 mars, Gino, militant antifasciste incarcéré à la prison de Fresnes depuis 4 mois, comparaitra à la Cour d’appel de Paris. Gino risque d’être extradé vers la Hongrie, où il est accusé d’avoir participé à des violences contre des militants néo-nazis à Budapest le 11 février 2023.
Ce dimanche 16 février, à Paris, la projection du film antifasciste Z, organisée par des camarades de Young Struggle et des militant.es kurdes dans les locaux de l'ACTIT (Association culturelle des travailleurs immigrés de Turquie), a été violemment attaquée par une vingtaine d'individus armés de bâtons et de couteaux.
[Rediffusion] Ce texte est extrait de notre prise de parole au meeting du 25 janvier, lors de l’événement Retour de Flamme que nous avons organisé dans le cadre de la campagne « Grève féministe pour battre l’extrême droite » de la Coordination féministe.
Le 25 janvier à Montreuil, les Féministes Révolutionnaires organisent “Retour de flamme : résistances féministes face à l’extrême droite”, une journée d’échanges et de combat, dans le cadre de la campagne nationale “Grève féministe pour battre l’extrême droite”, portée par la Coordination féministe. Au programme : deux tables rondes, un meeting de lutte et un village militant.