Nous n'avons, à juste titre, plus confiance dans l'information médiatique dite «mainstream».
À l'image de Médiapart, de plus en plus de citoyens (lanceurs d'alertes des technostructures, journalistes honnêtes rebelles, experts universitaires, simples citoyens) se saisissent du processus informationnel participatif démocratique qu'est internet, avec sa vraie presse alternative, pour nous alerter.
Mais il faut aussi se remettre en cause soit même sur sa culture et sur sa programmation éducative. Parce qu'il n'y a pas que l'information qui nous pervertie sur nos pensées 🤐.
Nous allons donc ici aborder dans notre série d'articles sur la démocratie le comment de la domination sociale par la fabrique du consentement. Je vous invite aussi à lire l'article La fabrique du consentement : L'origine, la première partie, pour comprendre le pourquoi de cette manipulation sociale des dominants aristocratiques.
Comme nous l'avons vu dans l'article sur les structures sociales nous vivons dans une aristocratie représentative des candidats de la ploutocratie, qui vient de basculer du parlementaire à la monarchie présidentielle autoritaire, la dictature du temps des romains.
L'ennemie numéro un des partisans des systèmes aristocratiques, c'est la démocratie, son inverse.
Ils s'opposent alors à :
- La gestion démocratique de la sécurité intérieure et extérieure des individus et des collectifs…
- La décision populaire ou collective…
- L'établissement et le choix démocratique des règles (de chaque règles)…
- La contestation, le contrôle et l'arbitrage social collectif…
- La critique idéologique ou la confrontation culturelle, l'information citoyenne ou des citoyens, le choix populaire ou personnel d'éducation et de formation…
- Le besoin individuel, social et communautaire citoyen avec la démocratie économique. L'autonomie citoyenne du travail et l'activité individuelle choisie de la démocratie du travail…
- Le choix collectif et la réflexion sociale des structures communautaires avec de la démocratie structurelle…
Tout au long de notre vie nous sommes parasités par des «fake news» et savoir faire d'endoctrinements sociaux que l'on peut classer, je pense, suivant trois familles d'attaques de programmations sociales :
- L’apprentissage
- L'information
- La culture
Les acteurs
Actuellement les donneurs d'ordres aristocratiques sont les bourgeois du monde de la banque de placements, dit capitalistes.
Ils sont épaulés par les aristocrates des technostructures de médiations sociales (politiques, hauts fonctionnaires, policiers/militaires/juges, mafia, journalistes, syndicats d'employeurs et de salariés, associations, etc.) et les réactionnaires, ces conservateurs de l'ordre aristocratique autoritaire. Cette population, c'est ce que l'on appelle les chiens de garde !
Et le tout c'est ce que l'on appelle l'oligarchie…
Leur volonté est d'agir sur les individus et leurs relations sociales pour les changer à leur avantage de dominants.
C'est à l'image de ce que fait un parasite qui transforme son hôte pour se faire accepter.
L'ingénierie de cet endoctrinement ce sont les experts des «think tanks» qui la font.
Sa mise en place, elle, se fait au travers des chiens de gardes.
Exemple des enfants et parents des dominants rentiers (de la banque du placement), par l'intermédiaire des écoles supérieures de la république ou des cabinets de conseils, qui sont parachutés dans les circuits de décisions sur les gouvernances des administrations (système des diplômes et désignations des politiques), de la protection sociale (souvent au travers du MEDEF) et des entreprises (RH et recrutements).
Et l'acceptation sociale de ces parasitages s'industrialise avec les journalistes «mainstream», les religieux et idéologues (libéraux, réactionnaires, social démocrates, centristes, etc.), avec les programmes de l'éducation nationale, et avec l'éducation culturelle communautaire et familiale.
L'apprentissage
Apprendre c'est reproduire, acquérir une culture, et expérimenter tout cela pour corriger ses erreurs de pratiques et de compréhensions.
L'un des piliers de la pédagogie c'est donc la gestion des erreurs !
Comme on le dit en science on devient intelligent parce qu'on apprend de ses erreurs.
Alors pourquoi on sanctionne autant l'erreur dans nos sociétés ?
Parce qu'il faut dire amen aux contradictions de leurs conditionnements sociaux…
L'apprentissage chez les humains est donc un des outils de la fabrique du consentement à l'ordre aristocratique.
Pour ce faire ils modifient notre apprentissage sur :
- Le langage,
- La pensée pré-construite,
- L'information,
- L'éducation et la culture.
Le langage
N'avez-vous pas remarqué que nos dominants sont plutôt des personnes qui maîtrisent bien la langue française ?
À défaut d'être compétant sur la gestion de la société dans l'intérêts général…
Ces dominants vont alors agir sur le vocabulaire par l'académie française (exemple de Valéry Giscard d'Estaing), le système d'éducation (programmation des enfants et des jeunes adultes), les médias «mainstream» et les représentants politiques (la massification des modifications), les RH d'entreprises (programmation des travailleurs).
C'est une action sur les outils même de la pensée et de la réflexion, le vocabulaire.
En jouant sur les possibilités d'expressions avec les mots et leurs combinaisons de sens, ils conditionnent alors nos possibilités de réflexions en agissant sur les réflexes de pensées ou les limites de pensées par le vocabulaire.
Que changent-ils dans le vocabulaire pour faire tout cela ?
Sémantique ou évolution de sens
Ce sont des actions sur le sens des mots pour en changer l'utilisation et la compréhension. Cela permet d'effacer des systèmes de pensées, ou d'en créer…
- Effacement de sens (sigles, obsolescence vocabulaire, diabolisation de mots, échange de sens).
- Changements positifs ou négatifs de sens (anglicismes, euphémismes, pléonasmes, technicisateurs).
- Remplacements de sens.
Exemple d'effacements de sens avec «CNR» (Conseil National de la Résistance en Conseil National de la Refondation).
Le «collectivisme» (mise en démocratie des biens productifs) qui est rarement utilisé médiatiquement pour le faire tomber dans l'oublie après avoir bien diabolisé les nationalisations et les entreprises d'état résultat des politiques libérales keynésiennes d'après guerre. Idem pour le mot «communisme» (démocratie économique) et «socialisme» (démocratie du travail) qui sont dans la diabolisation. Il y a aussi le remplacement de «libre au travail» avec libéral (démocratie=libéral au USA) et anarchie libertaire, de la démocratie fédérale, avec libertarien de la loi du talion fasciste des dominants sociaux et économiques.
Exemple de changements en positif avec l'évolution sémantique de «l'impôt» aux dominants aristocratiques, «en taxes» pour la collectivité, «puis en usure» pour l'aidant économique, «puis en rentes» financières (plus d'humains dans le système), «puis en bénéfices», «plus-value», puis en «valeur» (transformation d'un concept et de mots négatifs de la domination aristocratique de ploutocratie, en positif).
En négatif avec «citoyens» que l'on transforme en «populaire» puis «populisme». «Protections sociales» en «aides sociales», puis «assistances sociales». «Cotisations d'assurances sociales du salarié», «cotisations du brut salarial du salaire», «cotisations employeurs/salariés du brut salarial», «cotisations employeurs», «charges sociales». «Travailleur en inactivité», «travailleur sans emploi», «demandeur d'emploi» en «chômeurs». etc.
Exemple de remplacement de sens comme «représentativité aristocratique» avec «démocratie», «rentiers» avec «investisseurs», «idéologues» avec «politiques», «élu» avec «démocrate», «représentants de l'état» avec «état», «social» avec «assistanat», «socialisme» (démocratie du travail) que l'on amalgame avec la «social démocratie libérale» (contre le socialisme) pour mieux le désavouer devant les citoyens, etc.
Le combinatoire et le champ des possibilités de sens
Ce sont des actions sur le combinatoire des mots à notre disposition pour nous exprimer et penser. C'est une technique pour effacer ou amplifier des concepts de pensées sociales et culturelles (de croyances). C'est travailler sur le contenu du dictionnaire des mots et de nos possibilités d'expressions de concepts avec.
- Multiplication des mots, des synonymes, pour le même sens.
- Suppression de mots, appauvrissement de sens à du vocabulaire pour en dévoyer les interprétations et les compréhensions (hyperboles, oxymores, faux-amis).
- Assimilation culturelle de vocabulaire.
Exemple d'enrichissements de mots à un sens «l'argent» pour le valoriser culturellement (flous, monnaie, moula, fric…).
Exemple de suppression de sens à du vocabulaire avec dictature qui impose unilatéralement sa décision aux autres, où ils ont rajouté le sens autoritarisme qui impose par la violence et la force, despotisme qui s'accapare les pouvoirs sociaux, et tyrannie qui maltraite sa population. Et surtout il ont sorti l'héritage du sens parent, le mot «aristocratique».
Les autres mots, autour de dictature, n'étant que des variantes pour préciser des aspects d'aristocraties, qu'elles soient représentatives ou intronisées.
«Riche milliardaire» est une hyperbole pour venter l'argent et le statut social des ploutocrates.
«Démocratie représentative» est un oxymore, puisque lorsqu'on est représenté on est en aristocratie, l'inverse de la démocratie.
Liberté d’entreprendre est un faux-amis, puisque subordonner quelqu'un c'est lui supprimer sa liberté.
Exemple d'assimilation culturelle libérale avec les mots «planning», «reporting», «task force», «boss», «management», etc. C'est l'évolution des mots vers une autre façon de penser avec l'intégration d'un dictionnaire étranger d'une autre culture.
La logique de liens et d'échanges d'informations de sens
Ce sont des actions sur le sens groupé des mots, c'est-à-dire l'utilisation dans des phrases et des discours pour paraître/convaincre socialement sur l'émotion et la croyance, c'est-à-dire sans rien exprimer réellement comme réponse concrète dans un échange. Ou en dupant sur l'expression les récepteurs humains de la communication avec leurs croyances d'écoutes, ce qu'ils ont envie d'entendre ou entendent de façon égo/socio/ethnocentré.
Le phénomène de répétition et d'ignorance du sujet des spectateurs faisant un conditionnement social sur du paraître (émotions et affectif social) et de l’inconscient (programmation de sens lexicaux)…
- Techniques phrasés fourre tout (concepts opérationnels, généralités, consensuel).
- Langage soutenu/courant (suprématies sociales et intellectuelles, méritocratie, égalitarisme).
- Langage technique (expert, professionnel).
- Langage paternaliste ou bien veillant (concept de sociabilité, de pacifisme, de raison ou de bien vaillance).
Exemple des mots «projets», «social», «démocratie», «progrès», «performance», «écologie», «égalité», «développement», etc. qui sont répétés continuellement médiatiquement et professionnellement de façon mécanique.
Exemple de la fameuse «concurrence libre et non faussée» qui veut dire «concurrence marchande libre avec les travailleurs, et non faussée par les régulations de protections de leurs conditions de travail et d’existences dignes».
Du «travailler plus pour gagner plus», qui réellement est «qu'ils travaillent plus pour qu'on gagne plus»…
Cela leur permet de nous mentir sur la vérité que l'on perçoit, tout en nous disant leur vérité en non dit.
C'est l'effacement de nuances qui fait que nous les percevons comme sincères.
C'est le mécanisme physiologique des individus de non analyse avec la mémoire procédurale qui est utilisé pour supprimer la réflexion.
Le but est d'inhiber la mémoire de travail, notre conscience avec notre logique d'analyses des données reçues par notre cerveau.
La mémoire de travail demandant beaucoup plus d'énergie au cerveau, en la fatigant avec le manque de sommeil (l'armée), ou en la rendant fainéante (comportement impulsif des réseaux sociaux, des chats/sms, du consumérisme, etc.), ils inhibent son fonctionnement.
Alors ils utilisent la répétition, qui est le mécanisme d'enregistrement de la mémoire procédurale. Les matraquages informatifs de publicités, journalistiques, religieux ou d'entreprises. Ils nous programment ainsi socialement des réflexes de pensées sans que l'on ne s'en rende compte !
Exemple de l'insécurités, des racismes et discriminations, des peurs, de l'amour de l'argent et des dominations (avec les princes charmants dominateurs beaux et protecteurs, ou les princesses femmes objets poupées gonflables).
Ainsi ils peuvent programmer à notre insu des réflexes de pensées pour inhiber nos réflexes d'esprit critique et de volonté participative au groupe, aux décisions sociales, au respect de la différence des autres, la politique…
L’information
De nos jours l'information aux citoyens «mainstrean», universitaire, académique et des travailleurs est contrôlée par le monde financier. Seul internet encore résiste à ce contrôle (mais nos élus libéraux et réactionnaires s'en chargent)…
L'information ce sont les données observationnelles dont nous disposons pour établir un raisonnement social et de faits.
À informations fausses analyses fausses, et la perversion libérale, ou aristocratique, est dans la gestion du type d'erreurs pour orienter les analyses globalement…
Infox
Actualités
C'est jouer sur la véracité et l'objectivité des faits avec l'information.
- Fake news «mainstream».
- Faux reportages ou reportages truqués et orientés.
- Faux citoyens lambda.
- Sujet controversé (utilisation de données universitaires controversées, ou avec un consensus comme étant fausse, et exposées comme étant une vérité évidente, exemple des religions, de l'histoire et de l'économie).
Spécialités
- Faux experts ou journalistes (lobbyistes ou militants politiques de propagande).
- Experts non reconnus par leurs pairs, ou abordant des sujets controversés comme vrais et démontrés faux par la communauté réelle/majoritaire des experts.
- Experts auto-coopté entre eux au niveau national (mandarinat) et contestés.
- Usurpation d'expertises. Faire parler sur un sujet qui n'est pas du domaine d'expertise (un cardiologue sur de l'immunitaire ou de la démographie).
Sujets abordés
C'est détourner le(s) sujet(s), et les relations informatives et d'expertises, pour orienter l'information et la pensé sociale.
- Mauvais traitement (le vrai sujet n'est pas abordé, le sujet est détourné, le sujet est orienté par les journalistes et les faux experts).
- Faux sujets (le sujet est consensuel, mais les journalistes et faux experts font comme s'il y avait désaccord ou opposition).
- Fausse définition du sujet (le sujet est mal défini pour pourrir le débat avec des complices, souvent de faux experts).
- Orientation générale des sujets. Choix des sujets à traiter pour orienter l'information perçu (impression d'une guerre civile, d'une délinquance généralisée, d'une bonne santé économique, des grèves partout ou nulle part, etc.)
- Dissimulation de sujets ou d'experts (on passe sous silences des informations importantes connues pour orienter l'opinion générale. On ne met pas une catégorie de vrais experts pour avoir une information globale orienté)
Pluralités des débats
C'est créer des déséquilibres d'analyses ou de débats d'experts pour orienter la perception sociale de l'information ou des interviewés.
- Mauvaise constitution des opposants et des divergences par une homogénéisation des pensées et des opinions.
- Disproportions des contradicteurs ou des informations (mise en minorité pour orienter les débats et l'information).
- Non décrédibilisation des mensonges avec des faits et preuves connues (cas traitement médiatique de Nicolas Sarkozy, d'Éric Zemmour, etc.)
Images et reportages
C'est donner une bonne ou mauvaise image de la personne pour orienter sur la perception sociale afin d'éluder le débat ou les faits.
- Décontextualisation des images ou reportages (on coupe l'agression d'un tiers puis on montre la réaction agressive de défense).
- Contexte d'images ou de reportages avantageux/désavantageux (diffusion de l'information ou du contenu de propagande, prises de vues ou images en défaveur/avantage systématique de l'interrogé ou de l'information).
- Diabolisation ou dé-diabolisation journalistique (stigmatisations/glorifications systématiques des propos, des échanges contradicteurs, des images choisies ou des reportages par les journalistes. Censure de la défense. Attaque sur l'expression ou la forme en évitant le fond et les faits).
Propagande
La propagande est un système de manipulation sociale par l'information, la culture ou l'analyse fausse afin de pervertir une réalité sociale ou idéologique désavantageuse en positif, ou une vérité, un fait contradictoire en négatif.
Mythes culturels
C'est la valorisation/dévalorisation systématique d'une idéologie, ou théologie, en s'appuyant sur des mythes faux.
Le but recherché c'est de programmer la croyance populaire dans sa culture même. Pour créer des réflexes identitaires culturels de dominations/subordinations à l'ordre établi ou à la croyance.
Exemple des religions avec le Judaïsme première religion (alors que c'est le christianisme qui vient du peuple juif en premier).
Du sapin de Noël avec ses boules colorées qui sont la représentation d'un pommier et de la nativité, mais utilisé pour la fête du solstice d'hiver pour des raisons aristocratiques du patriarcat militaire. Tout en oubliant le principe de générosité païen, en le transformant en fête commerciale et de consumérisme avec les cadeaux de Noël pour des raisons aristocratiques de ploutocratie.
Des anges asexués ou hermaphrodites…
De l'interdiction de représenter le prophète Muhammad, alors que cela ne pausait pas de problèmes pendant les 300 premières années…
Du père responsable et arbitre, et de la mère ménagère et bien aimante de la culture patriarcale aristocratique.
Du prince charmant, et de la princesse qui installe culturellement l'ordre aristocratique d'une façon positive aux enfants.
Science
C'est utiliser la caution scientifique pour justifier des actions, dont les auteurs savent pertinemment la fausseté ou la controverse en science.
Le but c'est de crédibiliser un mensonge.
Exemple de l'utilisation de faux scientifiques, qui sont surtout des idéologues, non reconnus comme sachant par des pairs nationaux ou internationaux (cas du mandarinat national) dans les spécialités abordés…
Des experts climato-sceptiques, économiques, religieux (qui ne sont pas historien mais théologiens), politiques, infox «mainstream» reprises ultérieurement comme vraie (cas des émeutes de PAU en 1994-95 à cause du meurtre d'un motard policier sur un étudiant français d'origine maghrébine, transformée médiatiquement par une révolte populaire pour protester contre le meurtre d'un voleur maghrébin de voitures) et c'est sur cela que s'appui Wikipedia ou l'intelligence artificielle en plus, etc.
Le «mainstream» plutôt que la crédibilité historique des sources…
Histoire
C'est construire un roman social historique à l'avantage de l'aristocratie dominante du moment.
Malgré les déconstructions universitaires de controverses archéologiques, historique où d'étude de mythes, les politiques et instances de médiations sociales mettent en place l'utilisation de données de propagandes idéologiques historiques, ou éducatives culturelles (cas du roman historique aristocratique de l'éducation nationale).
De façon générale cette propagande, avec celle de l'économie, s'exerce positivement pour les libéraux et les aristocraties, et négativement pour les anarchistes, socialistes ou communistes de l'expression démocratique sociale…
Exemple des approches aristocratiques de l'histoire (rois de France) et de la suppression de l'histoire sociale de la formation scolaire.
Histoire fantasmée romaine du peuple gaulois, du peuple français.
Passage sous silence du début de la mondialisation au 15ème siècle.
Histoire fantasmée des victoires révolutionnaires du peuple, alors qu'elles ont toutes été perdues et surtout gagnées par les bourgeois…
Création d'une terreur rouge, anachronisme des rouges de 1830 à 1848, puis blanche des royalistes. Tout cela pour ne pas dire «libérale» et bourgeoise. Système aristocratique représentatif qui évoluera en monarchie bourgeoise autoritaire (dictature de la banque des placements), le bonapartisme.
Idem pour le soutien américain des Nazis pour éviter la victoire Russe en 1943, avec les conséquences terribles que cela a eu sur le génocide judaïque. À mettre en relation avec le génocide indien d’Amérique, et l'actualité en Israël.
Idem sur la bascule hitlérienne la nuit des longs couteaux de l'idéologie rouge bruns (National Socialisme), avec l'extermination des partisans, vers l'extrême droite libérale, le fascisme (Johann Chapoutot, Fascisme, nazisme et régimes autoritaires en Europe, Paris, PUF, p. 94).
Cas d'Ambroise CROIZAT dans l'histoire récente, substitué par Pierre LAROQUE l'exécutant de la haute administration, pour effacer la paternité communiste de la Sécurité Sociale.
Économie
C'est faire passer des concepts économiques comme naturels ou obligatoire, ou censurer d'autres qui ont été démontrés expérimentalement comme vrais.
Par exemple les théories marxistes (de Marx) du capitalisme qui ont TOUTES été montrées comme vraies (et retirées du programme d'éducation nationale en économie). Et celles des libéraux, qui ont toutes été montrées comme fausses ou ne correspondant pas à la réalité, et pourtant généralisées dans le programme d'éducation nationale…
Cas de ce qu'ils racontent avec l’existence éternelle de l'argent, alors que ce système d'échange par la monnaie (en donnant une valeur d'échange aux objets) a été inventé vers -700 Av J.C. Tout cela pour prélever l'impôt aristocratique suivant leurs besoins. C'est alors l'effacement du rôle culturel solidaire du remboursement comptable des dettes d'entraides de l'économie originelle, de son dénombrement de service dans les relations de comptabilités et de ses arbitrages. Ils transforment alors l'équité comptable d'entraide sociale en valeur marchande le travail, ses productions et ses services. C'est l'impôt privé marchand, qui sera interdit dans un premier temps au peuple avec la religion sous le terme «usure», pour «être libéré» au 15ème siècle et qui va introniser l'aristocratie ploutocratique marchande au 17-18ème, les bourgeois…
Effacement médiatique du système triparties bancaire (de détail des comptes personnels, centrale de la création monétaire, et de placements de contrôles des productions et des échanges marchands).
Avec la fausse idéologie économique de l'épargne qui fait la trésorerie économique.
L'offre et la demande équitable et la main invisible du marché, alors que c'est la banque du placement qui de nos jours contrôle tout cela.
La concurrence source de progrès technologique et d'évolution positive (les ethnologues du développement dans les société en voie de développement, ou les biologistes du monde vivant vous en parleraient à l'inverse).
Les méritants et plus performants du travail qui réussissent (Darwin et les sociologues vous expliqueraient que ce sont les biens nés avec de bonnes possessions à rentes qui réussissent le mieux car adaptés au système qu'ils ont eux même mis en place).
Réglementaire
C'est l'utilisation du réglementaire, de sa supposée perfection ou sécurité, tout en oubliant que le contrat social se construit suivant un rapport de forces social et aristocratique.
Que c'est ces dominants aristocratiques qui définissent les règles sociales d'organisations (constitution), de décisions (vote), réglementaires (lois) d'arbitrages/répressions (justice et sanctions), d'économie (exécutif) et d'informations/éducation (fabrique du consentement).
C'est bien défini par les dominants aristocratiques, et c'est à peine régulé par les révoltes sociale démocratiques avec la construction d'un rapport de forces.
En plus, lorsqu'ils ouvrent aux citoyens la décision :
- Ils orientent la délibération citoyenne sur le contenu réglementaire avec un exposé d'experts idéologiques de l'aristocratie,
- Si le résultat ne va pas dans leur sens, ils ne respectent pas la(les) décision(s) (référendum sur la constitution européenne, convention citoyenne sur le climat, etc.)
- avec le choix du textes et de sa forme (référendum).
- Même les modalités du vote ne sont pas définies par les citoyens. Exemple de l'élection à deux tours des présidentielles qui pourrait-être facilement réduit à un tour avec le vote à jugement majoritaire (mais cela ne permettrait pas à la bourgeoisie de toujours gagner grâce à l'effet médiatique…).
Ils construisent alors de faux droits, devoirs et interdits démocratiques, mais surtout ils définissent une protection réglementaire de privilèges aristocratique et ploutocratique comme on peut le voir avec la délinquance en col blanc. Exemple du jugement d'Éric Dupond-Moretti et du délinquant mais pas coupable 🤑
Et ils font de la censures réglementaire des réalités juridiques et constitutionnelles de leurs lois quand cela les arrange (voir ce qu'il se passe actuellement avec le conseil constitutionnel).
Sociologie
C'est utiliser des comportements sociaux supposés vrais, ou mauvais pour manipuler et justifier des actes, répressions ou censures.
C'est aussi conditionner socialement à la sous-mission aux méritants ou aux dominants.
C'est développer le conditionnement à la financiarisation de tout, à l'argent roi, à l'individualisme, à la sous mission, à la rivalité avec les autres avec ses effets pervers du fascisme et du racisme, etc.
C'est déshumaniser les collectifs, le social, l'entraide, la solidarité, la collaboration gratuite, etc.
C'est effacer la démocratie dans tous ses aspects sur les dominations aristocratiques sociales…
L'homme plus fort que la femme, alors que ce sont généralement les femmes dans le monde qui font les travaux physiques.
L'homme est naturellement un dominant, alors que sociologiquement les enfants naturellement collaborent. C'est l'éducation et son système qui leur apprend la domination des autres…
L'homme serait naturellement égoïste et individualiste, alors qu'en phase de précarité il fait tout l'inverse (cas des pannes dans les métros qui socialisent tous les passagers).
La domination prédatrice dominante alors que c'est le symbiotique.
Les dominations sociales humaines naturelles, alors que c'est du parasitisme social.
Pas de violences/délinquances policières mais de la violence légitime en France.
Travailleurs profiteurs des assurances qu'ils ont payé (alors que la fraude est surtout du coté des employeurs et des financiers).
La pauvreté parce qu'on est fainéant, alors que c'est la conséquence de la flexibilisation des emplois, des bas salaires et des addictions (jeux d'argent, stupéfiants, achats compulsifs, etc.) passés sous silence.…
Organisation sociale
C'est utiliser l'organisation aristocratique comme justificatif du bon fonctionnement, ou le capitalisme comme source de bonheur et de développement social. C'est aussi la diabolisation des organisations opposées et supposées comme dangereuses, dysfonctionnelles ou utopiques.
La nécessité de l'organisation hiérarchique pour fonctionner (endoctrinement culturel millénaire du patriarcat militaire).
La démocratie des systèmes représentatifs (alors que les systèmes représentatifs sont de l'aristocratie, l'inverse de la démocratie).
Effacement des systèmes aristocratiques responsables des hiérarchies de classes sociales, des discriminations sociales et de la lutte des classes. Mais aussi des dictatures (voir les régimes dit communistes d'aristocraties idéologiques), des impérialismes (royalistes ou bourgeois) et des guerres.
Modèles monarchiques et parlementaires, soit représentatifs, soit intronisés, non explicités alors que pourtant bien défini historiquement par les grecs, les bourgeois français (Abbé Émmanuel Joseph SIEYÈS et François GUIZOT) avec l'aristocratie. Etc.
C'est effacer les structures réellement démocratiques que sont le fédéralisme des citoyens (un vote, une voie, une décision, un contrôle, un besoin, une action, etc.), l'associatif, les coopératives, le collectivisme, le mutualisme (avec l'exemple de la sécurité sociale quand les salariés votaient), etc. avec de l'aristocratie représentative géographique, communautaires, professionnelle, etc.
Dénigrement
Le dénigrement est le procédé qui consiste à discrédité l'individu opposant pour disqualifier les faits ou ses analyses…
Pour cela ces aristocrates dominants jouent sur la diabolisation, la décrédibilisation ou la déqualification.
Diabolisation
C'est jouer sur la perception sociale de la personne.
Agir sur sa réputation morale et comportementale de sa vie privée.
Parler de ses mœurs (sexualité, religion, partenaire dans la vie, famille, etc.) ou de ses origines.
Décrédibilisation
C'est remettre en cause sa compétence pour discréditer son intervention.
Agir sur sa qualité experte et communicante.
Parler de sa condition sociale, de son niveau d'étude, de sa maîtrise du français ou de l'orthographe.
Parler de son ton agressif, revendicatif, etc.
Parler de sa tenue, de son physique, etc.
Déqualification
C'est jouer sur sa reconnaissance sociale institutionnelle pour déqualifier le discours de la personne.
Agir sur sa reconnaissance institutionnelle.
Parler de sa qualification aristocratique (conflits d'accès des systèmes aristocratiques), de ses rivalités, etc.
Censure
La censure est un procédé d'effacement de contres informations, faits, analyses ou arguments, pour orienter la compréhension.
Faux opposants toujours invités sur le plateau et invisibilisation des vrais opposants.
Filtrage de l'information.
Expression non libre.
Détournement des expressions et débats.
Expression des journalistes à la place des acteurs.
Inégalités de temps médiatiques et d'échanges.
Iniquités collectives volontaire des oppositions.
L'éducation et la culture
Comme nous avons pu le remarquer avec l'apprentissage du langage, les aristocrates nous inhibent par le sens des mots notre réflexion, reprogramme nos perceptions de pensées, nos concepts, avec des outils bien connus par eux dans le monde marchand (banque du placement) ou des gouvernances aristocratiques.
Ce sont des procédés identiques pour l'information, et enfin, ils font la même chose avec notre éducation et notre culture.
L'éducation ce sont les habiletés, la culture et les compréhensions logiques et expérimentales que l'on nous programme par des processus pédagogiques d'apprentissages.
La culture ce sont les informations que l'on a mémorisé sur notre environnement. Sur la perception du monde et ses interactions humaines.
C'est une programmation depuis notre plus petite enfance qui est donc familiale et sociale, aussi construite sur des interactions avec les autres, nos médias et intellectuelles.
Ce sont les pratiques d'actions sur la nature ou sociales, les données de cultures, et les logiques entre ces données qui vont être ciblées pour nous conditionner aristocratiquement et économiquement.
Pour cela ils décident des évolutions de manipulations au travers de l'académie française et des sciences, au travers des élus politiques de la ploutocratie, des parachutés de nos technostructures d'état, et de la médiation sociale, avec des programmes d'éducation nationale du français, de l'histoire et de l'économie.
C'est la programmation pour notre cérébral de notre mémoire procédurale (réflexes conditionnels de Ivan Petrovitch Pavlov) et de notre mémoire sémantique (logique).
Tout cela va permettre de duper la mémoire de travail (notre réflexion et notre conscience), notre épisodique (perception temporelle des réalités) et nos sens (perception de notre environnement) en programmant volontairement des erreurs informatives sous formes de réflexes.
C'est ne plus prendre de recul dessus quand on réfléchit.
Cela inclue :
- les croyances théologiques ou idéologiques,
- le roman historique social,
- l'organisation sociale,
- l'économie avec son travail,
- et la morale.
Les croyances théologiques ou idéologiques
Comme nous l'avons perçu précédemment, les mots, l'information, l'apprentissage et la culture sont actuellement utilisés pour détruire notre empathie, qui permet la paix sociale, le partage gratuit et la collaboration humaniste et vraiment égalitaire. La vraie démocratie avec son égalité et sa liberté sociale politique pour avoir une vraie fraternité.
Tout ces systèmes de programmations sociales par l'information s'industrialisent maintenant avec les outils multimédias et du tout numérique. Comme l'Intelligence Artificielle, les réseaux sociaux et les chats commerciaux.
La finalité officielle derrière ces outils des réseaux sociaux c'est de nous développer des achats compulsifs non réfléchis en utilisant l’inconscient de la mémoire procédurale. La finalité officieuse c'est de nous conditionner de façon sectaire à être des membres de la secte libérale du tout marchand et de l'ordre aristocratique.
D'où l'investissement capitaliste dans les médias «mainstream» et les mobiles…
Nous avons pu toucher du doigt avec des faits, sur les éléments précédents, ces mensonges théologiques ?, idéologiques ?, de manipulations pour l'aristocratie et l'économie capitaliste avec son idéologie libérale.
- Sur l'expression des mots, notre perception historique et conceptuelle pour les organisations avec l'effacement de ce qu'est vraiment une démocratie, et le brouillages de ce que sont les aristocraties et leurs diversités (voir article Les structures sociales, leurs catégorisations et classifications).
- Sur les relations sociales, la nature humaine, la construction collective propre à l'essence humaine.
- Et enfin sur l'économie et la propagande sociale et ses réalités.
C'est bien tout cela qui nous fait percevoir à juste titre notre société comme orwellienne !
Et comme nous l'avons vu au début de ce texte, c'est la conséquence des ingénieurs de ce conditionnement aristocratique de la domination marchande ou du patriarcat militaire.
Ils nous transforment en «idiocratie» sectaire au libéralisme, et plus généralement aux aristocraties !
Le roman historique social
C'est une action sur les conditions initiales de compréhension sociale et culturel des origines de notre monde. C'est fixer des repères temporels, ethnologiques et sociologiques faux pour conditionner des réflexes de pensées de réalités virtuelles (on vit en démocratie), de résignations (il faut toujours un chef, non violent dans nos combats alors que leurs répressions sont terriblement violentes, respecter leurs règles, etc.), ou de dévoiement des systèmes démocratiques (suppression des jurés d'assise, de la conscription, des fonctionnaires au service des citoyens, etc.).
Tout cela construit par le faux les :
- Mythes
- Interprétations
- «Expertisations»
- Théocratisations
Mythes
C'est le conditionnement culturel avec des histoires apprises depuis la petite enfance idéalisées et inventées. L'invention de mythes historiques aristocratiques ou ploutocratiques positifs. De diabolisations de la démocratie, des luttes des travailleurs ou populaires dans leurs rôles de contres pouvoirs démocratiques sur les aristocraties des gouvernances ou économiques…
C'est la mise en place de romans historiques :
- Romans libéraux sur l'économiques (Mythe de l'offre et la demande qui en réalité est contrôlé par la banque de placements avec la création monétaire des trésoreries de productions et de consommations. Mythes de la concurrence qui a été bien faux si on regarde ce qu'il se passe avec les pays en voie de développement, c'est la collaboration sociale qui permet le développement des sociétés. Mythe du travailler plus pour gagner plus, alors qu'en réalité nos dominants économiques sont des héritiers qui n'ont jamais travaillé à produire ou pour les autres. Mythe de l'argent qui aurait toujours existé, alors qu'il a été créer vers -700 av J.C., et avant c'était de la comptabilité de dénombrement des dettes d’entraide. etc.).
- Romans aristocratiques organisationnels (Mythe du chef, hérité de la révolution patriarcale militaire et du génocide des hommes il y a 5000 ans. Mythe de l'effondrement romain avec les invasions barbares qui ne sont qu'une division aristocratique à cause de l'impôt aristocratique trop important et des revenus des travailleurs trop bas avec l'introduction de la monnaie. Mythe de la mondialisation par la technique (révolution industrielle) alors qu'elle commence au 15ème siècle avec la création monétaire, billets, accordée aux marchands de la banque de placements. Mythe de la terreur rouge et de la terreur blanche à la révolution Française, alors que c'est la terreur libérale. Etc.).
- Romans sociologiques (Mythes des races humaines et de hiérarchies ethniques démontés par la paléogénomique. Mythe du patriarcat historique avec le prince charmant. Mythes de l'organisation sociale hiérarchique avec le méritant social. Mythe du prédateur humain pour cacher les parasites sociaux. etc.).
- Romans culturels (Mythe de Noël de la nativité d’Adam et Ève avec la spoliation de la fête du solstice d'hiver. Passé à la naissance de Jésus, qui n'est réellement que pour la période des gâteau des rois (début janvier). Mythes du judaïsme comme première Religion et de la distinction religieuse du Christianisme, de l'islamisme et du Judaïsme alors que c'est la même religion. Alors que ces chiismes sont le résultat d'une division aristocratique gouvernementale ou économique des gourous manipulateurs dirigeants de l'institution religieuse. Etc.)
Ils nous font vivre dans une culture virtuelle de romans que l'on ne peut déconstruire qu'au travers des expertises universitaires ou d'expériences de notre réel professionnel ou personnel.
Interprétations
C'est l'orientation par un parti pris d’événements historiques. C'est-à-dire lire l'histoire suivant un préjugé culturel. En simplifiant les réalités avantageusement, ou en amplifiant des événements marginaux au désavantage de systèmes démocratiques ou du populaire.
- Valorisations historiques (Mensonges des américains libérant l'Europe contre le Nazisme, c'est même l'inverse, c'est eux qui de 1943 à 1944 ont permis aux nazis de ne pas perdre devant les soviétiques à court de carburant qu'ils étaient…)
- Diabolisations historiques (Mensonges des prostitués collaborationnistes qui ont été tondues par les vrais collabo à la libération, sur les communards et les victoires des révolutions française qui ont toutes été perdus d'un point de vu pouvoir du peuple).
- Partis pris historiques (Mensonges des invasions barbares qui effondre l'empire Romain. Mensonge du peuple gaulois. Mensonge de la démocratie représentative. Etc.)
- Angles de vues historiques (histoire des aristocraties dans le roman historique à la place de l'histoire sociale enseigné en Histoire, de l'études de mythes aristocratiques et ploutocratiques non enseignés en français ou en philosophie).
- Anachronismes comme avec la terreur rouge, qui n'est que libérale. Les rouges c'est pendant la monarchie de Juillet (1830-48) où l'on verra la naissance du socialisme de Pierre-Joseph Proudhon, démocratie des travailleurs, et à la fin de cette période celle du communisme avec Marx et son manifeste du parti communiste, démocratie de l'économie. C'est un parti prie qui fait croire que ce sont les idéologues des systèmes de démocraties du travail, ou de démocraties de l'économie, qui sont responsables de la terreur et du massacre des nobles, puis de celui du peuple… Pour disculper les libéraux de leurs horreurs (dit faussement centristes ou de façon orwellienne de gauche).
Expertisation
Quand on fait de l'histoire on sait que celle-ci est raconté par les vainqueurs (ou les perdants) à leur avantage. Il faut donc extraire des récits les réalités comptables avec les cadastres et inventaires, trouver des traces archéologiques qui confirment des situations, vérifier les modifications de textes avec l'étude de mythes, vérifier la validités et les interprétations possibles des traductions, etc.
De plus dans les milieux universitaires, il y a aussi des idéologues malhonnêtes, des sectes, et des pressions sociales extérieures économiques, culturelles, ou de gouvernances, qui orientent les écrits et sujets traités.
Il y a aussi les mauvais experts qui s'appuient sur la réputations et la légitimités d'autres experts, réellement reconnues ou pas, pour en dévoyer les faits dont ils font la démonstration. Pour n'utiliser que les visions culturelles ou idéologiques du moment de ces personnes. Pour argumenter un mythe aristocratique ou antidémocratique.
Exemple de la citation d’auteurs pour justifier d'un roman (chute par les invasions barbares de l'empire romain, effondrement de l'empire romain à cause de la religion chrétienne) sans en reprendre les réalités historiques et archéologiques (divisions aristocratiques à cause de l'économie de l'argent).
Exemple de la grandeur de l’Espagne et de la Reconquista (Alors qu'ils profitent de l'abandon politique militaire ottoman pour des raisons aristocratiques de successions de califat. Civil vs aristocratie militaire. Du massacre des chrétiens pacifiques chez les musulmans lorsque les espagnols rentre dans Grenade. etc.). Que les spécialistes médiatiques, les faux experts, nous vendent pour de la grande Espagne.
Théocratisation
C'est de l'explications de textes (théologies ou idéologies), plutôt que de la confrontations aux preuves archéologiques, historiques et d'études de mythes (exemple de l’Atlantide ou de la religion chrétienne).
Tout cela c'est nous créer un passé schizophrénique qui nous conduit socialement à des hallucinations culturelles, des comportements violents, comme on les retrouves dans les sectes et avec l'extrême droite…
L'organisation sociale
C'est une action sur les actions de la population et sur leur structuration.
Par exemple avec la représentation hiérarchique du bien et du mal. Le haut, c'est la réussite sociale, c'est bien et mérité et c'est bien de l'atteindre. Si on domine les autres, c'est qu'on est du coté du bien, un méritant.
C'est la Loi du talion dans son extrême…
Ce n'est d'ailleurs jamais la représentation, ou l'aristocratie, qui est critiquée médiatiquement. Mais c'est bien de façon antagonique aux réalités, la démocratie dans son sens populaire et historique, ainsi que les citoyens qui sont culpabilisés ou diabolisés…
C'est le cas pratique de l'élection du parfait inconnu Emmanuel Macron et de son action gouvernementale.
En bas de l'échelle sociale, la galère, ce sont des nuls, des mauvais, ils ne sont pas bien et ils méritent ce qu'il leur arrive. C'est de leur faute !
C'est la culpabilisation des victimes, et la glorification des bourreaux sociaux.
C'est à l'image d'un policier qui culpabilise une femme victime d'un viol en minijupe, ou d'une journaliste qui vente la fraude fiscale d'un riche et son évasion du Japon…
Tout cela permet alors de faire passer des actes antidémocratiques, des vols sociaux, des répressions, des violences, des destructions, des écocides ou même des meurtres comme légitimes.
Et l'aspect pervers, c'est de nous rendre socialement plus fasciste. Harcèlements, jugements et avis moraux sur tout dans le champs de nos ignorances, glorifications des dominants faux méritants, «sectarisations» des pratiques libérales par le communautarisme et la financiarisation de tout, glorification de l'artificialisation des relations humaines avec tromperies dans le monde numérique et virtuel, etc.
Et si on n'a pas encore compris comment cela fonctionne, c'est le cas du mot terroriste que l'on n'arrête pas de diffuser médiatiquement, et surtout mot affublé à tous les opposants politiques aux tyrans aristocratiques d'un pays…
Ce qui devrait nous mettre la puce à l'oreille !
C'est la mise en place du conditionnent aristocratique avec l'individualisme, les méritocraties aristocratiques, les dominations autoritaires des subordonnés, les avidités hiérarchiques, de l'argent et des possessions, la mise en systèmes des discriminations, de la violence, etc.
Pourtant la collaboration, la paix, et les partages sociaux sont ce qui permet la sécurité sanitaire (comme on a pu le voir avec le COVID), alimentaire (comme on peut le voir avec des associations comme les restos du cœur), les industries (pourquoi on regroupe des salariés dans des entreprises alors que tout le monde pourrais être libéral ou artisan ?) et les progrès techniques qui résultent de la collaboration/confrontation d'experts…
Mais ces aristocrates rendent péjoratif les contre pouvoir citoyens, comme la décision et le contrôle populaire, la grève, les révolutions, la violence contre les oppresseurs, etc.
Ceux qui luttent pour rééquilibrer la société démocratiquement.
Exemple des révoltes sociales pour famines qui passe pour des troubles, des contestations (syndicats salariaux revendicatifs et associations écologiques, de lanceurs d'alertes ou de luttes contre des discriminations), des luttes idéologiques (vrais socialistes, communistes et anarchistes de la démocratie), des révolutions avortés (gilets jaunes), etc.
Ils filtrent alors socialement par l'école primaire, le secondaire et le supérieur avec les critères de sélections et les moyens familiaux. Par le travail avec les moyens financiers et ses RH pour les salariés. Par la société avec le financement des médiations sociales (cas des restos du cœur actuellement et d'autres associations d'utilité réellement démocratique sur la dignité humaine individuelle que doit toute société pour ses citoyens), avec les autorisations (cas d'anticor l'association de lutte contre la kleptocratie), etc.
C'est la division des collectifs et la hiérarchisation sociale discriminatoire contrôlées par l'aristocratie dominante du moment.
C'est pourtant l'aristocratie et la ploutocratie qui fait nos destructions et tous nos malheurs, sur le sens réel de synthèse idéologique de ces aristocrates libéraux «qu'ils se battent pour produire plus et survivre avec les miettes qu'on leur laisse pour pouvoir travailler»…
C'est l'abandon de notre fameuse devise républicaine «Fraternité» des collaborations d'une vraie démocratie… qu'ils insultent maintenant dans nos entreprises avec le RH de Qualité de Vie au Travail sur la démocratie du travail…
L'économie avec son travail
La moralisation libérale, c'est ce que l'on peut observer avec les tableaux Excel dans les entreprises/établissements qui déshumanisent par l'information immatérielle les travailleurs, le travail et ses relations.
Ces outils du pilotage d'activités transformant tout cela en abstractions numériques (pilotage d'activités) et place nos décideurs aristocratiques hors sol.
C'est les burn-out, les suicides, les dépressions pour ces contremaîtres du pilotage et du management qui ouvrent les yeux sur le mytho libéral, et aristocratique, avec leur responsabilité dans tout cela. Quand ils ne sont pas psychopathe !
C'est la précarisation des travailleurs, les délocalisations, la destruction des biens communs d'états et du mutualisme de protection sociale par son application à grande échelle !
Cela casse encore les collectifs de travail, la créativité par fragmentation des métiers qui à pour effet de détruire la cohésion des productions et l'organisation productive (baisse de la productivité des salariés).
C'est la transformation des travailleurs en contremaître des autres travailleurs.
La bascule fasciste du monde du travail !
Ils nous dupent comme tout bon escroc marchand (origine culturelle de ces individus de la banque de placements) et ils le mécanisent suivant les principes de Frederick Winslow Taylor…
Ils n'ont rien à inventer, les ingénieurs dans le monde du travail, et les chercheurs dans les universités, le font pour eux. C'est là que l'on comprend qu'ils ne sont en rien des génies machiavéliques (encore un mythe) !
C'est notre ignorance de tout cela qui nous le fait croire…
Tous ces systèmes de programmations sociales s'industrialisent maintenant avec les outils multimédias et du tout numérique. Comme avec l'Intelligence Artificielle (les nouveaux contremaîtres vraiment tous psychopathes et fascistes), les réseaux sociaux et les chats commerciaux (les délateurs de Vichy dont on voit les effets avec le harcèlement, les suicides et les lynchages collectifs).
L'abandon des pages web et wiki éducatif de la collaboration démocratique du savoir et de l'information pour les remplacer avec l'IA qui se substituera à la mémoire de travail pour la réflexion et son empathie, notre pensée et conscience.
C'est alors le passage aux clouds pour tout contrôler par le matériel pour notre ploutocratie (à l’image du foncier et de l'immobilier de nos capitalistes, et de ce qu'il se passe avec la monnaie bitcoin qu'ils ont récupéré), et l'abandon du logiciel libre façon GNU, qui pousse à l'autonomie et à de l'auto hébergement démocratique des résistants hackers (dont je suis).
Vivement une démocratie du travail, le socialisme et son collectivisme des travailleurs, une démocratie économique, le communisme…
La morale
C'est une action sur les actions sociales de la population.
C'est rendre péjoratif les mobilisations citoyennes de contre pouvoirs démocratiques. Comme les luttes des travailleurs, les violences de défenses des citoyens, leurs révolutions contre les oppresseurs autoritaires, tyranniques aristocratiques, etc.
C'est diaboliser, ou discréditer toutes oppositions de démocraties contre ces dominations aristocratiques (ce que font de façon ouverte maintenant nos médias).
D'où les peines juridiques sévères, disproportionnées, avec parfois même de fausses accusations policières actuellement en France.
C'est la démoralisation de l'acte marchand d'arnaque, de vol, de destruction sociale de l'autre, etc.
D'où les peines ridicules pour ces actes, les non condamnations pénales des dominants arnaqueurs de ces systèmes aristocratiques des gouvernances ou économiques…
C'est la culpabilisation des victimes sociales, et la déresponsabilisation morale et pénale des acteurs économiques, ou de la gouvernances aristocratiques, bourreaux et voleurs…
C'est la fin des suicides de ceux qui sont pris la main dans le sac !
D'où la répression des pauvres et des vrais victimes des systèmes aristocratiques et de sa partie économique !
Le but moraliste libéral ou aristocratique de tout cela, c'est de lutter contre leur pire ennemi, qu'ils ne nomment jamais, la volonté individuelle, et surtout sociale, de vraies démocraties dans tous les aspects des dominations sociales.