La shoah des Animaux encore et toujours, ses camps de la mort, ses dépeçages barbares, le déchaînement génocidaire d’Israël, son gang de voleurs, ses potes cow-boys endettés jusqu’au slip - ceci expliquant peut-être cela – dans un ping-pong sordide avec les dictateurs monomaniaques homophobes et mysogines les plus tarés du casting planétaire…Et soudain pfffuit - comme une peinture de Magritte...
C’est pas qu’ils sont méchants sur France Culture. Ils font ce qu’ils peuvent, si vous voyez qu’est-ce je veux dire (en franceculturien dans le texte). À les en croire, ils sont "l’esprit d’ouverture". Genre en ce moment, l’esprit ouvre sur le "polar". Sa spirituelle vision du polar, à l’"esprit d’ouverture"...
résumé : embarqué dans une nouvelle remontée hippocampique, le narrateur revit ses expériences de projectionniste au Palais des Sports de la Porte de Versailles dans les années 1970…
Pendant qu’en Phronce, grâce à Taïaut-Retaïaut et ses potes vautours, les oiseaux migrateurs ont intérêt à planquer ce qui leur reste de plumes et que, 5000 kms en bas à droite, Bibi l’irresponsable, Bibi le fou furieux, Bibi le lâche, le tueur d’enfants, Bibi le bipède le plus immonde que la terre ait porté continue sa descente en piqué vers les égouts de l’histoire...