Dans la journée d’hier, le feuilleton dangereux avec qui vous aviez rendez-vous ici aujourd’hui s’est échappé.
Il a trouvé asile ce matin dans le même village de MEDIAPART, à la rue contes de la folie ordinaire qui se trouve à l’adresse suivante :
http://blogs.mediapart.fr/edition/contes-de-la-folie-ordinaire
Je suis très heureux pour lui, parce qu’il va rencontrer beaucoup de monde – et ce qui soigne les dangereux c’est rencontrer du monde.
Il m’a dit de remercier Yves Gigou et Sophie Dufau pour leur hospitalité. Vous avez remarqué qu’il met ensemble un homme et d’une femme. Est-ce à dire que les dangereux sont tous des grands enfants ? Tout cliché charrie avec lui la part de vérité qu’il a trahie, abrasée. Mais ce qui est exact c’est que tout dangereux pose toujours la question des conditions nécessaires à partir desquelles une enfance rend la vie vivante.
Ce Blog, le psychanalyste citoyen se sent un peu orphelin. Avec le temps nous inviterons d’autres dangereux. Pour l’instant je vous propose d’aller aux contes de la folie ordinaire pour rencontrer Dostoïevski.