Peu avant l'élection de Trump, j'avais commis le billet suivant qui n'allait pas dans le sens du consensus tablant sur la victoire de Harris:
Si j'étais américain, je voterais Trump, car il n'est pas va-t-en-guerre.
Et voilà: Trump a gagné et il peut décider de poursuivre ou d'arrêter 2 guerres en cours.
D'une part, il semble probable que Trump mettra fin à la guerre en Ukraine.
D'autre part, il est permis de penser qu'il va aussi calmer les ardeurs génocidaires d'Israël et de Netanyahou.
De fait, comme le rapporte la vidéo ci-dessous, il semble que Trump se soit senti trahi par Netanyahou en 2020, alors qu'il briguait un second mandat. Netanyahou se serait alors rapproché de Biden.
Mais voilà Trump est revenu et il n'oublie pas ceux qui l'ont trahi. Comme on dit, "c'est dans les difficultés qu'on reconnait ses vrais amis" et Netanyahou n'a aucune loyauté.
Espérons que cette trahison permettra la survie, voire la victoire, des palestiniens.
On peut le croire en voyant que Trump vient de poster une interview de l’économiste américain juif Jeffrey Sachs, dans laquelle ce dernier traite Netanyahou de "fils de pute". C'est pas gentil pour les prostituées. Mais, pour Trump, c'est fort probablement une manière de signifier à Netanyahou un "Game Over !"
Jeffrey Sachs explique, en substance, que depuis bien longtemps, Netanyahou a été un va-t-en guerre qui a influencé la politique américaine pour déclencher des guerres tous azimuts au Moyen-Orient, et d'abord la guerre en Irak qui a fait un demi-million de tués et environ 9 millions de déplacés.
Dans une autre interview, Jeffrey Sachs explique qu'on n'a jamais été aussi proche de l'apocalypse nucléaire et qu'il ne fait aucune confiance à la politique américaine. A suivre... si Dieu nous prête vie !