Je tente un second passage de ce billet, censuré, en tant que "propos injurieux, diffamatoires, portant atteinte à la vie privée, au droit à l'image, ou à la réputation et aux droits d'autrui", après avoir tenté de deviner ce qui péchait, et mis des points sur des "i", en italique.
« Il fait pas bon être pédé
Quand t’es entouré d’enculés »
Les guillemets figuraient déjà dans la première version. Ils signifient qu'il s'agit là d'une citation. M'enfin tout d'même, j'ajoute l'auteur : ces deux vers sont dans la chanson de Renaud Petit pédé. Pour ceux qui l'ignoreraient, l'expression "pédé", et la chanson, ne sont pas des injures homophobes, mais au contraire prennent position contre les homophobes. Par contre, "enculés" est une insulte dans la bouche du poète. Il s'adresse aux homophobes. Peut-être que Médiapart censure les insultes envers les homophobes ? Seulement, encore une fois, c'est pas moi qui le dit, c'est le poète.
Greta, elle l’est, intersectionnelle. Pasionaria écolo, elle met le keffieh. C’est sans doute plus porteur. Gaza, c’est loin. Les gens ne savent pas trop quoi penser, sauf ceux qui se contentent de faire confiance au ministère de la santé hamassien, à l’AFP, au service public et à xxxxxxxxx. Les billevesées ont de l’avenir. Tandis que l’écologie politique et punitive, c’est tout près ! Tout près de chez nous. Là, les gens se rendent mieux compte. On les voit bien, les éoliennes absurdes, les ZFE, les prix de l’électricité, les voitures et trottinettes électriques qui marchent au charbon, les résultats des mairies tombées aux mains des écolos. De plus en plus dur de faire prendre des vessies idéologiques pour des lanternes propres. Alors Greta embarque avec Rima.
Si le « petit pédé » de Renaud partait à Gaza en bateau avec elles, mener une lutte conjointe contre l’homophobie et contre le sionisme, il tomberait, non pas à l’eau, mais du haut d’une roche tarpéienne musulmane et en béton.
Là, il est vrai que je critique Greta. Si le billet saute, cela montrera sans l'ombre d'un doute que ce n'est pas l'insulte mais la critique, qui est censurée sur Mediapart.
Par ailleurs, le mot de neuf lettres masqué par des "x" était peut-être la cause de la censure de Mediapart.
https://www.youtube.com/watch?v=LXEf7AF72D4
2000 ans de progrès anéantis, jetés à l’abîme. On ne lapide plus, on jette.
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J’ai froid de la xxxxxxxx.
(Là y avait outrage, il est vrai, mais au sein d'un jeu de mot, dans la tradition rabelaisienne française. Française. C'est peut-être là que ça pèche. Comme péchaient Cabu, Wolinsky, Charb, Honoré, Tignous...)
Bon bref. Voilà ma joie sincère, à présent. Elle concerne un fort joli costard taillé à Geoffroy de Lagasnerie par une cleubienne féministe. Le champion et avocat des assassins, des terroristes. Le psy des tueurs. Et des violeurs, donc.
Je voulais mettre aussi l’article de Geoffroy de Lagasnerie sur Blast, mais il a disparu. Il n’a pas la sottise des bourreaux fanatiques, lui. Il laisse pas les preuves. Il rechigne à endosser le costard, qui je le répète, est fort joli.
Je me demande la part du blog de Nadia Tadil dans ce reniement.
J'espère que ce n'est pas le fait de promouvoir l'article d'une autre cleubienne qui pèche !
On verra bien.