Macrubu sait tout, tout le monde le sait. Aussitôt intronisé Roi des Cons, en 2017, il va, en grande pompe, télé convoquée, expliquer aux enfants d’une école primaire de Marly-le-Roi, que François premier a obligé les français à parler français.
Il a pris du galon, depuis. Ce n’est pas devant des gosses et leur maîtresse, que j’avais espérée sidérée, qu’il vient dégoiser des inepties. C’est à Poutine qu’il s’adresse, Poutine qui vient de lui rappeler la campagne de Russie et la Bérézina qui s’en est suivie.
« C’est un contre-sens historique, cela m’étonne de lui. Napoléon menait des conquêtes, et pour l’instant, je ne vois qu’une puissance impérialiste en Europe, c’est la Russie. »
D’une part il oublie l’impérialisme otano-consuméro-progresso-wokiste qui contamine tous azimuts les nations européennes (utérus ukrainiens par exemple), mais surtout il oublie que les guerres napoléoniennes sont la conséquence de la coalition des royaumes et empires européens contre la République française naissante. L’Empire français ne voit le jour que sous la pression de l’agression.
Cette leçon d’histoire va de pair avec la dernière allocution du président Foutriquet, dans laquelle il explique entre autres billevesées qu'on va se réarmer sans que ça entre dans le déficit. Se réarmer (une dizaine d'années de délais) pour faire face à la situation actuelle.