A Bernard Schmitt
On l’a vu (cf. ‘’A l’origine 1/3’’), la monnaie n’est aucunement la condition de la production : la monnaie n’est que ce par quoi, sur instructions des ‘’Entreprises’’, les ‘’Banques’’ disent le prix de la (nouvelle) production formée par les ‘’Entreprises’’ sur la (nouvelle) période de production.
Sauf qu’aujourd’hui, la monnaie étant vue comme un actif, on dit que si l’on ne produit pas, et en tout cas, pas suffisamment pour donner du travail aux chômeurs, c’est (ne se dit-on pas ‘’surendetté’’ ?), parce qu’on manque de monnaie !
Et sauf que ce qui fait le sous-emploi, c’est, évidemment, quelque chose qui se passe avant la (sous) monétisation de la production.
Ceci voulant dire que se demander vraiment ce qui fait le chômage, c’est donc, obligatoirement, s’intéresser à ce ‘’quelque chose-là’’ (qui se passe ‘’avant’’ la monétisation de la production).
Or qui le fait ?
Et l’ ‘’on’’ s’étonne que, de jour en jour, toutes les économies ‘’nationales’’ battent des records de chômage !
A cet égard, pourquoi ici faire compliqué ; ceci alors même que l’on peut faire simple ? ; sans compter qu’après l’éprouvant ‘’A l’origine (1/3)’’ (je ne sais pas vous pour le lire, mais moi, pour l’écrire, j’en ai bavé des ronds de chapeau), vous et moi avons besoin de souffler un peu.
Le problème étant donc maintenant d’expliquer, avant marché, la sous monétisation de la production, je me contenterai de renvoyer le lecteur à ce billet que je lui ai déjà soumis : ‘’Contre le chômage comme ''Vérité'' : la vérité du chômage’’.
Bonne (re)lecture ?
Et ici, quoi qu’il en soit, bonne lecture de ‘’A l’origine (3/3)’’, savoir : ‘’A l'origine (3/3) : à l'origine de la crise de l'économie internationale’’ ?
JT