L'INSAR vu par...
De Claire Cameron
2 Mai 2019: Jour 1

Susan Bookheimer Professeur de Neuroscience Cognitive selon Joaquin Fuster, Université de Los Angeles, Californie
Des prévisions pleines de promesses :
Progrès des gènes :
Stormy Chamberlain Professeur associé de sciences génétiques et génomiques, Université du Connecticut
Absence manifeste de cultures :
Connie Kasari Professeur de développement humain et psychologie, Université de Los Angeles, Californie
Introduction à la génétique :
Judy Van de Water Professeur de médecine interne, Université de Davis, Californie
Souris modèles :
Rosa Hoekstra Chargée de cours senior en psychologie, Kings College de Londres
Multi-morbidités :
Dan Kennedy Professeur associé de sciences psychologiques et cérébrales, Université de l'Indiana à Bloomington
Technologies de traitement :
Différence dans le développement :
Lauren Kenworthy Professeur de neurologie, pédiatrie et psychiatrie, Université George Washington
Interventions itératives :
Conclusions prudentes :
Stelios Georgiades Professeur assistant en psychiatrie et neurosciences du comportement, Université McMaster
Le facteur humain :
Els Blijd-Hoogewys Chercheuse senior, INTER-PSY
Richesse des échanges :
Sensibilité sensorielle : «
Sara Jane Webb Professeur associé de psychiatrie et sciences du comportement, Université de Washington
Problèmes de traitement :
Matthew Lerner Professeur associé de psychologie clinique, Université Stony Brook
Donner la priorité à l'humain :
Mikle South Professeur associé de psychologie and neuroscience, Université Brigham Young
Donner de la valeur à la variabilité :
Précisions sur l'INSAR
PS : Traductions supprimées à la demande de Spectrum News.