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Billet de blog 14 octobre 2022

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Censure et rétroactivité, et vice versa

L'arbitraire de Mediapart devient carrément flippant.

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

Jusqu'à la rupture... Mais qui va garder les arrière-petits-enfants?

La dernière sur une cinquantaine de fois où j'ai boudé puis quitté mon journal chéri, cela suivait de peu la dépublication d'un billet de Jean Amy encore lisible ici par ce biais. Cinq mois plus tard, rebelote et atout Pic. Dix de der?

Certains blogueurs semblent particulièrement visés par les foudres de la censure, alors si désormais celle-ci frappe avec effet rétroactif !!

Pas de méprise : en raison de la tonalité générale de ma "production" (?) à la va-comme-je-te-pousse, je n'ai eu à subir que quelques rares dépublications de commentaires en une décennie. Soit 122 cycles parfois très lunaires. Cela n'empêche nullement de se sentir concerné par les tribulations de contributeurs plus incisifs, et pas forcément du même bord socio-politique.

Médecin palois ou prof d'université, ils ne le sont pas de manière innée... là c'est le prolo qui parle, mais rien ne dit que les intéressés ne soient pas eux-mêmes des ex-prolos. Dotés de l'agilité nécessaire, ils peuvent fort bien avoir bondi dans l'ascenseur social, bien avant qu'on les pousse à l'intérieur sans qu'ils aient formulé pareil vœu 😇

Mais ceci n'est qu'un scénario. Le fait est que, Pic ami ou Amy qui pique, leur lecture régulière témoigne notamment d'une convergence de vues sur le sujet périlleux du... du? ... ta-ta-tan... Covid !... Non non houlala pardon, Vaccin !

Ledit demeurant à l'heure qu'il est (environ noon) comme un épisode légèrement surréaliste de notre saga féodale. D'autant plus douloureux qu'il s'est avéré que nombre de serfs bien-portants... dont votre robuste serviteur, hahaha... ont contracté Le Haut Mal après avoir succombé au diktat du suzerain pontifiant, et par conséquent échappé in extremis à l'opprobre de ses vassaux sanguins.

Nonobstant, on ne va pas refaire le match. Il m'a d'ailleurs valu quelques antipathies inattendues durant la prolongation et les tirs au but. En ce cas, pourquoi Mediapart se met-il à ratisser si large que saute un billet datant de près d'un an, dont l'auteur est taxé de propagation de fausses nouvelles?!

Une définition par la Charte du journal s'impose ici, judicieusement relevée par l'odieux délinquant que je prenais naïvement pour un citoyen honnête : "Les fausses nouvelles, utilisant la désinformation et la propagande mensongère, vantant et faisant la promotion de théories conspirationnistes, de sites complotistes, de montages mensongers, les liens vers des sites diffusant les propos ci-dessus n’ont pas leur place sur Mediapart."

A ce compte-là, et certains sont définitivement clos, que les pionniers du Club relisent d'urgence leurs écrits de 2008 !!
En attendant, le groupe vit mal.  

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