"France Inter, écoutez la déférence" (Marugil, contributeur vivant)
Dans le degré de révérence à l'entame du second règne du monarque, où en sommes-nous?
Et pourquoi "nous", au Demorand? Tout simplement parce que, quelle que soit notre couleur préférée (politique), une bonne douzaine au bas mot de générations ici présentes ont été biberonnées sur une antenne nationale n'exigeant pas de temps de cerveau disponible... pour la pub.
Or, à l'instar de ses consoeurs la chaîne au point rouge n'a quasiment plus en vitrine que des tranches de salami radiophoniques. Il va de soi que ce n'est pas le fait de sa rédaction. Nous sommes par ailleurs conscients de la gravité de certaines pénuries alimentaires, et de leur effet boule-de-pétanque sur les devantures. De plus, un produit récent nommé Covid a nourri cette tendance à la déconcentration de l'auditeur par la commination.
Mais sans sortir de la cuisse de Sciences Po, on peut remarquer que la nomination de Laurence Bloch en 2019 à la tête de la charcuterie... du client... ah zut !... de France Inter, a coïncidé avec l'extension de son commerce jusque sur le trottoir, au grand dam... heu... des dames.
Adèle Van Reeth, creusée dans le format... ah rezut !... formée dans le creuset de France Culture tralala elle itou, saura-t-elle inverser l'augmentation exponentielle de la recrudescence de cet infléchissement? Sa p.-d.g Sibyle Veil (avec un seul l partout, merci) sortie devant Emmanuel M et Emma R de sa promo à l'ENA, lui laissera-t-elle un double des clés du camion?
Chers amis, nous le saurons sinon au prochain épisode, du moins avant l'éviction de Léa Salamé. Quant à moi, j'entends pousser un cri d'alarme...
Voilà, c'est fait. Vous avez entendu?
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