Ce billet n'est qu'une clé, constituée de mots, comme chaque mot est une clé, on peut en compter dans le titre entre six et huit identifiables, et aucune ou une infinité de clés “derrière le titre”.
Cette notion de “derrière le titre” est inexacte, en réalité ça se passe de l'autre côté du texte, le côté lecteur. Dans ma conception d'auteur et pour moi seul au départ, ce billet est un clé pour le billet «Le sourd entend, l'aveugle voit», une clé pour celles et ceux qui auront ainsi interprété le titre et feront ce que nécessaire pour ouvrir la bonne porte avec cette clé ou au pire ouvrir n'importe quelle porte, ce qui est suffisant.
En complément: ce n'est pas parce que l'autrice, l'auteur escompte l'ouverture d'une certaine porte (espère une certaine interprétation) que ça se produira, mais si la lectrice, le lecteur ouvre une porte autre le résultat sera le même: ouvrir une porte.