Logocratie ou Pseudocratie ?
Dans la mythologie grecque, les Pseudologoi (grec moderne : Ψευδολογοι « paroles mensongères ») sont les divinités personnifiant le mensonge.
Mise à jour :
Dette publique : Macron n’a rien voulu faire malgré l’alerte de Le Maire
Dette : Bruno Le Maire a alerté Emmanuel Macron sur le dérapage des comptes publics le 6 avril 2024 à cause de la chute des recettes fiscales. Bruno Le Maire proposait des mesures pour limiter le déficit à 4,9 % en 2024 et demandait une loi de finances rectificative. Emmanuel Macron n’a pas suivi ces recommandations et le déficit a été de 5,8%.
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Prolonger :
Clément Viktorovitch : ses vidéos
Harvard a trouvé LE concept pour qualifier le danger Macron - Clément Viktorovitch
La Mort des démocraties - livre posant les notions, d’une part, de " retenue institutionnelle " pour qu’une démocratie ne bascule pas dans la dérive autoritaire, c’est-à-dire ne pas commettre d’abus de droit constitutionnel, et, d’autre part, le " brutalisme constitutionnel ", c’est-à-dire une interprétation abusive du droit constitutionnel conduisant à un exercice autoritaire du pouvoir dans le but de s’y maintenir et d’imposer sa volonté au mépris de l’opposition de la population. Ce que fait Emmanuel Macron depuis 2017. Sa rhétorique mensongère procède par anticatastase pour parvenir à imposer une régression sociaĺe prohibée et faire adopter des lois qui aboutissent à une inversion normative, à une négation des valeurs consacrées par le droit constitutionnel et conventionnel.
Emmanuel Macron : un grand pervers à l'Élysée
Analyser cette pathologie du pouvoir est l’enjeu du travail du sociologue et chercheur au CNRS Marc Joly, auteur de l’essai « La pensée perverse au pouvoir » dont cet entretien sur Blast dévoile ce qui est en jeu en France aujourd’hui : une folie narcissique et une perversité accomplie qui rejaillissent sur et maltraitent tout un peuple.
Brutalisation - Trump / Macron : pas la même méthode, mais le même résultat
Le vice-président du Conseil d'État français avait très utilement rappelé en juin qu'au-delà de ses imperfections, l'état de droit, où les lois s'appliquent de la même façon à tous les citoyens, est une des conditions de la démocratie et du vivre ensemble, puisqu'il protège en principe les droits et les libertés de chacun d'entre nous, et notamment ceux des catégories les plus fragiles.
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