Les Russes Natalia Anissimova et son compagnon Oleg Aliev ont demandé l’asile politique en Finlande. Depuis ce pays, ces deux personnes ne luttent pas contre le régime de Poutine, qu’elles déclarent avoir fui, mais contre les véritables réfugiés politiques russes en Europe. Leur tactique est la suivante : dans un premier temps, établir des rapports de confiance avec les opposants au Kremlin, puis se retourner contre eux en utilisant les informations extorquées pour leur porter des coups perfides et ignobles.
Natalia Anissimova a tenté de me séduire avec son visage angélique à deux reprises le 23 février sur Messenger, puis en me faisant parvenir son appel à l’aide sur change.org. Je ne lui ai pas répondu. À ce jour, 196 candides ont signé sa pétition.
Son ton a ensuite changé. J’ai été insulté avec d’autres réfugiés de « Juiverie cosaque du bit**d ». Mon seul tort est d’aider mes amis réfugiés russes. Toutes les informations, que j’aurais pu transmettre préalablement à Natalia Anissimova, auraient été retournées contre moi et mes amis.
Natalia Anissimova et Oleg Aliev ont étrenné cette méthode en Russie au service du FSB russe.
Ils ont établi des rapports de confiance avec l’idéaliste Marc Galpérin qui rêvait d’unir l’opposition. En fait, Marc Galpérin a sans le savoir attiré autour de lui beaucoup d’agents du FSB, Natalia Anissimova et Oleg Aliev entre autres. Ces derniers ont obtenu la liste des vrais opposants et l’ont transmise à leur commanditaire de Lubyanka. Des dizaines d’opposants ont été arrêtés, donc Marc Galpérin qui croupit en prison au moment où j’écris ces lignes.
Une autre victime de ces aigrefins a été Valery Antonov, directeur du média « Zakon i Poryadok ». Les informations qu'ils ont soutirées à ce dernier ont servi pour vider le site YouTube du média.
Les opposants russes les plus emblématiques réfugiés à l’étranger, Héléna Vassilieva, Nadejda Petrova, Viacheslav Maltsev sont victimes des calomnies de Anissimova et Aliev. Leur but : semer une zizanie qui pourrait sous couvert de règlement de compte expliquer l'assassinat d'un opposant par des agents secrets russes.
Natalia Anissimova et Oleg Aliev ne sont pas des réfugiés politiques, mais des agents du Kremlin. La Finlande doit les expulser en Russie. Si ces personnes se déplaçaient dans un autre pays européen, dont la France, ces derniers doivent agir de même : les expulser. Toutefois, il faudra auparavant les juger pour les délits qu’ils auraient pu commettre sur ces territoires, en particulier répondre des insultes publiques qu’ils ont proférées à mon encontre.