le contrôle des comptes Bancaire des pauvres par la CPAM
Comment trouver de l'argent, vite fait, en discriminant et culpabilisant au passage une catégorie de la population susceptible de se rebiffer, se RÉVOLTER légitiment, quand, "on" (l’État, les élus-es du bipartisme carriéristes, etc) s'est lié pieds et poings aux marchés financiers, endetté jusqu'au cou pour subventionner "ASSISTER" des entreprises sans contrepartie, sans contrôles fiscaux et avec des résultats contestables (alors que les fraudes, etc, fiscales ont explosées) , "qu'on" "s'oblige" à mener une politique d'austérité, après avoir socialisé des pertes frauduleuses (banques et autres entreprises et à leurs patrons après le crack de 2007/8 à mettre en perceptive avec les 600 milliards d'euros, Français, cachés dans les trous noirs de la finance), quand la privatisation de leurs profits (pour les banques, etc) ne bénéficie pas aux pauvres (bien au contraire avec le CICE, la mal bouffe, etc), ni à l'économie réelle, et quand "on" veut sauver ses fesses d'élus-es et un système corrompu...?
Tout simplement en inventant (la droite en a rêver la "gauche" le met en application) la notion de droit à la solidarité..., conditionné à un pseudo devoir, comme ici par exemple... Il faut les former au plus jeune âge estiment certains-es politiques soit-disant de "gauche"... Celui en l’occurrence ici, est de prouver sa pauvreté, se mettre à nu...,subir une humiliation sociale et sociétale supplémentaire..., en se laissant violer sa vie privée, son compte bancaire, pour avoir droit à des aides... Et l'on ose encore appeler cela de la solidarité...? En est-il de même, quant à demander et conditionner les aides publiques aux entreprises (et leurs patrons avec leurs niches fiscales) pleurnichant et quémandant plus d'aides publiques massives, plus d'exonérations de cotisations sociales patronales rendant les travailleurs plus pauvres et moins bien protégés-es pour leur avenir par leurs protections sociales, leurs droits dans leurs cotisations sociales chèrement acquittées..., plus de baisse d'impôts sur les entreprises qui vont réduire encore plus le rôle de l’État à rien du tout, par manque de recettes (sauf à augmenter les taux de TVA - des produits alimentaires de première nécessité compris et contrairement à la promesse faite, pour se faire élire - comme pour le CICE...?)...?
Bien sûr que non. Car comme je l'ai dit plus haut, elles-ils, les patrons-es influents-es, les politiques de tout bord ou presque les écoutant et choyant, ne veulent absolument pas entendre parler de contrôles fiscaux comme le fait la CPAM ici pour les pauvres..., ni de contreparties quand à les embaucher ces pauvres pour qu'ils puissent vivre d'un salaire digne... Puisqu'ils ne se rebiffent pas eux, ne se RÉVOLTENT pas ces gens affaiblis par fait exprès, contrôlons leur compte, jouons les voyeurs-euses et radions certains-es, ça fera faire des économies... C'est un détournement de la loi, et le non respect des droits fondamentaux (article 11 du préambule de la constitution de 1946, voir ci dessous) que cette minable opération de conditionnement des aides, de la solidarité, sur fond de programme d'austérité, par un principe de violation de la vie privée des gens pauvres..., quand de l'autre coté celles des riches et des élus-es, des politiques décidant de s’attaquer aux plus faibles est surprotégée...
"11. Elle garantit à tous, notamment à l'enfant, à la mère et aux vieux travailleurs, la protection de la santé, la sécurité matérielle, le repos et les loisirs. Tout être humain qui, en raison de son âge, de son état physique ou mental, de la situation économique, se trouve dans l'incapacité de travailler a le droit d'obtenir de la collectivité des moyens convenables d'existence."
Tout ça pour ; et faire des économies de bout de chandelle afin de rembourser leurs dettes politiques (augmenter le rendement de leurs actions)..., et déconstruire notre démocratie et modèle social tout en nous faisant croire qu'ils-elles sont indispensables, fiables avec de grandes valeurs morales de "gauche"..., et nous culpabiliser, nous les pauvres qui n'ont droit de citer dans leurs médias..., coupables d'être responsable de cette "crise", rigueur pour ne pas dire austérité..., responsables de notre misère, voir d'être du gros des fraudes..., en nous pompant nos maigres ressources..., nos maigres espérances (pour ceux-celles en ayant), en nous rendant encore plus esclave, docile, servile..., quand les plus fortunés planquent le leur pognon, ce sale pognon en parti..., dans les trous noirs de la finance... A quand une VRAIE RÉVOLTE du BAS PEUPLE...?