Philippe Riès parle de l'offensive financière chinoise.
Il paraît nécessaire de rappeler une triste réalité qui met l'Europe face à son passé et ses engagements pour l'avenir.
La Chine exploite la main d'oeuvre concentrationnaire.
Le travail forcé est les traitements contraires à la dignité humaine sont contraires à la Convention européenne des droits de l'homme.
Le Traité de l'Union permet de fermer nos frontières pour des raisons de moralité publique.
On importe chinois. Le camp de concentration est redevenu un modèle économique fréquentable.
On mesure le peu de sincérité des gouvernants entretennant un soit-disant devoir de mémoire pour la galerie les jours de fête quand on les voit accepter l'argent des camps et du travail forcé. C'est abject est indigne.
Quel cohérence et crédibilité y a-t-il à condamner en Europe des comportements admis par ailleurs pour nos échanges commerciaux, lequels enrichissent ceux qui les pratiquent et les cuationnent en toute impunité, faisant des consommateurs européens les complices des tortionnaires ?
C'est la question que posent les produits "Made in China" aux politiques européens.
Les investissements chinois en Europe font évoluer la question.
Ils leur permettent de s'enrichir en nous privant de le possibilité d'identifier le capitalisme centralisé et totalitaire qui prospère sans que pour autant cessent le LAOGAI et la souffrance des victimes qu'il exploite.
Michel Broué avait raison de poser sa question et de rappeler Einstein : « Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire »
Ils sont passés où les excités du devoir de mémoire ?