Pierre d’attente.
Ce texte est prodigieusement remarquable, questions et réponses.
Merci à Vivre est un village de me l’avoir signalé.
La célèbre Citation de Pierre Bourdieux, la sociologie est un sport de Combat, n'a pas pris une ride et peut et doit être appliqué dans le déploiement de notre participatif https://presite.mediapart.fr/contenu/le-projet.html
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La première chose qui me vient à l’esprit, c’est qu’il est devenu rarissime de rencontrer un texte aussi limpide, aussi acéré, d’une puissance subversive aussi forte, ET SURTOUT d’une portée aussi universelle.
En ce qui me concerne, ma formation de base étant comptable pour épiceries, ayant évolué vers le métier qui fut très beau, jadis, de consultant en systèmes d'information logistique, il m'a manqué la mention :
Ligne de fond n°1 De Prud'hom au post-anachisme https://blogs.mediapart.fr/luc-rigal/blog/270822/de-proudhon-au-post-anarchisme
Ligne de fond n°2 Alechinsky et son communisme des affects https://lequotidien.lu/editoriaux/communisme-des-affects/
Ligne de fond n°3 Pour la peinture l'absence de cadre est un cadre https://pedagogie.ac-rennes.fr/sites/pedagogie.ac-rennes.fr/IMG/pdf/cadre_ou_pas_cadre_intervention_iconographie__compressed-2.pdf
Ligne de fond n°4 Le Projet Mediapart https://presite.mediapart.fr/contenu/le-projet.html
J'essaie de mener à bien, avec Luc, avec toi André, avec Linden Blossom, entre autres grande spécialiste de l'art d'Alenchisky , avec Wawa, avec Sabrina Kassa et tous les abonné (e) s de Mediapart de bonne volonté dans notre cadre : https://blogs.mediapart.fr/1031775/blog/150223/rendez-vous-le-samedi-25-mars-au-104-paris-pour-le-festival-de-mediapart
Absolument par hasard à Clermont-Ferrand, en quelque sorte dans le cadre de ce festival j'ai, en compagnie de mon épouse, assisté à cette exécution de cette Gran Partita, d'une très, très grande valeur : La romancière, le film et le heureux hasard https://www.lemonde.fr/culture/article/2023/02/15/la-romanciere-le-film-et-le-heureux-hasard-l-adieu-au-langage-selon-hong-sang-soo_6161946_3246.html mon cadre, dans le cadre de ce billet, étant cette citation que j'attribue à Denis de Rougemont https://archive.wikiwix.com/cache/index2.php?url=http%3A%2F%2Fwww.teleologie.org%2FOT%2Ftextes%2Ftxtdenis.html#federation=archive.wikiwix.com&tab=url et que Linden Blossom renâcle à accepter...
Par chance, Marc, un abonné de Mediapart, devenu ex -abonné pour cause de santé connait parfaitement le catharisme et m'a promis de transmettre son savoir à Linden Blossom qui, je le rappel, a choisi de se désabonner suite à ma suspension de 3 mois de mes droits au participatif...
Car ce qui me frappe immédiatement tout autant, c’est à quel point le pur corpus critique ici exposé peut et doit s’appliquer aussi bien, MUTATIS MUTANDIS, à bien d’autres choses que la peinture, à l’écriture, sans doute, mais surtout à la musique dans ses divers modes actuels de fonctionnements officiels.
C'est mon projet, André, mais, comme je l'ai déjà dit j'en bave avec Linden Blossom qui, après avoir vu "notre" Gran Partita https://www.youtube.com/watch?v=wpH6yWqTDz8 m'a parlé de son viol et m'a demandé qui était Salieri ...
Je viens de trouver ça https://fr.wikipedia.org/wiki/Antonio_Salieri :
La rumeur accusant Salieri d'avoir organisé la mort de Mozart — son cadet de six ans — semble être colportée depuis la parution de la pièce de Pouchkine, Mozart et Salieri qui parut cinq ans après la mort du musicien en 1830 (mis en musique par Rimski-Korsakov).
Cette nouvelle a été reprise par Peter Shaffer dans sa pièce célèbre Amadeus dont Miloš Forman tira le film du même nom. Salieri, dans un accès de folie, a déclaré avoir empoisonné Mozart, il se récusa plus tard11.
L'accusation de meurtre n'est fondée sur aucun fait réel12.
Ceci malgré la jalousie qu'aurait pu légitimement ressentir Salieri à l'égard de la musique de Mozart et la rivalité existant avant 1784 mais qui, à la lecture de la correspondance de Mozart, visait plutôt à satisfaire une demande du père de Mozart et non d'une haine entre les deux hommes11.
En 1785, Mozart co-compose même avec Salieri, ainsi qu'un certain Cornetti, Per la ricuperata salute di Ofelia.
Cette très courte cantate s'avère être une « publicité » annonçant La Grotta di Trofonio, oeuvre de Salieri, le manuscrit signé par les trois noms a été retrouvé début 202211.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Antonio_Salieri
Nouvelle épisode vécu avec André Bernold, sur la différence entre le reportage et l'œuvre artistique...
Tout bonnement parce que la peinture n’est pas tellement ma partie, et que le cirque musical m’est plus familier…(je parle surtout de la musique dite contemporaine, de ses modalités de circulation, mais pas QUE…).
Après avoir connu l'œuvre de M Art'In et particulièrement cordes vibrantes https://blogs.mediapart.fr/m-artin/blog/120113/cordes-vibrantes, plus aucune autre peinture ne m'intéresse...
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En commentaire, j'ai fait de nombreuses citations de la Gran Partita, ce qui m'oblige à me poser cette question du communisme de mes affects appliqués à Luc Rigal et Martine Prud'hom...
M Art'In est catalogué par les marchands du marais comme une peintre de l'école Salvador Dali, tout comme le peintre Jean-Gabriel Jonin http://www.leshommessansepaules.com/auteur-Jean_Gabriel_JONIN-583-1-1-0-1.html,dont j'aimais beaucoup la peinture et qui aimait beaucoup les critiques que j'en faisais...
Lorsque Luc Rigal est venu à Vichy en ce village de Châtelus où nous avons pris un consommation à partir d'une terrasse qui avait pour champ de vision
L'atelier de Jean-Gabriel Jonin était juste en dessous et j'ai téléphoné à sa veuve pour que Luc puisse vibrer, comme j'ai vibré de ses peintures...
Madame Veuve Jean-Gabriel Jonin a répondu à mon appel mais la rencontre impromptu dont je rêvais n'a pas eu lieu...
Ce texte, il faut que j’y réfléchisse, et que j’y ramasse (péniblement) les quelques flèches, comme disaient D. H. Lawrence-Deleuze, que je pourrais essayer de décocher ailleurs, pas trop loin…
Le propos de Luc Rigal, alliance très rare, je le répète, de lucidité impitoyable, de densité / concentration / concision, a quelque chose d’épigraphique, mainte phrase est une sentence et mériterait d’être frappée en médaille…
Intelligence suraiguë de Luc Rigal, de son interlocuteur tout aussi bien, quelle chance qu’un tel dialogue !…
Cela dit, je débarque, j’ignorais tout; il y a, hors-texte, mon portrait au naturel, sinon au vif: LE BÉAT…malgré la présence ici de l’invocation d’alliés essentiels aussi pour moi: Baudrillard, Guattari …
J’ai pour Alechinsy une énorme admiration et, comme c’est bizarre, il s’est trouvé une occasion où on s’est serré la louche, c’était, hélas, à l’enterrement de Simon Hantaï… Bon.
Il faut que j’assimile, ô bienheureux Méthode…(to be continued…Inch’Allah!…)
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Problème d'atterrissage...
PAR VIVRE EST UN VILLAGE EN RÉPONSE AU COMMENTAIRE DE VIVRE EST UN VILLAGE LE 22/02/2023 09:00
Après le repas, long séjour de Linden aux toilettes pour femmes pour que son maquillage soit parfait à son arrivé en ce Festival Mediapart 2022...
Le maquillage était parfait, l'arrivée au Festival un peu tardive, la rencontre avec Guillaume Chodet Foglia https://www.mediapart.fr/biographie/guillaume-chaudet-foglia-0 mais notre rencontre avec la journaliste ayant reçu le titre de "balaise" par notre ami Jean-Paul Bourgès https://blogs.mediapart.fr/jean-paul-bourges/blog/230615/l-homeopathie-au-service-de-mediapart, m'a offert son tutoiement et une longue conversation de qualité 😇😇😇😇 !!!
A bientôt.
Amitié.
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ANDRÉ BERNOLD, auteur du texte en gras
J’écris à quelqu’un
Par : André Bernold, Jean-Pierre Ferrini
J’écris à quelqu’un marque le retour à la littérature d’André Bernold, plus de vingt ans après la parution en 1992 de L’amitié de Beckett, l’un des plus émouvants témoignages sur l’écrivain irlandais.
Vivre semblait avoir conduit André Bernold à un silence qu’il ne voulait ou ne pouvait rompre. Il continuait d’écrire pourtant, des lettres, à quelques-uns mais à travers chacun à quelqu’un de plus indéfini, et c’est à l’un des destinataires de celles-ci, Jean-Pierre Ferrini, que ce livre doit d’exister.
Trésor d’auto-observation sévère, il est aussi et surtout un exercice de mémoire et d’admiration où les amitiés d’une vie (Beckett bien sûr, Derrida, Deleuze, Cioran, le compositeur hongrois Györgi Kurtág, le peintre Simon Hantaï…) côtoient les fixes du ciel d’André Bernold (Saint-Simon, Spinoza, Retz, le logicien Kurt Gödel, et Bach, omniprésent).
J'ai sollicité André Bernold pour déposer un commentaire sur le billet de Luc Rigal "Lignes de fonds" BILLET DE BLOG 27 JANV. 2023
https://blogs.mediapart.fr/luc-rigal/blog/270123/lignes-de-fonds