2008 : l’ancien Conseil municipal décide de vendre les chemins communaux à un gros industriel, déjà propriétaire des carrières de granit. Pour l’association Bien vivre à Languédias, c’est le début d’un long combat. Cinq ans plus tard, victoire : lors d’un référendum, 81% des villageois disent non à la privatisation. La voie est libre pour les défenseurs du bien commun...
Ce Qui Nous Lie. Tout est dit ! Ou presque. Le nom même de l’association qui porte le café associatif Le Bar’Zouges exprime bel et bien l’objectif général : créer du lien. En effet, le Bar’Zouges est l’un des – de plus en plus – nombreux cafés associatifs de Bretagne. Créé en 2012 par des habitants du village pour avoir un lieu où se retrouver, le café est un outil au service du lien social.
Ils avaient envie de fédérer, de travailler en réseau, pour être plus lisibles, plus efficients dans leurs investissements. En complémentarité plutôt qu’en concurrence. Alors ils l’ont fait et en 2007, le REEPF est né. Réseaux institutionnels ou associatifs, acteurs touristiques, agricoles, sociaux, du patrimoine, de l’enseignement ou de l’économie sociale et solidaire en pays de Fougères.
Nichée au sein d’un village cistercien, l’Épicerie sociale de Fontaine-Daniel fonctionne depuis mai 2015. Ce lieu pérennise la Fête de la Terre, événement annuel axé sur la protection de l’environnement. Pour donner vie à cette fête tout au long de l’année, un désir commun émerge : doter le village d’une épicerie, lieu de vie permettant de valoriser les producteurs et les savoirs locaux...
Ici, la compagnie compte autant que les radis ! En 2006, quatre amis rêvant de décroissance et d’autogestion se lancent dans un projet de ferme bio collective. Après une formation agricole commune, ils dénichent une ferme Terre de liens à Montflours : c’est parti pour les cultures de céréales et la fabrication de pain, le maraîchage, l’élevage de cochons et de vaches et la transformation du lait..
Il y a dix ans, Mata l’architecte et Christophe le charpentier, achètent en SCI, avec 21 autres personnes, les 5 ha du Manoir de la Grée en ruines, puis sa ferme sur 30 ha. Rejoint par d’autres, ce groupe évolue au fil des années. L’objectif est une expérimentation humaine, une forme de collectif, dans une dynamique écologique et d’autonomie.
Question pour du pognon ! Top chrono : je suis un projet qui voit le jour dans les années 60. Mon étude d’utilité publique a été menée par un préfet qui travaille maintenant chez mon promoteur privé. Mon étude d’impact sur la biodiversité est bâclée avec « l’oubli » de plusieurs espèces végétales et animales protégées. Je me moque de la loi sur l’eau...
Cet été, la joyeuse équipée d’altercyclistes a pour projet de passer dans la Manche, le Calvados, l’Orne, les Côtes d’Armor, le Finistère, le Morbihan, l’Ille et Vilaine, la Mayenne, la Sarthe et la Loire Atlantique
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