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Billet de blog 18 mai 2015

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Mon cher Edwy, si ton Anastasie m'ennuie, elle ne m'anesthésiera pas !!!

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 Mon cher Edwy, tu excuseras volontiers, j'en suis sûr, ce tutoiement démocratique, toi qui as déclaré n'avoir pas renié le bon temps où tu t'appelais Krasny. Bon, voilà ce qui m'amène à t'interpeller : je constate depuis une quinzaine de  jours que j'ai été, une fois de plus, censuré par Médiapart, et ceci  pour mon dernier billet , "Breaking niouzes à la grecque" qui rappelait très incidemment mais d'une manière un peu sarcastique, il est vrai, les manquements  les plus graves à la charte de ton collaborateur, le divin Antoine.

Décidément, c'est à croire que la mise à l'index, au sein de l'Osservatore Pariggiano de la Religion des Faits, dont tu es le Souverain Pontife, est encore plus rapide qu'au Vatican ! Au Vatican, qui n'est pas connu pour être un bastion d'hétérosexuels militants et où l'on a même été parfois jusqu'à tâter des enfants de choeur en coulisse pour s'assurer, à la manière de Giacomo Casanova, qu'ils restaient chastes, on n'accepte pas un ambassadeur français ouvertement de la jaquette ; à Médiapart, on n'accepte pas qu'un lecteur contestataire se moque un tout petit peu d'un journaliste qui foule aux pieds les principes affichés par le journal ! C'est beau l'hypocrisie  !


Ripolinage en série : quand Anastasie joue les Valérie Damidot

C'est mon quatrième  billet que l'on passe ainsi en rose ! Dans un premier temps, ils apparaissent subitement sur fond rose, et il n'y a plus que moi qui puisse les lire, puis ils disparaissent carrément de mon blog, tout cela sans même un mot de « la rédaction » . A croire que l'on est dans le triangle des Bermudes de Médiapart !

Ces quatre billets avaient tous en commun, curieux hasard, de rappeler ce dont est capable le sémillant Antoine Perraud. dont tu admires tant le style, trouvant bien trop modestement le tien un tantinet lourdingue et laborieux. C'est vrai qu'il est marrant, ton Antoine, lorsqu'il insulte les lecteurs, les diffame hardiment, bloque leurs commentaires quand il est en difficulté, les remet quand ils ont été supprimés, surveille les liens des uns et des autres et connait même parfois le contenu de leurs échanges lorsqu'ils ont eu l'imprudence de le faire par la boite de Médiapart ! Il m'a même été rapporté qu'il faisait la danse du ventre pour savoir d'un lecteur fragilisé ce qui avait pu lui être dit en dehors de la messagerie interne ! Sans doute une infâme médisance de fielleux , certes, mais, tu sais ce que c'est, on ne prête qu'aux riches...


Toinou et Tertruffe, les gais duettistes

Faut dire qu'en plus de cela,  il n'a pas peur du paradoxe, le Toinou. Permets que je l'appelle  «  le Toinou », puisque lui-même, avec son porte-serviette, « le Cardinal », dit aussi « Tertruffe » va jusqu'à m'appeler « le Big ». Cette familiarité, à dire vrai, ne me choquerait nullement en temps ordinaire, si nous étions potes, puisque c'est même ainsi que l'on m'appelait, autrefois, au boulot; mais elle me semble démontrer, sans doute me trompé-je, dans la bouche du Trissotin qui te fascine tant, que je suis pour lui tout au plus une bête de foire et non plus un lecteur peut-être pas plus idiot qu'un autre finalement, et donc, ayant droit, à ce titre, il me semble, à un minimum de respect. Un minimum de respect, serait-ce trop demander ? 

Comme je me dois de ne rien avancer sans preuve, dans le Saint des Saints de la Religion des Faits, lis donc les échanges ci- après, entre les deux duettistes sus-cités. C'est assez récent, comme tu vois :

24/03/2015, 18:42 | PAR MARC TERTRE EN RÉPONSE AU COMMENTAIRE DE ANTOINE PERRAUD LE 24/03/2015 À 16:52

Cher Antoine Perraud vous vous trompez en qualifiant la meute de "Mélenchonistes rageurs" : on peut beaucoup critiquer Mélenchon, ou on peut le juger sans haine mais sans complaisance non plus, n'empéche qu'il n'est strictement pour rien dans la constitution de la "meute". Comme je l'ai indiqué dans un autre commentaire, quand on se rassemble autour d'un camps (idéologiquement délimité) je parlerais plutot de "bande" que de "meute" : la bande peut être féroce (pour m'etre retrouvé face à quelques uns des supporters et trices de JLM) mais elle défend des principes qu'on peut contester, mais qui existent. Ici c'est tout a fait différent : on a affaire à une meute "sans principe" : sans autre principes que de vous faire la peau ! Des gens aussi différents que possible, venu de l'ensemble des positions possibles et imaginables de la gauche la plus a gauche à la droite la plus adroite. On attend d'un instant à l'autre la venue de l'ineffable Bigenwald (qu'avec la pire mauvaise foi du monde, on aura du mal a faire passer pour un méchanlonien surchauffé)

24/03/2015, 23:18 | PAR ANTOINE PERRAUD EN RÉPONSE AU COMMENTAIRE DE MARC TERTRE LE 24/03/2015 À 18:42

Vous connaissez sans doute mieux que moi la typologie des bas-fonds numériques. Peut-être sommes nous ici passés des politiques aux droits communs...

Je n'y avais pas pensé : attendons maintenant, tel Saturnin Fabre hurlant « mon cor(ps) est à moi »dans Messieurs les ronds de cuir d'Yves Mirande (1936), le Big en little tenue, sur des photos qu'exposait notre exhibitionniste sur la Toile, quitte à m'accuser ensuite, pour mieux les étaler maintenant et pour les siècles des siècles, de les lui avoir subtilisées lors d'un affreux fric frac digital !...

La meute médiapartienne (une goutte de cyanure dans l'océan de nos 112 000 abonnés respectables) est parfois assez farce, finalement.

Un saint Sébastien requinqué

Faut dire que tu l'as bien requinqué, Perraud, le pauvre chéri, que des mélenchonistes un peu limités (oui, je sais, c'est une redondance), ont tant criblé de flèches qu'il peut se la jouer martyr de la liberté d'opinion pendant un bon moment . Je les avais prévenus, ces cons, qu'il allait sauter sur l'occase et nous jouer le martyre de Saint-Sébastien ! Ca n'a pas manqué ! Je m'étais même payé le luxe de le défendre ou plutôt à travers lui, de défendre la liberté d'expression, à laquelle je tiens  comme à la prunelle de mes yeux. C'est dire si moi, qui n'aspire pas comme toi à la sainteté, je pousse cependant loin l'objectivité !

Les paradoxes du Toinou

Mais le problème, c'est qu' il n'a  peur de rien, et surtout pas du paradoxe, ton Toinou ! Je m'explique.  Il fut un temps, en effet, où il était pas peu fier de son bon tour, une grande première dans le journalisme français : oser publier des photos d'un lecteur pour le ridiculiser, et tout ça en parant cette très fine plaisanterie d'un "zèle missionnaire " contre la "barbarie", incarnée par un "fou-furieux", "un requin", c'est à dire moi-même ! Je n'invente rien, tiens : 

01/11/2013, 11:28 | PAR ANTOINE PERRAUD EN RÉPONSE AU COMMENTAIRE DE BERNARD BIGENWALD LE 01/11/2013 À 09:35

Et si le délire de persécution laissait place à une analyse concrète de la situation concrète ? Un méchant abonné fait allusion à la binette d'un autre, objet de son harcèlement. Passant par là, pour infliger une correction méritée au méchant abonné tout en illustrant le débat sur l'effacement des traces, je mets à disposition les clichés les moins horribles de la binette que l'odieux personnage propose, de son plein gré, à tous, en accès libre, sur la Toile (deux clics suffisent).

Dans l'impensé rageur qui caractérise trop souvent le club, où chacun débagoule en toute réactivité, voici que surgit NSA ! Comparaison n'est pas raison. L'odieux Bernard Bigenwald a craché en l'air et cela, par mon modeste truchement, lui est retombé sur le nez.

Qui vivra par l'épée périra par l'épée.

L'intérêt de cette petite expérience, c'est que le méchant abonné s'est mis à vouvoyer, semblant quitter les rives de sa barbarie pour aborder notre civilisation. Il est donc perfectible : il suffit pour ça d'un peu d'imagination – et d'une bonne leçon.

Mon messianisme pédagogique mériterait d'être salué de plus intelligente façon – mais c'est peut-être trop demander à la petite poignée de furieux qui s'exaltent ici (bas).

Joyeuse Toussaint.

AP

Une si remarquable leçon de morale méritait indubitablement d'être diffusée à tout l'univers, non ?  Touché jusqu'au tréfonds par le "messianisme pédagogique " d'Antoine Perraud, et disons-le tout net , ébloui comme Saül sur le chemin de Damas, moi-même je me mis donc à diffuser urbi et orbi cette remarquable leçon du plus grand  et du plus scrupuleux pédagogue de Médiapart.   Et là, j'en reviens donc au goût du paradoxe chez Antoine Perraud, lui qui était si fier de son "messianisme pédagogique", eh bien, plus j'en faisais la publicité, et plus Médiapart,  s'acharnait à vouloir en effacer les traces ! Et ceci, jusqu'à ce que Perraud lui-même, par un nouveau retournement, sans doute lassé de sa modestie, ne craque et n'aille finalement par un subtil rappel de sa leçon, exposé plus haut, remettre en exergue sa pédagogie messianique. A croire que ça le prend comme des accès de palu !


C'est tout simplement à n'y plus rien comprendre, mon Cher Edwy ! Quelle cohérence dans tout ça ?

Non seulement donc, mes commentaires laudatifs concernant les  leçons  de notre extraordinaire pédagogue disparaissaient prestement une fois sur deux, parfois sans la moindre annonce de la "Rédaction", mais encore trois de mes billets furent passés sans autre forme de procès au ripolin rose : plus personne d'autre que moi ne pouvait les lire ! J'ai déjà évoqué les mystérieuses disparitions antérieures dans un autre billet : 

http://blogs.mediapart.fr/blog/bernard-bigenwald/200714/classe-rose-exces-de-sexe-classe-rose-lindex


Les délires d'Anastasie

Et voilà qu'après l'accés de palu du Toinou, donc, voilà qu'Anastasie, de nouveau, refait des siennes ces jours-ci ! Après une parution sans problème de mon billet " Breaking niouzes à la grecque" pendant plus d'un mois, voilà que, sans le moindre avis, elle me le ripoline en rose, le renvoie sur le blog d'un certain "Honoré Renaud" que nul ne connait ni d'Eve ni d'Adam, qui n'a jamais écrit quoi que ce soit, ni en billets ni en commentaires ! Alors, certes, je suis honoré des attentions d'Anastasie, mais elle me met toutefois en renaud !

Pourtant, il n'était pas méchant, mon billet, sinon qu'il rappelait, in fine, dans la rubrique "people"  ceci : 

 LES STARS SE DENUDENT  SUR MEDIAPART  GRACE A ANTOINE PERRAUD :

 31/10/2013, 22:46 | PAR ANTOINE PERRAUD EN RÉPONSE AU COMMENTAIRE DE BERNARD BIGENWALD LE 31/10/2013 À 11:39

À propos de binette, j'ai vu, pour ma part (animus meminisse horret !), Bernard Bigenwald s'exposer sans vergogne sur la Toile. Cela donne ceci, qui devrait rendre notre fou furieux favorable à l'effacement des traces (voire plus)...

 Conclusion :

 mon cher Edwy, tu as préféré jusqu'à aujourd'hui, fermer les yeux sur les petites niches de ton pote si marrant , qui serait sûrement à Médiapart ce que fut le professeur Choron à Charlie Hebdo s'il osait comme ce dernier, du moins à ce que l'on a dit, tremper son noble organe dans le champagne à l'issue des conférences de rédaction. Oui tu as fait semblant de ne pas voir, au point de tolérer de sa part de curieuses dérives, uniques dans la presse française depuis Gringoire !

 Tu as tolèré en effet qu'Antoine Perraud pratique le délit de faciès, que tu condamnes à grands cris dans les colonnes de ton canard.  Tu as toléré qu'il foule aux pieds mon « droit à l'image », droit à l'image qui est au programme de toutes les écoles de journalisme. Je pourrais même ajouter aux agapes perraldiennes que tu couvres avec constance, que ton collaborateur le plus précieux me classe ethniquement, dans le plus pur style Robert Ménard, « Marches de l'est » sur mon seul patronyme, alors que je fus pondu à Landerneau par une bretonne matinée de Normand ! C'est dire si tu pousses loin le bouchon !

 Je te comprends partiellement, remarque : je suis bien moins sympathique que Joël Martin, dont j'ai pu comparer en son temps le bâillonnement par Médiapart au ridicule d'une prise en otage de Mamie Nova. Je ne suis soutenu par aucun groupuscule, aucune secte du genre de celles qui qui te sustentent. En outre, mes supporters sont quasi tous bien plus du genre soude caustique que rhubarbe et séné. Ils se comptent tout au plus sur les doigts de deux mains, donc, pas de raison de se gêner !

 Il a pu te sembler évident, donc, que tu pouvais, sans risque, te permettre de faire le sourd et l'aveugle. En plus, quand ton pote Toinou me représentait torse poil, ce n'était sûrement que pour mieux me tailler, en rédaction, un costard que je n'ai pas de mal à imaginer, du genre tunique de Nessus. Il a sûrement su me charger de tous les pêchés d'Israel, le bougre. Donc, la morale a du te sembler avec lui, donc avec toi, comme d'hab', bref, tout ce que tu aimes ! Oui, mais vois-tu, ce n'est pas à toi que je vais apprendre que les minorités, pour peu qu'elles soient actives, sont capables de faire bouger les choses, dès lors qu'elles sont déterminées, et crois-moi, je suis déterminé ! Pour paraphraser Renaud, je suis même une bande de dissidents à moi tout seul !

 Tout ça pour te dire que si j'étais toi, au lieu de laisser faire d'abord ton Antoine, puis ensuite ton Anastasie, qui chient allègrement dans la colle, je me fendrais de quelques mots d'excuse ou demanderais à ton pote de le faire : je sais, je sais, c'est dur de reconnaître que l'on a déconné grave, mais après tout, tout le monde déconne à un moment ou un autre dans la vie, et j'ai le sens de l'humour ! Je peux même vous faire un brouillon marrant, si vous voulez, qui récapitulerait notamment, toutes les occasions manquées par vous de me reconnaître comme un peu moins con que vous ne l'aviez cru ! Comment être plus conciliant ? Je suis prêt à vous mâcher le boulot ! Toi qui crains tant pour la paix du monde, et qui milites pour sa préservation, tu ne penses pas que ça vaut le coup ?

 Vois-tu, ce que je supporte le plus mal, c'est l'hypocrisie, et là, Camarade Krasny, toi et ton pote Toinou, vos tartufferies commencent à me gaver  grave ! Certes, je sais bien que pour toi, je suis tout au plus un petit morpion, mais justement, un petit morpion, ça peut donner envie de se gratter les roubignolles jusqu'au sang, ne l'oublie pas ! Juste par curiosité, tu devrais demander son avis au Sénateur René Beaumont, qui m'a foutu au placard pendant des années parce qu'alors qu'il était Président du Conseil général de Saône-et-Loire, je m'étais opposé à un passe-droit en matière d'adoption contraire à mon éthique professionnelle de responsable de l'Aide Sociale à l'Enfance. Lui aussi m'avait pris pour un petit con, et il a dû se les gratter pendant des années, ses coucougnettes, que j'asticotais du fond de mon placard. Tu peux en demander confirmation à Montebourg, qui a suivi l'affaire et qui doit s'en souvenir en rigolant. Je déconne pas, ça vaut le coup ! Alors, à bon entendeur salut, Camarade Krasny !  

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