Episode n°2
Vous ne comprenez rien à ce monde ?
C’est normal, il n’est pas situé là où vous croyez.
Essayons de penser.
En un an de Covid, presque tous les éléments clefs de cette bouffée délirante mondiale, taxée de crise sanitaire, ont livré des informations majeures sur leur véritable nature. Le terme crise peut d’ailleurs prêter à sourire quand on pense à l’accélération des déséquilibres écologiques et environnementaux à portée critique, en particulier ceux dont dépend notre éventuelle pérennité, qu’on la postule dans le présent le plus immédiat ou dans l’optique d'un futur virtualisé.
Et c’est aussi pour cela, pour éviter de troubler davantage mes proches les plus soucieux, mes voisins les plus contemplatifs, mes collègues les plus radicaux, ou mon cher médecin, qu’il me faut mettre sur la table sacrée ce qui pourrait circonscrire le noyau commun admissible des faits majeurs de cet épisode épidémique. Une sorte de sélection consensuelle de données vitales autour desquelles nous éviterions de pourrir la bonne ambiance d’un repas festif.
Comme je le note dans l’épisode n°1 de l’aventure des Zombis à l’âge du Covid, s’il existe un élément pour lequel il est inutile d’en venir aux mains, sauf à coup de gel hydro-alcoolique, c’est bien l’avènement d’un virus dénommé SARS-CoV-2. Lequel a le mauvais goût de mettre en danger, pour l’essentiel et selon plusieurs paramètres, des personnes âgées atteintes de comorbidités diverses.
Voilà. Comme accord non extirpé par la volonté sournoise de finir ma coupe de fraises des bois dans une ambiance conviviale, c’est tout. Absolument tout.
Et comment en serait-il autrement ?
Après une année d’échanges, d’études de données, que ce soit dans le domaine médical - clinique ou recherche -, dans le domaine de la biologie moléculaire, dans celui des sciences sociales, de la politique nationale et internationale, dans le domaine juridique, dans le domaine des mathématiques appliquées aux études statistiques et dans le domaine des médias, le nombre et les qualités réunies des scientifiques qui se sont exprimés patiemment et avec régularité sur cet épisode international ou hexagonal, me permettent de dire joyeusement que nous assistons et participons aujourd’hui à une tragi-comédie criminelle. Evidemment pas à une guerre contre un virus, quelle niaiserie, mais bien à une guerre tout ce qu’il y a de plus ancienne, entre des êtres un peu plus grands qu’un virus, et tout ce qu’il y a de plus charnels, qui en bavent tout en dansant parfois (patients, impatients, infirmières, aides-soignantes, chercheurs trouvant, médecins guérissant, etc.) et criminels de bureaux. Parce que sur le fond oui, dans presque tous les détails essentiels de cette crise prétendue, s’exprime d’abord l’état de violence structurelle absolue qui régit les mondes psychiques et sociaux du vingt et unième siècle et des deux siècles précédents, dans un cataclysme tectonique multi-plans que je vais tenter de décrire.
Comprendre au-delà de ce qui est présenté par un certain nombre d’Etats et la quasi-totalité des médias mainstream occidentaux, comme une guerre totale à mener contre un virus diabolique pire que lui-même, c’est accepter d’ouvrir la porte d’un local peu reluisant. Dans les contradictions les plus flagrantes de cette prétendue crise, c’est accepter que nous saute au visage l’expression d’une tout autre guerre, d’une tout autre angoisse et d'une aporie fondamentale bien différente d’une prétendue pandémie universelle. Pour ceux qui sont entrés à fond les manettes dans cette entreprise de détournement comme d'autres entrent soudain dans un mouvement sectaire après une vie de dissolution ou de débauches, il s’agit je pense d’une forme paradoxale de décompensation, qui mêle cynisme, désir de prédation, autojustification, incompétence et hubris nihiliste.
A l’opposé, pour ceux qui sont tentés de démêler ce sac de nœuds de taille planétaire, c’est d’abord un investissement important en temps, et un esprit critique à affuter quotidiennement. Il s’agit comme toujours de procéder à une vérification minimale des données officielles, des données récoltées sur le Net, de ses propres intuitions, et surtout de ses désirs cachés les plus discrets, ceux qui nous font chercher plutôt ce qui nous semble souhaitable d’entendre ou de trouver, afin de consolider l’image de notre forteresse mentale. Et même si ces prudences minimales sont indispensable, elles ne garantissent pas toujours de dénouement décisif.
D’abord, parce que face au déferlement de collusion des journalistes avec leurs employeurs, face à une absence de sens critique qui ressemble à un cauchemar à la Fritz Lang - c’est quand même l’outil de base de la profession ! Mais non... Pas le cauchemar ! Le sens critique ! - face à l’inculture terrifiante des décideurs politiques quant aux questions de santé, inculture symétrique de leurs appétits de pouvoir sans limites, toutes qualités précieusement sélectionnées et entretenues n’est-ce pas, il devient vital de se retrousser les manches jusqu’aux yeux. Il faut lire beaucoup, écouter tout autant, dialoguer dès que possible, réfléchir longuement en solo et rester en vie.
Alors, pour être factuel, ne chipotons plus, faisons tout de suite dans ce pli temporel sans équivalent, la liste des éléments les plus manifestement insensés, les modes comportementaux les plus indubitablement incohérents, incompétents, mensongers, manipulateurs, inappropriés, doctrinaires, arrogants, excluants, intéressés ! mais oui, que ce soit chez les décideurs étatiques, au sein du Conseil sanitaire, ou chez les empêcheurs de soigner hexagonaux, l’Ordre en particulier. Car ce qui se passe dans nombre de pays à prétentions démocratiques, en particulier en France, est tellement énorme, tellement visiblement compulsif et sans mesure, que cela conduit à se poser immédiatement d’autres questions fondamentales en abyme.
1) Le test PCR
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Dans l’Episode 1, j’ai abordé pour commencer le sujet de la validité des tests PCR.
Pour les indolents ou les oublieux, j’en remets une micro couche ici.
Dans ce premier opus, vous trouverez l’étude mainstream complète réalisée par un groupe de scientifiques spécialisés en biologie moléculaire, qui démontent totalement le rapport Corman-Drosten envoyé précipitamment au comité de rédaction d’Eurosurveillance par Christian Drosten, tête pensante de la direction sanitaire allemande, afin de vanter les mérites du test PCR dont le monde quasi entier va s’emparer. Et tout aussi réjouissant, pour dénoncer cette faute originelle, la class-action d’une équipe mondiale dirigée par le plus connu des avocats allemand, Reiner Fuellmich, tombeur de Volkswagen pour le dieselgate, et Deutsch Bank pour diverses grosses magouilles internationales.
Vous trouverez également un article très clair et davantage grand public du Dr Nicole Delépine : Christian Drosten : l'heure des comptes ? où elle explique le problème nodal du test PCR, en l’occurrence le forçage des résultats prétendus de contamination, par le nombre fou des cycles d’amplification préconisé par Drosten : x 45 ! En fait la limite se situe autour de 25 cycles, la fiabilité du test y est environ de 70%. A 30 cycles elle tombe а 20%, et à 35 Cycles, à 3% !
Eh oui « Tout bien portant est un malade qui s’ignore » Et pire, imaginez le piège imparable, cet ignorant ignore en plus qu’il est extrêmement contagieux !
Monsieur Drosten est en effet particulièrement contagieux et devrait rapidement être mis en confinement durable. Ça ne saurait d’ailleurs tarder, comme mentionné plus haut.
Alors, que reste-t-il après les fraises des bois ?
2) le nombre de décès
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Les chiffres mondiaux, par le site de référence anglais, que personne ne traite encore de complotiste, Coronavirus Update (Live) Deaths from COVID-19 Virus Pandemic - Worldometer https://www.worldometers.info/coronavirus/
Le tableau mondial du Covid 19, mis à jour quotidiennement, affichant le nombre de cas décelés, le nombre de décès, la population. Quasi tout le monde aujourd’hui reconnait que le chiffre le moins discutable est celui du nombre de morts par millions d’habitants (ou centaines de milliers)
Pour voir ce classement précis, sur le grand tableau central interactif, vous cliquez en haut du tableau, un peu à droite sur : Deaths / 1 M pop
En cliquant par ailleurs sur chaque entête des menus déroulant, vous pouvez agir. Par exemple, pour retrouver un pays, cliquer sur Country / Other à gauche et cette colonne s’organisera de façon alphabétique
La France, pays qui se targue d’avoir le meilleur système de santé au monde est à la 21e place sur plus de 200 Etats (plus on est en haut du classement, plus il y a de morts par millions d’habitants.)
Même si vous faites l’impasse sur la Chine, à la 195e place : doutes liés au régime (?) mais aussi parce qu’ils sont les seuls à posséder réellement la souche mère du SARS-CoV-2, ou bien la Russie, 59e place : doutes liés au régime (?) globalement, les pays occidentaux, hyper médicalisés selon les normes de l’OMS, s’en sortent globalement le plus mal. Même l’Inde, dont on nous casse les oreilles tous les jours, et qui a encore des zones de populations paupérisées par centaines de millions, est à la 110 place ! La Suède, qui aurait pu et dû au moins protéger les personnes les plus âgées, sans avoir rien fait, est pour autant bien mieux placé que nous, et que 32 pays devant elle. Quant à l’Asie : Vietnam, Taïwan, Thaïlande, Nouvelle-Zélande, Singapour, Ouzbékistan, Tadjikistan, Hong Kong, Sri Lanka, Corée du Sud, Mongolie, Birmanie, etc, ils sont dans le très bas du classement, donc beaucoup moins atteints.
Pour l’Afrique, c’est kif kif. Mais bien sûr, l’Afrique… Et bien écoutons ce qu’en dit le Pr. Philippe Parola, chef de service à l'IHU Méditerranée Infection, particulièrement connaisseur de ce continent :
Cessons de donner des leçons à l’Afrique
https://www.youtube.com/watch?v=TTbVTVN0FVE
Et tiens par la même occasion, un peu de Didier Raoult pour faire pleurnicher les crocodiles décérébrés qui ont raté leur vocation de traders droguiste.
Émergence et disparition des variants
https://www.youtube.com/watch?v=hSwEgQHEc8U
Un scientifique cohérent, dirigeant un établissement d’excellence, conçu pour l’étude des épidémies infectieuses (des études génomiques de variants en particulier à cette étape), les deux, établissement et chercheur, étant réputés dans le monde entier, on apprend alors cette chose incroyable, que la recherche est capitale certes, A CONDITION QUE LES PATIENTS RESTENT EN VIE. Par exemple en les soignant tout de suite, ben oui, quand il n’y a pas de remède miracle en cours n’est-ce pas ? Du genre vaccin numérique que nous aurions reçu préventivement avant le Covid, par mail forcément, de la part de Monsieur et Madame Bill Gates qui ont toujours un coup d’avance sur les horreurs à venir.
Par ailleurs, l’observation de patients réels en prophylaxie, ou contaminés, ou malades, avec des traitements précoces, qui fonctionnent, vaut tous les schémas en double-aveugle que le club des paranoïaques cupides criminels de bureau, voudrait imposer en attendant que l’épidémie, voire Raoult, disparaissent.
Si vous voulez suivre les travaux de cette équipe unique en France, une vidéo est mise en ligne au moins une fois par semaine sur leur site, très bien fait. IHU Méditerranée-Infection https://www.youtube.com/channel/UCFaPzuoXcACu7jplePDfXmA
Enfin sur ces mêmes questions, des chiffres de décès, deux courts articles de Laurent Mucchielli, sociologue et Directeur de recherche au CNRS, qui a le plus œuvré pour éclairer les affirmations étatiques et les confronter aux réalités des observations de terrain et des relevés nationaux. Son blog sur Mediapart est exceptionnel, richissime, sérieux et ample dans tous les registres d’appréhension de cette guerre de pouvoir, qui tente de se présenter comme un simple épisode « sanitaire »
L'épidémie de Covid-19 a eu un impact relativement faible sur la mortalité en France - 26 MARS 2021 Par Laurent Mucchielli
https://blogs.mediapart.fr/laurent-mucchielli/blog/260321/l-epidemie-de-covid-19-eu-un-impact-relativement-faible-sur-la-mortalite-en-france
L’espérance de vie a-t-elle réellement chuté de façon inédite en 2020 ? - 12 AVRIL 2021 Par Laurent Mucchielli
https://blogs.mediapart.fr/laurent-mucchielli/blog/120421/l-esperance-de-vie-t-elle-reellement-chute-de-facon-inedite-en-2020
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ENTRACTE
Après Tamerlan, l’Inquisition, la colonisation, la traite négrière, les deux boucheries mondiales, l’holocauste nazi, le stalinisme, Hiroshima, l’effondrement de la bio-diversité, Olivier Véran, etc… penser que ce monde se distribue en deux faces distinctes, les complotistes et les comploteurs, avec entre les deux, des Zombis roulés dans la farine, relève d’une utopie pâtissière gloutonne, mais imprécise.
En relation avec la Théorie du complot définie par Karl Popper, qui considère comme abusive l’hypothèse qu’un événement politique puisse être causé par l'action concertée et secrète d'un groupe de personnes qui avaient intérêt à ce qu'il se produise, plutôt que par le déterminisme historique ou le hasard, prêtons-nous à une petite conjoncture sérieuse et rapide de cette proposition hautement paradoxale.
Admettons quelques barbouzes virés de la filière pétrole et charbon pour cause de crise économique, qui se regroupent secrètement en Laponie orientale durant leurs vacances d’été, avec des potes d’Areva, afin de faire exploser le résidu de la calotte glaciaire. Officiellement pour rigoler, bien sûr. Popper aura beau jeu d’expliquer que d’une part ces Pieds Nickelés n’ont aucune chance de perpétrer leur abominable forfait compte tenu des charges monstrueuses, y compris via l’atome, nécessaires à l’inondation et à la nucléarisation de Brest ou de New-York, et que par ailleurs, le parcours et l’histoire personnelle de ces barjots, même pas dignes de figurer dans les pages bien sous tout rapport de Wikipédia, relèvent d’ascendances a minima affectées par de lourds héritages psychiatriques, eux-mêmes inscrits dans les circonvolutions et les traumatismes environnementaux les plus obscurs du paléolithique inférieur, et feront qu’ils s’entre-dévoreront plus que sûrement avant d’avoir percé la première carotte atomique dans la calotte en question. Et encore, en se retenant.
Attendez, j’ai pas fini ! En fait, la victoire de Popper sera de courte durée. Because, les éléments qu’il retient pour démonter la prétention initiale au mégacomplot de ces joyeux drilles, sont et seront de toute éternité à l’œuvre dans toute action « illégale et néfaste » (ce qui n’a rien à voir) et quel que soit le nombre d’impétrants.
Oublier une peau de banane consommée en haut de l’Everest, dans l’espoir que le réchauffement climatique finira en la décongelant par rendre la conquête de cette grosse colline paradoxalement plus périlleuse encore pour les suivants, relève de même, d’un continuum de discontinuité psychopathologique où l’anti-héros le plus cynique aura tout intérêt à ne jamais revenir sur les lieux du crime.
Il en ressort mathématiquement que le complot solitaire ou en petit groupe est voué dans sa réussite aux aléas les plus climatiques et donc les moins modélisables. Alors qu’à contrario, le regroupement d’au moins la moitié de la population terrestre dans une entreprise de suicide collectif au long cours, bien que ses chances soient strictement orthogonales à l’aplomb méta-déterminé du principe néoténique qui anime la moitié restante, verra probablement la réalisation pyramidale de son projet pervers.
On peut donc en conclure facilement :
1) Qu’il n’y a jamais eu de véritables complots ni de guerres mondiales, mais seulement des gens mieux informés quant au sens du courant boursier et aux plans de table.
2) Que les pauvres s’obstinent à vouloir faire des trucs stupides dans les hauteurs pour se faire remarquer, au risque d’attraper toute sorte de virus inconnus, dus pour l’essentiel aux nouvelles cultures de fruits exotiques dans des contrées récemment décongelées, pour lesquels les alpinistes et les autochtones n’ont toujours pas de défenses immunitaires appropriées.
Suite et fin dans l’Episode 3
Zombis co-vidés. Occupation ? Ou libération ?
https://blogs.mediapart.fr/cham-baya/blog/120521/zombis-co-vides-occupation-liberation-3