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Billet de blog 11 mai 2021

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Les Zombis peuvent-ils mourir du Covid ? (1)

Entreprises zombies, Etats zombis, experts, labos, journalistes, citoyens et médecins zombis ? Oh comme on meurt bien sur la planète zombie. Mais voilà que sortent du bois des êtres surnaturels capables de dévorer le flan titanesque culbuté sur le monde. Un film gore hollywoodien, orwellien, debordien, dans lequel nous sommes presque tous figurants. Et pour lequel il nous faudrait payer à vie ?

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Premier épisode. 

Il y a bien un SARS-CoV-2 parmi les dizaines de milliers 
de virus que nous inspirons à la minute. Vous ne 
pouvez pas le louper, il est peint en rouge.

Je vais mourir. Plus tard. Un peu plus tard, oui. Je pourrais maintenant, remarquez bien. Je pourrais. Mais, pardonnez-moi un instant, vous n’auriez pas trouvé sous cette brume doucereuse et atroce qui dégouline comme une ombre pâlichonne entre les arbres, deux ou trois petits êtres vert salade ? Que je dois remettre en terre ce matin ? Non ? Ah bon... Ça m’étonne. Aurais-je pris un gros coucou derrière la tête ? Eh, on ne sait jamais ! Mais bon. Pourquoi faire ? 
C’est vrai qu'il m’arrive dans certains moments de distraction en colimaçon, accablée par la domestication de mon temps résiduel, affalée sur la terre sèche, ma brouette de panacées balancée sur le côté, il m’arrive oui, qu'un pin altier me cligne de l'œil depuis sa haute ramure lascivement balancée dans l’azur… Ah si je pouvais enfin laisser béton, et roupiller pour de vrai !
Mais non. Sortilège ! Mourons à cette farceuse bonne idée. D'ailleurs, voilà que pointent à l'orée des acacias les ombres aux yeux brillants dont je guette dès l'aube les mirettes mentholées et la silhouette atroce de noisetier ! Allez allez, sortons de cette hypnose malsaine, puisque je suis une bête, une sorcière, un clown, un fauve, une brebis galeuse cernée d'oiseaux ivres, un bouquet de misère fauché dans les champs ! Taisez-vous ! Et esgourdez par pitié, ce ramage volatile, ces bols d’airs frais comme des sources qui dégringolent gratis sur vos têtes.
Quand il faudra, oui peut-être. Si ça me chante ! Je ne ferai pas faux bond. Non non non. Juste un petit saut vers les étoiles de terre. Et ne jouons pas trop au malin. Je m’entraîne, hi hi... voilà tout. Plusieurs fois par jour. C'est qu'on ne réussit pas du premier coup vous savez. Alors quitte à se rater, faisons ça tant qu'il est temps !

Donc, j’apprends que c’en est fini pour LE Covid tueur ? On en serait à LA Covid empoisonneuse ? Ben voyons. Les salauds. Jusqu'au bout ils tenteront d'écraser leurs mères, leur sœurs, leurs filles et leurs esclaves ! Vous n'avez pas compris ? UN espèce, nous font-il bredouiller désormais. « Maman, j’ai vu un espèce de nain ! »  Autrement dit c'est l'espèce humaine tout entière qui se réduit aujourd'hui à son seul véritable membre, le membre masculin, le ZOM !
Et si saloperie de nouvelle maladie il y a, ça ne peut-être que de la bave de sorcière chauve-souricière ! Notre si désirée bave toxique de femelle, pas vrai ? 
Passons. La plupart d'entre nous savons très bien de quel côté obscur se mijote cette ruse-là. 

Et ne rêvez pas. Parce que les prêtres à plateaux, cette descendance gâteuse de l’Horloge parlante, oui oui, qui se vantent d'être éclaireurs en illusionnisme, vous savez de quoi je parle, non ? Ces bègues qui se voient toujours en avion à réaction dans les rédactions. Oui, et bien ils savent également ! Oh oui, ils savent. Ils savent que l'on sait. Savent secrètement que nous savons, voilà. Mais pas tout ce que nous savons. Ni comment nous savons. Savent seulement globalement que nous avons « bien entendu ! » Et c’est sûr désormais qu’ils ont les chocottes. C'est la caractéristique première du mort-vivant, vous avez appris ça dans les tranchées n’est-ce pas ? Tout le monde sait ça, bien sûr. Le désir de contrôle et son corolaire, le désir de soumission, qui sont les signes absolus de la maladie la plus contagieuse de la condition humaine, la paranoïa ! 
Et pour gagner du temps, du temps illusoire, du temps de peau de chagrin, ils continuent d'accorder à leurs dieux de tutelle, le droit de tuer ! Et de mentir à perdre haleine. 
Et leurs dieux mentent. 
Comme ils respirent. 
Mal.

Alors aux collines, aux futaies, aux glaciers en sueurs, aux bêtes harcelées, aux sauvages, aux femmes et hommes de bonne volonté que le pouvoir de dominer indiffère solennellement, et qui besognent et luttent dans la joie et la souffrance de la complexité, reste le seul joyau véritable, le présent ! Le présent actif, ben oui. Plein de piquants. Ce futur aventureux, cette bestiole perpétuelle qui ne lâche jamais sa proie, mais ne se chevauche pas.

Oh mes fiers amours, ce bidule à quoi nous sommes soumis aujourd'hui pour l'essentiel et qui s'avère d'une extrême gravité mielleuse, moelleuse, roulée, enroulée dans des faits pitoyables et planétaires, est comme vous l'avez compris, tout sauf une crise sanitaire ! sèche. A moins de la considérer sous l'angle psychiatrique n’est-ce pas ? Et à un détail près. Les véritables malades cette fois, sont également le plus souvent les prescripteurs des soins, pas vrai ? Lesquels sont loin d'être toujours médecins, hou hou. Alors on pourrait peut-être s'demander à l’orée, quel est l'enjeu véritable de cette contredanse unijambiste à chenilles qu'on nous sert tous les matins ?
Voire, que nous nous servons fatalement à nous-mêmes, jour après jour, ne sachant plus sur quel pied mourir ?

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Dans le documentaire de Alain de Halleux, Le grain de sable dans la machine, produit et diffusé par Arte, et qui ouvre de nombreuses focales grâce à l’intervention de points de vue moins attendus que le strict prisme sanitaire, Fabian Scheidler, essayiste et dramaturge, rappelle l’existence de pandémies complémentaires, si on peut dire, d’une autre ampleur, d’une autre gravité et d’une autre ancienneté. 
« 42 personnes possèdent autant que la moitié la plus pauvre de la population mondiale, et une division sociale aussi énorme, même dans des pays comme la France ou l'Allemagne, ne peut être maintenu sans violences. » 


Des plans sur la comète sanitaire ?


Doute ? Angoisse ? Rien à cirer ? Sous contrôle ?
Bon, il y a bien un virus SARS-CoV-2, c’est acté, même si personne ne connaît le papa, éventuellement la marraine, voire, le supérieur hiérarchique. Covid-19 étant lui, l'acronyme anglais de coronavirus disease 2019, autrement dit le souk que ce gentil bébé fout un peu partout où il est reçu si gentiment. Ou présenté plus civilement, une maladie annoncée, prétendue, supposée, par ailleurs très obscurément mystérieuse, hermétiquement impénétrable, opaque et nébuleuse, fatalement mauvaise joueuse, en somme une chinoiserie franco-américaine à géométrie variable dans le temps, l’espace et la matière noire.
Dans un des épisodes suivants de la vie mortelle des Zombis, je traiterai spécifiquement avec l’aide de quelques extras terrestres obsédés par les tiques, ce qu'est réellement une maladie univoque et mortelle, la vie de chien.

A la rentrée estivale de l'année passée j'avais tenté de dessiner les errements zigzagants de notre gouvernance en goguette et surtout ces libertés prises illico presto en matière de conflits d’intérêt par plusieurs membres de l’auto-coopté Comité scientifique. Depuis, il faut dire que ces aspects ont pris une proportion massive, et pour autant, ils paraissent aujourd’hui presque anodins au regard d’autres libertés tous azimuts prises par cet Etat lui-même avec… les nôtres. 
A travers une plateforme minimale, j’avais brossé également ce qui me semblait constituer une base heureuse pour mieux connaître, conserver ou stimuler son immunité (1) ainsi qu’un rapide état des lieux en matière d’offres thérapeutiques, mais aussi de covitalités faciles à entretenir face à l’accumulation de pathologies et de désastres environnementaux dernier cri.

Sur la question de la virulence spécifique du Covid-19, comme beaucoup de monde, j'étais resté sur une position agnostique en attendant les analyses de fond, voire un éventuel consensus médical. Et si une quantité phénoménale d'organismes, médicaux, étatiques, des sciences sociales, de sectes prétendument rationalistes, de trolls chasseurs de faux complotistes, de lobbying, etc. se sont exprimés à la suite de leurs travaux ou supposés tels, de consensus, point.
Et tant mieux. Car à travers cet évènement ontologique équivoque, ce monde s'est bien pris une énorme plâtrée de refoulé multi cartes, tout autant que de misères ancestrales. Ainsi de notre sagacité potentielle, dépend donc de comprendre cet évènement dans son émergence frénétique, métaphorique, transversale et hautement vampiresque. 

Devant les gros plans et l’incompétence arrogante de l’Etat et de son cercle de centurions romains, dans les écarts colossaux entre les praticiens qui assument leur serment et exercent leur art, sciences et compétences et le troupeau des suiveurs aliénés à l’Ordre du jour, quand ce ne sont pas des criminels de bureau innocents, mais peinards, comme dirait Squarcini, il nous est franchement plus que recommandé de nous démerder tout seul pour une part, et d’investir intellectuellement fissa sur ces questions vitales, nouvellement posées.

Alors, accrochez-vous, parce que ça va saigner 
Contre la grosse attaque au flan

Le premier document, est un dialogue entre deux avocats, Reiner Fuellmich (allemand) Dominic Desjarlais (canadien) et un lanceur d'alerte québécois et militant démocratie directe, Stéphane Blais.
En matière d’épidémie *  Reiner Fuellmich pourrait devenir une des personnes clef de la compréhension d’une intox absolument majeure et unique (si l’on omet les répétitions H1N1 et Grippe porcine) par son émergence soudaine dans la tragi-comédie planétaire.
Pourquoi ? Reiner Fuellmich est un des avocats les plus célèbres au monde. Ce n'est pas seulement un pro brillant et intelligent, c'est aussi manifestement une personne intègre. Il a déjà fait chuter Volkswagen pour le dieselgate, et Deutsch Bank, la plus grande et célèbre banque germanique, pour diverses grosses magouilles. Or, en compagnie de nombreux juristes internationaux, de plus en plus nombreux en fait, il prépare depuis plusieurs mois une class action mondiale pour démonter les arrière-plans du Covidiot, sous l’accusation précise de crimes contre lhumanité.
Mais oui. Faut se réveiller les petites reinettes. La cuisson est terminée.
http://unpeudairfrais.org/entrevue-avec-lavocat-allemand-reiner-fuellmich/
(Attention : commence à 6 : 30  ) 

* Richard Horton, patron du Lancet, aujourd’hui dans ses petits souliers, réfute lui-même le terme de pandémie.

L'élément clef de cette prétendue nouvelle crise sanitaire (que je nommerai donc pour plus de précisions gustatives : attaque au flan) se nomme Christian Drosten, A l'heure actuelle, ce personnage en nage, est le grand manitou de la politique sanitaire allemande. Or, selon les travaux de plusieurs de ses confrères, il n'aurait jamais fini ses études de médecine, n’ayant remis sa thèse finale que très récemment. Sa page Wikipédia fait d’ailleurs ingénument figurer aujourd’hui, entre parenthèses, la date officielle prétendue de la remise de celle-ci : « apparue en 2000 » Très étrange formulation n’est-ce pas ? Une apparition ! 

Drosten, c’est surtout la personne qui a vendu au « monde entier » (qui ne demandait que ça bien sûr) le test PCR, pour des fonctions ou des qualités, qu'il n'a pas. Il n'est d’ailleurs pas l'inventeur de celui-ci. Un premier jugement d’une cour d’appel du Portugal a déclaré il y a quelques semaines que le test PCR - comme son inventeur, le prix Nobel Kary Mullis l’a souligné à maintes reprises - n’est pas fait pour, ni n’est capable de détecter les infections, ou même les maladies. Ce que Drosten avait d’ailleurs déclaré lui-même en 2014.

L’estocade

Il y a, aujourd’hui 10 mai 2021, au-delà de tout doute possible, des preuves scientifiques incontestables et convergentes de l’inutilité de ce test et de son inadéquation absolue pour la recherche d’infections au Covid-19. Car voici qu’une étude, de novembre dernier - eh oui, prenez vot'temps monsieur Dracula ! - une étude approfondie et normée, d’un collectif de biologistes moléculaires, mainstream, connus et reconnus dans le domaine des analyses médicales, a permis la réévaluation détaillée du rapport Corman-Drosten, et l’a soumis au comité de rédaction d’Eurosurveillance le 27 novembre 2020. Or, cette étude dénonce de façon indiscutable des défauts scientifiques et méthodologiques majeurs, sans parler des conflits d’intérêts non mentionnés par les auteurs, et cerise dégoupillée sur le gâteau, un délai éhontément court entre la soumission et l’acceptation de la publication (24h ! ) empêchant tout processus d’examen par les pairs.

Conclusion : « Compte tenu des défauts scientifiques et méthodologiques présentés ici, nous sommes convaincus que le comité de rédaction d’Eurosurveillance n’a pas d’autre choix que de retirer la publication ».

Avant de s’intéresser, dans l’épisode 2, aux conditions politiques, psychologiques, éthiques, athlétiques, sociales et épistémologiques, qu’elles soient mondiales ou locales, qui ont permis qu’une telle arnaque prospère à la vitesse du magma de Tchernobyl, je conseille à quiconque maîtrise suffisamment les bases de la biologie moléculaire, de lire soigneusement et en entier cette contre-enquête du rapport d’analyse Corman-Drosten.

Vous trouverez plus loin le lien vers ce dossier traduit de l’anglais. Voici d’abord la présentation de l’équipe ainsi que l’abstract cinglant produit en tête d’enquête.

Rapport d’analyse Corman-Drosten et al. Eurosurveillance 2020

27 novembre 2020

« Ce rapport d’évaluation détaillé a été officiellement soumis au comité de rédaction d’Eurosurveillance le 27 novembre 2020, via leur portail adéquat. Une lettre de demande de rétractation, signée par tous les auteurs principaux et co-auteurs, est jointe au présent rapport d’évaluation. Les noms et prénoms indiqués sont ceux des premier et deuxième auteurs principaux. Tous les noms entre les deux sont des co-auteurs.
L’examen externe par les pairs du test RTPCR pour la détection du SRAS-CoV-2 révèle 10 failles scientifiques majeures au niveau moléculaire et méthodologique. »

Pieter Borger(1), Bobby Rajesh Malhotra(2) , Michael Yeadon(3) , Clare Craig(4), Kevin McKernan(5) , Klaus Steger(6) , Paul McSheehy(7) , Lidiya Angelova(8), Fabio Franchi(9), Thomas Binder(10), Henrik Ullrich(11) , Makoto Ohashi(12), Stefano Scoglio(13), Marjolein Doesburg-van Kleffens(14), Dorothea Gilbert(15), Rainer Klement(16), Ruth Schruefer(17), Berber W. Pieksma(18), Jan Bonte(19), Bruno H. Dalle Carbonare(20), Kevin P. Corbett(21), Ulrike Kämmerer(22)

ABSTRACT

"Dans la publication intitulée « Detection of 2019 novel coronavirus (2019-nCoV) by real-time RT-PCR » (Eurosurveillance 25(8) 2020), les auteurs présentent un flux de travail diagnostique et un protocole RT-qPCR pour la détection et le diagnostic du 2019-nCoV (maintenant connu sous le nom de SARS-CoV-2), qu’ils affirment avoir validé, ainsi qu’une méthodologie de diagnostic robuste pour une utilisation dans les laboratoires de santé publique.

Compte tenu de toutes les conséquences de cette même publication pour les sociétés du monde entier, un groupe de chercheurs indépendants a réalisé un examen point par point de ladite publication dans lequel 1) tous les éléments de la conception du test présenté ont été vérifiés, 2) les recommandations du protocole RT-qPCR ont été évaluées par rapport aux bonnes pratiques de laboratoire et 3) les paramètres ont été examinés par rapport à la littérature scientifique pertinente couvrant le domaine.

Le protocole RT-qPCR publié pour la détection et le diagnostic du 2019-nCoV et le manuscrit souffrent de nombreuses erreurs techniques et scientifiques, notamment une conception d’amorce insuffisante, un protocole RT-qPCR problématique et insuffisant, et l’absence d’une validation précise du test. Ni le test présenté, ni le manuscrit lui-même, ne remplissent les conditions d’une publication scientifique acceptable. En outre, de graves conflits d’intérêts des auteurs ne sont pas mentionnés. Enfin, le délai très court entre la soumission et l’acceptation de la publication (24 heures) signifie qu’un processus systématique d’examen par les pairs n’a pas été effectué ici, ou qu’il est de mauvaise qualité.  Nous fournissons des preuves irréfutables de plusieurs insuffisances, erreurs et défauts scientifiques.

Compte tenu des défauts scientifiques et méthodologiques présentés ici, nous sommes convaincus que le comité de rédaction d’Eurosurveillance n’a pas d’autre choix que de retirer la publication."

Le rapport traduit (ainsi que l’original en anglais) auparavant disponible le site de Eric Langermann a été supprimé pour toutes les « bonnes » raisons que vous imaginez. Mais trop tard pour que ça parte aux égouts. UN dossier complet ici :
 
://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/le-test-pcr-est-une-enorme-230617

Ou ici :

Le dossier tenu secret
de Christian Drosten
https://www.kla.tv/SujetBrulant/17960

Christian Drosten : l'heure des comptes ? Par la Dr. Nicole Delepine
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/drosten-heure-comptes#_ftn10

Un test PCR ne permet pas de différencier une simple contamination d'une infection.  
Pour trouver quelque chose de notable dans ce type de test, il faut réaliser des amplifications. A partir de 35 amplifications, le degré de fiabilité tombe à 3%. Et oui, on trouve de tout dans le nez, surtout au pifomètre. Des débris de virus occis par votre immunité par exemple. Combien Drosten a-t-il suggéré d’amplifications ? 45.
Monsieur Drosten, préparez votre valise et n’oubliez pas vos livres de classe.

« Le test PCR va au tribunal » : au Portugal, mais aussi en Allemagne et dans de nombreux pays
https://www.francesoir.fr/societe-sante/le-test-pcr-va-au-tribunal-au-portugal-mais-aussi-en-allemagne-et-dans-de-nombreux

«  Dans l’Extrait 4 (extrait spécifique) la cour (portugaise) revient sur l’absence de fiabilité des tests PCR
" la fiabilité éventuelle des tests PCR réalisés dépend, d'emblée, du seuil de cycles d'amplification qu'ils contiennent, de telle sorte que,
- jusqu'à la limite de 25 cycles, la fiabilité du test sera d'environ 70% ;
- si 30 cycles sont effectués, le degré de fiabilité tombe à 20% ;
- si 35 cycles sont atteints, le degré de fiabilité sera de 3%. " 

Extrait 5 (extrait global) la cour portugaise s’étonne que l’agence de santé fasse appel en justice d’une affaire médicale, alors que c’est son job.« Depuis quand revient-il à un tribunal de poser des diagnostics cliniques, de sa propre initiative et sur la base d'éventuels résultats de tests ? Ou l'ARS ? Depuis quand le diagnostic d'une maladie est-il posé par décret ou par loi ? »  Et insiste sur le fait que poser un diagnostic est un acte médical et rappelle le règlement portugais : règlement n ° 698/2019, du 5.9 (règlement qui définit les actes propres des médecins) (…) Il est donc clair que la prescription de méthodes diagnostiques auxiliaires (comme c'est le cas des tests de détection d'une infection virale), ainsi que le diagnostic de l'existence d'une maladie, vis-à-vis de chaque personne, est une démarche qui ne peut être effectuée par la loi, la résolution, le décret, le règlement ou toute autre voie normative, car ce sont des actes que notre système juridique réserve à la compétence exclusive d'un médecin, étant sûr « qu’en conseillant son patient, il doit toujours essayer d'obtenir son consentement éclairé. »

La messe pourrait s’arrêter là n’est-ce pas ? 
Tests bidons, pandémie par terre ?

Mais, on ne sait jamais ! Oh non, on voit tellement de choses aujourd’hui ! Surtout quand on ferme les yeux. C’est sûr, ce monde va mal. Atrocement mal dans certains espaces temps. Douloureux, cynique, sans perspectives résilientes globales, en panne de jubilation, d’esprit critique et manifestement occupé à autre chose. En fait, ce monde Zombi n’existe pas en vrai. N’existe pas pour tout le monde. Pas plus que les pauvres manifestement. Ou les malades hors Covid en ce moment. Il doit y en avoir trop. Faudrait trouver un vaccin unique bien sûr ! Anti-pauvres et anti-malades de n’importe quoi par exemple. 
Ça reste à faire, ne vous inquiétez pas !
En attendant ces jours glorieux nous évoluons dans un non-monde bègue, cuit dans ses structures de domination et qui tente n’importe quoi de préférence pour rester en haut du toboggan. 
Alors ? Voie de garage ?
En science systémique, on considère qu’un organisme, au sens d’un système complexe, s’il altère gravement 50% de ses éléments, ne peut plus se régénérer.
Le Bon Dieu ?
Va falloir prier plus fort alors.
Rappelez les pauvres !

Episode 2
Covid. Le tri qui tue chez lez Zombis
https://blogs.mediapart.fr/cham-baya/blog/050521/covid-le-tri-qui-tue-chez-les-zombis-2

1) En double aveugle ? Ou en voiture Simonne ?  Par Cham Baya   Août 2020
https://blogs.mediapart.fr/cham-baya/blog/280820/en-double-aveugle-ou-en-voiture-simone

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