Association d'historien.n.e.s et d'enseignant.e.s créée en 2005 contre la loi du 23 février 2005 sur l'enseignement du "rôle positif" de la colonisation
Réflexions sur l’interview de Raphaël Doan par Alexandre Devecchio, « Je ne crois pas que l’IA doive être regardée comme une concurrente aux êtres humains » (Le Soir, 20 mai 2023) et sur l’usage de l’IA en histoire, dans un contexte de lutte contre les fausses informations et de mobilisation pour une éducation aux médias. Par François Saint Lager
Dans une tribune au « Monde » (24 mars 2023), l’historienne Sonia Combe évoque les changements de nom liés à la guerre, notamment en Ukraine. Et prend l’exemple de l’avenue de Moscou, à Kiev, rebaptisée avenue Stepan-Bandera, leader nationaliste et antisémite ukrainien.
Le mercredi 17 mai , Nelcya Delanoë et Caroline Grillot vous attendent au Lieu Dit (6, rue Sorbier 75020 Paris) de 19h à 20h30 pour présenter leur livre
Casablanca-Hanoi, Une porte dérobée sur des histoire postcoloniales , Paris, L’Harmattan, 2020
Une chaine Youtube intitulée « je révise avec toi » propose toute une série de vidéos problématiques par leur manière de raconter l’histoire. Marquées par un penchant pour le roman national, elles proposent une lecture biaisée voire erronée de l’histoire déconnectée des avancées de la recherche scientifique. On vous explique pourquoi pour plusieurs d’entre elles.
Une chaine Youtube intitulée “je révise avec toi” propose toute une série de vidéos problématiques par leur manière de raconter l’histoire. Marquées par un penchant pour le roman national, elles proposent une lecture biaisée voire erronée de l’histoire déconnectée des avancées de la recherche scientifique. On vous explique pourquoi pour plusieurs d’entre elles.
Voici le programme élaboré en collaboration avec le CVUH et la Fondation Copernic en France. Nous travaillerons sur les expériences de démocratie concrète dans chacun de nos pays avec si possible les acteurs eux-mêmes, afin de réfléchir collectivement à la mise en œuvre de la démocratie
L’ascension fulgurante du journaliste du Figaro auprès d’un électorat de bourgeois parvenus à une certaine aisance s’explique largement par la nostalgie de cette France irréelle ou mythique qui fait office de refuge à nombre de nos contemporains craignant de perdre leurs repères, leurs privilèges ou leur suprématie. Par Michèle Riot-Sarcey