Je me souviens avoir lu Perec bien après Mai 68. En ce temps là, l’année de mes 18 ans, j’étais peu réceptif aux remémorations, j’étais surtout dans l’action ! Porté, emporté parfois par ce temps qui tombait bien pour moi en me permettant de marquer une rupture avec la famille et sans doute avec l’enfance.
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