Enfin, dans l’espace littéraire francophone, Volia d’Anastasia Fomitchova (Éditions Grasset, 280 p.) offre un récit à la hauteur du combat ukrainien. À la fois intime et collectif, ce témoignage essentiel éclaire la résistance d’un peuple face à la guerre. Ce petit billet est une note de lecture personnelle et une invitation à lire ce livre.
En marge des grands récits médiatiques sur l’aide militaire et la reconstruction, des réseaux discrets et quotidiens de solidarité ukrainienne se déploient en Europe. À Paris, les microbus assurent un lien logistique, affectif et humanitaire entre les réfugiés et leur pays en guerre.
Comment expliquer que des mouvements et personnalités antiautoritaires en Ukraine, à l'image du militant Maksym Butkevytch, revendiquent un approfondissement de l'aide occidentale, y compris militaire, dans leur lutte contre l'impérialisme russe ? Mon propos vise à poser des repères, sans prétention d'exhaustivité ni d'expertise absolue.
Si le soutien à l’Ukraine est plus ou moins partagé par l’ensemble des candidats aux législatives, plusieurs formes de soutien se distinguent. L’objectif est de proposer une ligne claire à gauche, pour ne pas laisser la question de l’Ukraine à l’extrême-droite. Une ligne qui pourrait s’inspirer des réseaux militants et associatifs en soutien à la résistance ukrainienne.