Pour le matraquage que tu m'as imposé pendant deux semaines lors de l'enterrement de mère-grand, où tu me sommais d'admirer une monarchie anglaise pétant dans la soie, sobriété je t'emmerde.
Pour ce nouveau mot-valise, cette nouvelle monomanie que tu brandis en étendard à la demande du jet-skieur (voir abondance et insouciance : la perspective jet-ski de Marugil), sobriété je t'emmerde.
Pour ta tentative d'infantilisation pour masquer l'incurie de tes sanctions grotesques (voir morts en Ukraine, par solidarité l'union européenne organise un suicide collectif ) , sobriété je t'emmerde.
Pour le mépris que tu affiches, sans même t'en rendre compte, envers tous ceux qui sautent un repas sur deux et à qui tu demandes d'être économes et raisonnables, sobriété je t'emmerde.
Pour la responsabilité dont tu essaies comme à ton habitude de te décharger sur moi, alors que tu n'as prévu aucune des conséquences de ton alignement sur Washington, sobriété je t'emmerde.
Pour la culpabilité que tu me feras porter demain si nous manquons d'énergie par ta faute, comme tu accusais les non-vaccinés de menacer un hôpital que tu détruis méthodiquement depuis 30 ans, sobriété je t'emmerde.
Pour cette fausse conscience écologique dont tu t'habilles pour camoufler davantage encore ton suicide géopolitique, sans rien demander à tes petits protégés, les Total ou autre Bernard Arnault, sobriété je t'emmerde.
Sobriété, je t'emmerde, je t'emmerde je t'emmerde!
