Nous sommes une organisation qui se construit en toute indépendance et en toute liberté, résolument anticapitaliste, internationaliste, antibureaucratique et démocratique. Un parti au service de toute1
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la population laborieuse et pauvre et de ses besoins immédiats, vitaux et fondamentaux. Un parti de femmes et d’hommes libres qui s’inscrit dans la continuité du combat séculaire pour libérer l’humanité des chaînes de l’exploitation et du joug de l’oppression.
La Commune - Pour un parti des travailleurs - membre du courant international Mouvement Socialiste des Travailleurs ( IVe Internationale)
Ce 26 août, le Conseil d’Etat a rendu sa décision sur l’un des arrêtés antiburkini : « l’arrêté litigieux a ainsi porté une atteinte grave et manifestement illégale aux libertés fondamentales que sont la liberté d’aller et venir, la liberté de conscience et la liberté personnelle. ».
Il est désormais clair que la Ve République est « en fin de course », comme le canard sans tête. L’idée d’une assemblée constituante fait donc son chemin. Pas question ici de revenir sur la Constituante de Mélenchon qui, comme tous ses produits, est une contrefaçon. Revenons plutôt sur la Constituante que prône Daniel Gluckstein. Nous ne sommes pas d’accord. En voici les raisons.
Ces derniers jours, une nouvelle surenchère d’hystérie islamophobe se développe, depuis le sommet de l’État, contre les femmes musulmanes aux fins de nouvelles attaques contre les libertés individuelles. En effet, le coup porte plus loin qu’on pourrait le penser puisque des maires prennent des arrêtés véritablement seigneuriaux, frappés du sceau de l’abus du pouvoir.
Depuis toujours, nous prenons fait et cause contre l’islamophobie. Le mot lui-même met hors d’eux les islamophobes de tout poil. Il serait une invention des « wahhabites ». Ou des « ayatollahs ». Donc, le mot fâche. Et, en le prononçant, on se heurte parfois à des intellectuels de gauche qui passent pour très éclairés.
La loi El Khomri passe en force. Le 49-3 s’applique avant même la fin du rituel débat parlementaire.
Il s’agit donc d’un coup d’État institutionnel pour renverser le droit du travail.
La loi El Khomri passe en force. Le 49-3 s’applique avant même la fin du rituel débat parlementaire.
Il s’agit donc d’un coup d’État institutionnel pour renverser le droit du travail.
Plus d’un million de manifestants dans tout le pays ! La mobilisation pour le retrait total de la loi El Khomri et pour la sauvegarde du Code du travail s’est élevée à un niveau supérieur, ce 31 mars.