Billet de blog 8 févr. 2023

pourlavenir
Abonné·e de Mediapart

Grève des dividendes, nouveau rapport de force économique

Devant le refus du pouvoir d'entendre les 75% contre sa réforme, ses opposants doivent lancer un nouveau rapport de force économique dans la société de consommation : la grève des dividendes=la grève des achats, utilisable par tous, sans risques de perdre du salaire ou son emploi ou d'être gazés dans les manifs.

pourlavenir
Abonné·e de Mediapart

Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

Lettre ouverte adressée aux syndicats, aux partis politiques de gauche, aux associations de jeunesse, aux économistes atterrés, aux ONG... à tous ceux qui veulent gagner le retrait des réformes de casses sociales, casses écologiques, casses démocratiques... de Macron.

Notre roi élu de la 5ème république royauté élective estime que nous lui avons signé un chèque en blanc de 5 ans et qu'il a tous les droits et pouvoirs (49/3...) jusqu'à la prochaine présidentielle. Sa majesté n'a pas à tenir compte des caprices des "riens" qui envahissent les rues ("ça lui en touche une, sans faire bouger l'autre"). Il continuera irrémédiablement à nous imposer ses 4 volontés destructrices.

Nous avons donc un devoir de lui prouver que, dans la société de consommation, les rois, indispensables à l'économie capitaliste, sont les clients. Avoir des consommateurs est encore plus important pour ses sponsors que les "réformes" que le président pour les ultra-riches exécute sous leurs ordres pour leur assurer encore plus de dividendes ( par les privatisations rampantes : des retraites, de la santé, de l'éducation, des transports publics...).

------

Lettre ouverte envoyée aux responsables de l'opposition :

"Macron a prévenu, quelque soit le nombre des manifestants, il persistera inexorablement sa "réforme" de casse de nos retraites. Donc, vous qui organisez la lutte, devez nous offrir un nouveau rapport de force pour gagner le retrait de cette loi. 

La seule pression qui compte pour Macron=MacKinsey, c'est les ordres que lui donnent ses sponsors. Donc notre rapport de force doit s'exercer directement sur les intérêts de ces oligarques. C'est en diminuant drastiquement leurs BÉNÉFICES par notre GRÈVE DES DIVIDENDES (grève de la consommation) que nous forcerons les Arnault, Bolloré, Mulliez, Niel ... MEDEF d'ordonner à leur(s) serviteur(s) l'arrêt de leur "réforme" pour stopper leurs PERTES DE PROFITS.

Veuillez aller lire mon appel à faire la grève des achats, à boycotter les multinationales et à déserter les hypermarchés. J'espère que vous vous en inspirerez pour lancer une nouvelle PETITION-PREAVIS de GRÈVE DES DIVIDENDES. Si les 700 000 signataires pour votre actuelle pétition, les deux millions de manifestants et les 75% des Français opposés à cette contre-réforme et qui n'ont pas encore agi, s'engageaient à réduire les dividendes des profiteurs des réformes du président pour les ultrariches, nous ne pouvons que gagner le retrait de cette loi de "redistribution" à l'envers, les pauvres étant taxés aux bénéfices des riches.

Mais si vous refusez de nous unir dans ce mode d'action adapté à la société de consommation du 21 ème siècle, vous serez RESPONSABLES et COUPABLES, non seulement de condamner les Français au travail à perpète ou jusqu'à ce que mort s'en suive pour les premiers de corvée. Mais vous nous condamnerez à l'élection de Marine Le Pen en 2027, car devant votre inefficacité, son miroir aux alouettes passera pour l'échappatoire de cette mise en esclavage dans l'ultralibéralisme.

Par pitié, permettez nous d'essayer ce NOUVEAU RAPPORT de FORCE, lancez votre PÉTITION-PRÉAVIS de GRÈVE DES DIVIDENDES !

SVP allez lire mon appel :

https://blogs.mediapart.fr/pourlavenir/blog/210123/2millions-dans-la-rue-et-apres-la-greve-des-dividendes

Pourlavenir   https://blogs.mediapart.fr/pourlavenir/blog

Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

Bienvenue dans Le Club de Mediapart

Tout·e abonné·e à Mediapart dispose d’un blog et peut exercer sa liberté d’expression dans le respect de notre charte de participation.

Les textes ne sont ni validés, ni modérés en amont de leur publication.

Voir notre charte