Que veut dire le mot Démocratie ?
Remarque : Je vous renvoi vers mon article plus descriptif, il faut bien requalifier le mot de nos jours avec toute cette propagande orwellienne de nos médias dit «mainstream» qui nous vendent faussement de l’aristocratie représentative pour de la démocratie représentative.
C’est quand le champ des biens communs est sous la gouvernance (possession) de tous les citoyens.
Et ces biens communs sont les pouvoirs de dominations des humains par des hommes :
La gouvernance sociale (prises de décisions),
la force répressive (police et armée),
la force de conditionnements sociaux (éducations, informations, croyances religieuses et idéologiques),
la force réglementaire (le législatif),
la force d'arbitrages (la justice des tribunaux d'instances, administratifs, commerces, européenne et internationale etc.),
la force économique (banques d'états, privées et étrangères, multinationales et les moyens de productions des rentiers, les ressources et les moyens de subsistances),
la force de définition du besoin social et des projets associés (exécutif des communalités normalement, qui est laissé à l'aristocratie des représentants élus et de l’administration),
et la force bureaucratique (technostructures de énarques, des élus, des administrations de Bercy, du trésor, etc.).
Donc comme dit dans mon résumé de titre, les pouvoirs fondamentaux de gouvernances dans ce système d’aristocratie représentative permettant de basculer dans une vraie démocratie sont :
La présidentielles,
les législatives,
et les communales.
La possession de ces trois fonctions par des mandatements représentant réellement les intérêts démocratiques sont les verrues qui permettent une bascule en démocratie pour notre organisation sociale aristocratique. Sans une de ces trois, il sera difficile de faire une bascule démocratique.
À l’image du RIC qui est une verrue pour outre passer le pouvoir aristocratique des élus et bureaucrates sur le législatif.
Pour que ce système aristocratique évolue en démocratie, il faut aussi agir sur la force bureaucratique pour qu’elle soit démocratique.
Changer l’organisation sociale de la république (constitution) pour un modèle fédéral de communalités.
Et ce principe d’organisation est valable pour toutes les organisations sociales de collectifs public ou privé.
La communalité
La communalité c’est l’exécutif et le réglementaire de la démocratie.
Donc j’attends de ces élus, qui se disent pour une vraie démocratie, qu’ils réorganisent la société suivant un modèle fédéral de communalités pour :
La force répressive (police et armée),
la force réglementaire (le législatif),
la force économique (banques d'état, privées et étrangères, multinationales et les moyens de productions des rentiers, les ressources et les moyens de subsistances),
et la force de définition du besoin social et des projets associés (exécutif des communalités normalement, qui est laissé à l'aristocratie des représentants élus).
La communalité c’est donc que ces champs de pouvoirs sociaux soient sous le contrôle et la décision direct des populations Françaises avec la responsabilité des communes.
Cela implique pour la gouvernance un autre périmètre de pouvoirs sociaux pour nos élections communales. Avec une redéfinition du périmètre communal pour les trop petites communes (regroupements en comités des communes).
En effet tout commence dans notre société par :
Quand le citoyens décident de leurs propres besoins collectifs ?
Alors qu’en entreprise on est tous sur la définition projet de l’étude de besoins pour le client, rien en ce sens dans notre système actuel pour les citoyens. Pire ce n’est même pas eux qui décident de ces besoins.
Il faut donc mettre en place ce processus électif de définition et de priorisation des besoins citoyens dans nos communes. Puis après cette définition, il faut, avec la mutualisation fédérale, définir le périmètre géographique de besoins pour l’appel à projet.
Une campagne de propositions de projets par besoins avec débats
Un fois les besoins définis, des citoyens se proposent pour répondre avec des projets situés dans le temps, précis, évaluables, atteignables et contrôlables.
Ces projets seront alors décidés démocratiquement par nos citoyens dans les communes. Les porteurs projets, avec les moyens qui leurs sont alloués, étant autonome dans l’exécution du projet, mais sous contrôle citoyen.
La conscription militaire et le service citoyen policier
Donc ces besoins vont emmener des réponses projets de sécurités. C’est l’organisation de la force.
Cette organisation oblige à une formation des citoyens et une mise à disposition de ceux-ci pour constituer une armée et une police. Ils seront alors les gouverneurs de ces organisations militaires ou d’ordre public d’un point de vu fédéral. Et des professionnels des armées et de la police seront sous leurs ordres. C’est la conscription et le service civil policier.
Les droits fondamentaux, la constitution, les lois, les accords et les contrats de grès à grès
Des besoins vont ressortir sur des problématiques réglementaires. C’est la redéfinition du contrat social. Cette redéfinition va se faire à plusieurs échelles géographiques dans le fédéralisme.
Ces droits doivent-être hiérarchisés suivant une organisation :
Droits fondamentaux
Constitution
Lois
Accords
Contrat
Les règles définies dans chaque groupe sont subordonnées aux règles des groupes supérieurs (hiérarchie des normes à rédiger dans les devoirs sociaux).
Elles doivent être qualifiés suivant :
Les droits : Que l’on peut demander à mettre en place et qui est obligatoire.
Les devoirs : Qu’il est impératif de mettre en place (systématiquement mettre en place).
Les interdits : Que l’on ne fait pas.
Et précisées suivant ce qui est :
Supplétif. Règles renégociables contextuellement.
Impératif. Règle à appliquer telle quelle.
Tous les contrats sociaux sont soumis à un vote lois par lois de chaque citoyen en fonction du périmètre géographique ou sociologique de responsabilité.
Par exemple les accords qui concernent les personnes professionnellement dans le médical.
Toute personne étrangère (même diplomate) pour circuler sur le territoire doit signer ces contrats sociaux suivant les mêmes modalités et les respecter sur le territoire.
Les droits fondamentaux
Par défaut les droit fondamentaux sont impératifs.
Ils recouvrent deux formes hiérarchisés :
Les droits, devoirs, interdits de dignité humaine.
Les droits, devoirs, interdits sociaux.
Ceux-ci remplacent les droit de l’homme (version aristocratique des droits humains) avantageusement et en clarifient le sens.
Les droits sociaux fondamentaux permettent de mettre «le devoir de ne pas prendre à la nature plus que ce qu’elle peut reconstituer», par exemple :-)
Il est interdit de faire des règles de subordination d’individus à un autre individu ou à une communauté (exemple des accords de commerces internationaux), avec «ta liberté individuelle s’arrête la où commence les règles sociales» (à mettre dans les devoir de dignités). La seule subordination acceptable est celle des citoyens dans la limite des règles de la dignité humaine (à mettre dans les droits sociaux, «la liberté sociale s'arrête là où commence la dignité humaine»).
La constitution
Elle défini l’organisation forcément démocratique sur les champs commun citoyens, donc la démocratie est un devoir des droits sociaux fondamentaux.
Les lois
Les lois sont les règles qui régissent tout le monde sur le territoire.
Les accords
Les accords sont les règles qui régissent les relations entre groupes d’individus.
Les contrats
les contrats sont les règles qui régissent les individus entre eux.
Les moyens de productions, les ressources, la qualification et les travailleurs suffisants
Des besoins de productions et de services vont aussi être remontés par les citoyens.
Les banques, la monnaie, la possession individualisée des outils et des ressources sont la conséquence de l’instauration des organisations d’aristocraties patriarcale militaires il y a 5 000 ans. Elles ont été pensées pour prélever un impôt privé sur les travailleurs de notre société afin d’entretenir une population parasite. La seule propriété individuelle acceptable est le résultat productif de son travail.
C’est lors de cette phase que l’on peut réintroduire l’économie de la dette d’entre aide. On donne les moyens de productions (trésorerie, fablab/usines, matériaux, énergie, etc.), humains (chaque citoyen contribue suivant ses moyens), etc. au porteur projet qui a été choisi par les citoyens pour réaliser la réponse aux besoins.
La collectivité se devant d’un point de vu national (mutualisme fédéral de la formation) de former aux métiers utiles pour les projets des citoyens.
Donc la satisfaction des besoins individuels passe par une contribution sociale aux autres et une réponse sociale des autres. Ce qui permet d’éviter la surconsommation, le gaspillage des ressources, etc.
Les droits de dignités humaines garantissant par le collectif une vie minimale digne (logement minimum, alimentation minimale, soins de base, éducation de base, etc.).
Le fédéralisme
Le fédéralisme prend en charge alors les phases mutualistes des besoins et des moyens de productions des projet sociaux et individuels sur :
La force répressive (police et armée),
la force de conditionnements sociaux (éducations, informations, croyances religieuses et idéologiques),
la force d'arbitrages (la justice des tribunaux d'instances, administratifs, commerces, européenne et internationale etc.),
la force économique (banques d'état, privées et étrangères, multinationales et les moyens de productions des rentiers, les ressources et les moyens de subsistances).