L'ANSM a la responsabilité de l'autorisation de mise sur le marché des médicaments, mais après un nombre inédit de déclarations en pharmacovigilance, après des publications scientifiques prouvant que la nouvelle formule de Levothyrox....
Suite à un article d'information sur les génériques, mais qui soudain évoque le scandale Levothyrox en bafouant à nouveau les souffrances des victimes qui ne l'ont pas supporté. Une vague d’écœurements, de colère sur les réseaux sociaux et de demandes auprès de l'association UPGCS afin de ne pas laisser passer un tel article !
Deux ans que les malades se battent pour faire reconnaître un vécu de souffrances et de mal-être. Pourtant, avant la diffusion de cette Nouvelle formule substituée en mars 2017 au traitement vital disponible en France à cette époque, les études de bio-équivalence auraient du alerter les laboratoires Merck et l'ANSM ! Retour sur un scandale qui aurait pu être éviter...
L’UPGCS (Union Prévention et Gestion des Crises Sanitaires, partenariat soignants-patients pour une médecine Humaine) s’adresse à Emmanuel Macron publiquement pour s’étonner et s’offusquer du choix de ne pas inclure une réflexion sur la Santé et l’environnement
De nombreux malades victimes du changement de formule du levothyrox, interpellent l'UPGCS sur la gravité de leurs cas : problèmes hépatiques graves, problèmes cardiaques, problèmes moteurs s'aggravant, ils nécessitent une prise en charge qui ne peut attendre la fin de l'enquête pénale ! L'UPGCS interpelle à nouveau Madame Buzyn, Monsieur Edouard Philippe et l'ensemble des législateurs .